Rencontre innatendu (PV Shingen)

Enju venait rarement au centre commerciale, de un, parce que c'était un peu loin de chez lui, de deux, parce que c'était toujours plein de monde. Non pas que Enju n'aimait pas la foule, mais bien parce que cela impliquait toujours des files d'attente monstre aux caisses et que Enju se faisait toujours regarder, soit parce qu'on le reconnaissait, il faisait parfois des concerts dans les alentours et on avait afficher récemment un spectacle qu'il donnerait sur la scène principale du Japon dans quelques mois, il s'était dit que ce serait une bonne occasion de ramasser des fonds pour les jeunes. Il ne prendrait pas une grande part des bénéfices, juste assez pour payer son équipe technique et un peu pour ses prores efforts, le 80% qui restait irait dans divers organismes. Eh oui, Enju avait un grand coeur, qui parfois lui causait des soucis, mais bon, il s'en sortirait.

Pour le moment, il portait une chemise noir avec un jeans assortit, comme il faisait frisquet à l'extérieur, il portait son habituel et inséparable trench coat rouge. Il aimait beaucoup ce manteau, de un, parce qu'il avait une signification pour lui et de deux,parce qu'il était vraiment confortable, en plus, cela lui donnait un petit air rebelle qui lui allait bien. Il se dirigeait vers le magasin fournitures,il avait quelques babioles à acheter, puis il irait s'acheter quelques morceaux de linge...il fallait aussi qu'il arrête dans un magasin d'électronique, que Zack est au moins une télé dans sa chambre et un bureau pour faire ses travaux. Ah la! C'était pas si facile que ça d'être un père! Même si Zack n'était pas son fils biologique, il était tout de même responsable de lui jusqu'à sa majorité, puis après, et bien, il verrait, Enju ne le metterait jamais à la porte, ce serait à Zack de voir si il voulait toujours habiter avec Enju ou bien quitter et se trouver un appartement pour lui-même.

Il s'arrêta à quelques pas du magasin, c'était plein...bon, il irait faire ses autres comissions d'abord, il se retourna et se dirigea vers le magasin de vêtements, il n'était pas du genre à magasiner ce genre de chose, mais bon, il n'avait plus vraiment le choix, on lui avait dit qu'il était temps qu'il change un peu sa garde robe, ils allaient voir si il était si vieux jeu que ça! Il n'avait que 26 ans après tout! Mais bon, les nouvelles générations étaient toutes les mêmes.

Il entra dans le magasin puis se dirigea vers la section homme...cependant, il ne voyait rien de bien intéressant, du moins, pour son goût personnelle... Il poussa un soupir...décidément, il détestait les centres d'achat...Puis il entendit quelqu'un l'appeler, mais ce n'était pas Enju qu'on avait dit, c'était Mad.
Enju fit comme si il n'avait pas entendu et se concentra sur une chemise orange avec des ligne noirs, pas qu,elle l'intéressait, mais c'était mieux que de se retourner. Une main se posa sur son épaule, il tourna finalement la tête.

-Et bien! Comment ça va Mad? Tu veux venir faire une petite fête avec nous? Ça nous rappelera de bons souvenirs!-

Le main sur l'épaule de Enju s'était resserer, causant une douleur vive dans l'épaule du professeur de musique. Celui-ci crispa, il vit que le type n'était pas seul, mais bon, il n'avait pas envie de causer une panique. D'un geste vif, il plaça son index et son pouce au creux des nerfs de la main du type et appuya aussi fort que possible, le type le lâcha aussitôt en poussant un cri de douleur, incapable désormais de bouger sa main. L'altercation avait attirer des curieux.

Invité

Demain j'allais intégré Tanaka et pour l'occasion je voulais porté autre chose que ma tenue de barman. Comme mes goûts n'étaient pas dans la norme, les gens de mon entourage les trouvent trop extravagant j'ai demandé conseil à un ami. Celui-ci avait récupéré le contrôle de mon ancien gang et il avait gardé le contact avec moi au cas ou. Donc aujourd'hui je me dirige au centre commercial accompagner d'un ami et suivit de près par ses subalternes. Nous marchâmes un moment avant d'arriver à destination. Cela faisait facilement sept années que je n'étais pas venu ici. Il faut dire que j'avais eu du boulot et pas qu'un peu entre élever deux gamins et m'occuper du club. Je suivi mon camarade à travers la foule et j'entrais dans un magasin de vêtement. La surprise fut grande lorsque je découvris le visage de la gérante. Il s'agissait d'une des pire delinquantes que j'avais rencontré à l'époque. Comment vous la décrire elle est d'une beauté renversante mais d'un caractère démoniaque. Elle me confia à l'une de ses deux vendeuses et alla prendre un verre avec les trois jeune qui étaient avec moi. Un monstre cette femme je vous le dis mais passons. Je suivis donc la vendeuse jusqu'à une cabine d'essayage. Elle m'apporta une tonne de vêtement et je commençais à les essayer. Après une bonne demi-heure j'entendis un boucan pas possible à l'extérieur. Je passais ma tête pour voir ce qui se passer. J'aperçu un petit groupe dont l'un des membre semblait souffrir de la main, j'étais trop loin pour voir exactement. Mais je compris assez vite que le groupe s'attaquait à cette personnevaux long cheveux rouge. J'esquissais un sourire j'allais pouvoir m'amuser...ou pas. Et oui la gérante était de retour les trois jeunes dérrière elle et elle n'était pas contente. Je décidais d'intervenir, je sortis de ma cabine torse nu et un short de plage blanc. Ne me demandais pas pourquoi cette vendeuse ma donner sa. Je m'approchais donc, sur mon torse on pouvait admirer un gigantesque dragon noir tatouer. D'un regard je demandais à la gérante si je pouvais intervenir, elle hocha la tête pour me signifier que oui. J'esquissais un sourire et je m'avançais vers eux.

"-Alors, alors on s'amuse sans moi!"

J'esquissais un autre sourire, mon regard n'avait plus rien d'humain. J'observais chacun des jeune gens droit dans les yeux et sur chacun d'eux je prononçais le mot faible. Sous mon regard certain reculèrent et d'autre eurent la bêtisent de me sauter à la gorge. J'esquivais le premier d'un geste qui pouvait paraitre extrêmement lent et sans faire aucun effort je le mis à terre une main sur son ventre. Puis un second abrutit que je frappais si vite qu'il n'eu pas le temps de comprendre ce qui lui arriver. Je fixais les autres de mon regard le plus effrayant et ils prirent la fuite. Je me retournais vers celui qui avait la main paralyser et d'un geste je fis en sorte qu'il retrouve l'usage de sa main. Il aida ses camarades à se relever et s'en alla sans un mot. Je les suivis du regard un moment puis je me retournais vers la foule et d'une voix très calme je dis:

"Il n'y a rien à voir, circuler!"

La gérante reprit le contrôle de sa boutique lorsque j'aperçu la vendeuse foncer sur moi une robe à la main. Heureusement que mon camarade et ses deux amis la bloquèrent. Je me retournais vers l'homme au cheveux rouge et l'observais un moment. Il me semblait l'avoir déjà vu quelque part. J'attrapais son menton geste très déplacer et je posais mon regard dans le siens. Il semblerait que cet individu ne soit pas un faible, intéressant. A travers un regard je peux dire qui est fort et qui ne l'est pas c'est un don chez moi. Je le lâchais puis je me mis à rire, le combat aurait pu être interessant domage.

Enju s'apprêtait à répliquer un peu plus, question de leur montrer qu'il ne se laisserait pas faire et qu'il valait mieux pour eux de le laisser tranquille, cependant, le professeur de musique n'eu pas la chance de mettre son plan à exécution. Un autre homme intervint dans la situation et s'occupa de mettre fin à l,audace des jeunes. Celui-ci semblait très abile et Enju se doutait que ces jeunes ne feraient guère le poids face à lui. Il se contenta de se reculer d'un pas pour éviter un jeune qui venait de chuter et observa le combat sans faire de commentaire.

À tout le moins, on avait cru qu'il avait été en danger, mais Enju aurait très bien pu régler la situation lui même et probablement dans une façon moins bruyante. Une fois le tout terminer, les jeunes quittèrent la place et les gens se remirent à circuler sous les encouragements insistants de son ''sauveur''. Enfin, façon de parler. Lorsque celui-ci se tourna vers lui Enju, ne fit rien, il avait simplement l,air de se demander ce qu'il lui voulait.

Il fut surpris de l'impolitesse de Shingen. Il ne dit cependant rien, se contentant de le fixer d'un air un peu sombre. Lorsqu'il le relâcha enfin, Enju passa simplement ses doigts sur son menton, comme pour enlever une tâche puis regarda l'autre rire.

-Y à t-il quelque chose d'amusant?-

Demanda Enju d'un air sérieux et étrangement imposant. C'était un regard qui était naturel chez lui et il était facile de se sentir impressionner, c'était un regard profond et mystérieux. Un regard de leader que les gens savait reconnaître.

Il reposa la chemise qu'il avait fait semblant de regarder puis jeta un regard autours de lui et poussa un soupir. Il ne pouvait même pas venir faire quelques achats sans être déranger ou qu'il ne lui arrive quelque chose d'étrange. Et maintenant, il avait cet énergumène devant lui qui riait pour aucune raison apparente. Enfin, celui-ci lui avait empêcher d'avoir à se battre, il lui devait donc au minimum un merci.

-Enfin...merci pour tout à l'heure...mais ce n'était pas nécessaire...-

Fit-il d'un ton détacher. Il avait l'impression d'agir comme dans le temps. Ce n'était pas si loin que cela, mais bon. Il avait l'impression que son passé revenait souvent ces temps ci, il ne pouvait pas y échapper.

Invité

Je continuais de rire un moment, si j’avais su qu’il était plus fort que les autres gamins j’aurais attendu qu’il les mettent KO pour ensuite intervenir et pouvoir le combattre. Décidément je n’avais pas de chance aujourd’hui, je le fixais lorsqu’il me demanda ce qui me faisait rire. Sa question ne fit que me faire rire un peu plus puis après un instant je repris ma respiration et le fixais. Plus je regardais son regard et plus l’envie de le combattre me prenait. Je fermais les yeux puis à mon tour je lui montrais mon regard qui avait imposer le respect auprès d’une ville entière. Un regard impressionnant tant par sa chaleur que par l’impression d’être face à une montagne qu’aucun vent ne pouvait faire flancher.

« -Désolé je viens juste de réaliser quelque chose. »

Cette personne reposa une chemise aux couleurs qui m’iraient à ravir, oui mes goûts laisse à désirer mais ce n’est pas un secret. Puis il me remercia et rajouta qu’il n’avait pas était nécessaire de venir à son aide. J’esquissais un sourire et je serrais les poings, j’avais bien remarqué et j’étais déjà dégoûter d’avoir raté un combat qui aurait pu être intéressant. Je poussais un long soupire et je répondis sur un ton de profonde lassitude:

« -J’avais bien remarqué… »

Je l’observais de nouveau me demandant ou je pouvais bien l’avoir vu puis soudain cela me revient. D’un autre côté je ne pouvais pas être sûr de l’exactitude de ma pensée et demander à une personne si il avait été un horrible délinquant à une époque n’était pas bien poli. Je poussais un léger soupire puis mes yeux se posèrent sur sa longue chevelure rouge. Oh! Me dis-je, Sushi m’avait parlé d’un professeur au long cheveux rouge qui jouer comme un dieu et dont la voix aurait fait pâlir n’importe quel ange. Bon je commençais à m’impatienter, je penchais la tête sur le côté et je lui demandais:

« -Vous ne serriez pas par hasard professeur à Tanaka? »

Si c’était bien le cas alors j’avais vraiment de la chance, selon mon petit neveux il s’agissait là d’un professeur digne de respect. Tiens pensais-je était il possible que Sushi ai remarqué la puissance de son regard? Je pouffais de rire à cette pensée, comme si le petit s’intéresser à autre chose que la musique et son estomac. Puis je retournais ma tête en entendant les cris qui venait du petit groupe composé des trois idiots qui m’accompagnaient et de la vendeuse aux goûts plus étrange que les miens. Je poussais de nouveau un long soupire puis prenant une attitude qui allait mieux à mon âge je m’avançais d’un pas. Je les fixais si intensément qu’ils finirent par tourner les yeux vers moi, je leur soufflait d’une voix presque inaudible et sur un ton catégorique:

« -Vous trois retournez à mon appartement vérifier que le gamin va bien. Et vous mademoiselle faîtes moi le plaisir d’aller mettre cette robe là ou vous l’avez trouver! »

Le rire de Shingen l'exaspéra un peu, mais Enju ne fit aucun commentaire et son visage resta neutre, il attendit que celui-ci cesse de rire et veuille bien lui expliquer la raison de cette réaction. Enju n'avait pas envie de jouer les psychologue pour deviner l'attitude du type, mais bon, il était juste la pour magasiner, rien de plus, et comme toujours, ses comissions tournaient au vinaigre, avec le temps qui passait, il ne pourrait même pas aller chercher ce qu'il fallait pour faire de la chambre de Zack, quelque chose de raisonnable pour un garçon de son âge.

Le regard de Shingen le fit sourire légèrement, semblable au sien, mais pourtant très différent, alors que celui de Shingen était lourd et massif, celui de Enju était froid et imposant. Mais le professeur de musique n'était pas la pour un concours, il n'ajouta rien, il n'avait rien à dire, mais il savait que l'homme en face de lui n'était pas à prendre à la légère, chose qu'il ne ferait pas, mais il ne le laisserait pas lui marcher sur les pieds si l'occasion se présentait.

Ainsi donc, celui-ci l'avait remarquer? Alors pourquoi être intervenu? Cela énervait un peu Enju, mais bon, l'homme avait peut-être une autre raison d'être intervenu, il ne dit cependant rien. Oui, Enju avait un don pour garder le silence quand il n'avait pas vraiment envie de parler. Il se contentait d'écouter les réponses à ses questions.

Puis l'autre lui demanda si il était enseignant à Tanaka. C'était bien connu, en fait, il était plutôt connu et reconnu ces derniers temps avec toutes les affiches pour son prochain concert. Il n'avait pas juger nécessaire de mettre sa photo sur les images, mais l'organisateur avait insister, disant que son regard et son charisme attirerait beaucoup de monde, il avait finit par accepter après les insistance du photographe et des assistants de son organisateur.

-En effet...-

Fit doucement Enju. Il ne demanda pas comment celui-ci avait deviner, cela aurait été stupide comme question et il avait déjà une bonne idée de la réponse, mais bon, peut-être se trompait-il complètement. De toute façon, l'autre sembla retourner son attention vers ses comparses et la vendeuse qui tentait d'apporter une robe à Shingen. Enju haussa un sourcil. Une robe....d'ailleurs, l'homme ne semblait nullement en vouloir. Décidément, il y avait de drôles d'énergumènes dans l'endroit, heureusement qu'il n'avait pas à y venir trop souvent!

-Je crois que je vais remettre mes comissions à plus tard...-

Fit Enju, plus pour lui-même que d'autre chose. Il était certain que sa journée ne ferait qu'empirer, il reviendrait une autre fois...

Invité

Malgré le fait de m’être retourner pour hurler sur les imbéciles un peu plus loin j’entendis la réponse qu’il me donna. J’attendis que la vendeuse s’en aille et que les trois quitte le magasin pour me retourner. La gérante me hurla un peu plus loin d’aller me changer, je baissais mes yeux sur ma tenue il était vrai que ce n’était pas la une tenue très adapter. Je hochais la tête pour dire que j’irais plus tard et je gardais un air un peu sérieux. J’observais un instant le professeur et je lui demandais puisque après tout je me posais la question.:

« -Alors je suppose que c’est vous le professeur de musique si génial! Je ne m’attendais pas à faire la connaissance d’un futur collègue si tôt. »

Je lui tendis la main pour me présenter et j’aperçu alors la vendeuse revenir mais cette fois ci avec un costume. Je fis un large sourire alors finalement elle savait choisir des vêtements normaux pour ses clients. Je serrais la main du professeur sans y mettre trop de force il valait mieux éviter de lui broyer la main, sa ferais mauvaise impression pour une première rencontre. Comment sa je me suis montré extrêmement impoli et d’un coup je suis les règles de bienséance? Je suis toujours très aimable moi! Tout en lui serrant la main je me présentais:

« -Shingen Shuei, j’occuperais le poste de conseiller principal d’orientation à Tanaka à partir de demain! J’avoue que j’avais justement très envie de vous rencontrez, il faut dire que mon neveux ne rencontre pas souvent, quels était ses mots déjà? Ah oui! Un dieu de la musique à la voix d’ange! »

La vendeuse me sauta dessus et me mit le costume entre les mains, je fus un peu surpris mais je ne répliquais pas. J’observais le costume une sorte de mélange très bien élaborer de soie et de coton noir. Oui il s’agissais d’un costume noir que se soit la veste, la chemise, la cravate ou encore le pantalon. C’était un véritable festival de noir, d’un noir d’ambre à un noir presque gris, j’esquissais un nouveau sourire elle avait fini par trouver quelque chose qui pouvait m’aller. Je me retournais vers le professeur et je lui dis:

« -Excusez moi je reviens. »

La vendeuse me poussa jusqu’à la cabine d’essayage puis après cinq minutes j’en ressorti revêtu d’un costume impeccable qui m’allait à la perfection. La vendeuse avait les yeux pétillant et me demanda dans un souffle si je voulais l’épouser. J’éclatais de rire c’était trop pour moi, la gérante aussi avait entendu et était maintenant plié en deux. Je laissais la vendeuse à sa cabine et je me dirigeais vers la caisse pour écrire sur un papier puis je retournais vers le professeur:

« -Il me semble que vous aviez des courses à faire, je me sens un peu coupable laisser moi me rattraper et vous aidez. Je connais presque tous les commerçant cela ne devrait pas poser de problème! »

Ah bon, donc son interlocuteur avait déjà entendu parler de lui? De quel façon? Ah oui, un élève. Il apprit que Shingen serait un futur collègue de travail. Enju se demandait si Kyouya savait qui il engageait réellement, probablement que la moitié des C.V. des professeurs étaient modifiers et faussés un peu, avec tout les problèmes et les étranges personnages qui s'y trouvaient. Il ne fit cependant pas de commentaire et se contenta de lui serrer la main, chaleureusement mais pas avec une force extraordinaire.

Et bien, on sautait d'une extrême à l'autre avec cet homme.

-En effet, je suis Enju Seikai, content de vous rencontrer.-

Dit Enju d'un ton très formel. Il écouta Shingen et il fut surpris. Il ne connaissait pas beaucoup de ses collègues qui avaient hâte de le rencontrer sans même avoir une idée de qui il était, mais bon, cela lui fit tout de même plaisir à entendre. Ah...son neveu avait vraiment dit ça? Un dieu de la musique à la voix d'ange? Il ne fallait tout de même pas exagérer, Enju avait un don, c'était certain, il chantait très bien, même extraordinairement bien et pouvait atteindre à peu près tout les timbres, mais de là à être comparer à un dieu, c'était un peu ridicule. Néanmoins, il apprécia le compliment.

Puis la vendeuse revint, cette fois ci avec quelque chose de plus approprié pour Shingen, Enju excusa celui-ci sans problème, il attendit tout en observant un peu les alentours, les vêtements, il n'avait vraiment aucune idée de ce qui pourrait lui aller. Peut-être devrait-il demander conseil. Mais vu ce que la vendeuse avait emporter avant le costume noir, il se demabndait si cela était une bonne idée.

Finalement, Shingen revint et l'habit lui allait très bien, Enju ne fit pas de commentaire, puis Shingen lui proposa de l,aider à faire ses comissions. Il haussa un sourcil, ils venaient tout juste de se rencontrer, Enju ne s'y était pas vraiment attendu.

-Vous n'avez pas à vous sentir coupable, ce n'est pas de votre faute...ces types m'avaient probablement prit pour quelqu'un d'autre!-

Fit doucement Enju.

-Mais c'est gentil quand même.-

Ajouta t-il.

Invité

Enju me dit que je n'avais pas à me sentir coupable et que ses jeunes gens avaient du le prendre pour quelqu'un d'autre. J'esquissais un sourire pour moi il était claire que ses gamins ne c'étaient pas trompé mais je n'arrivais pourtant pas à me souvenir d'ou j'avais bien pu le voir. Plus je réfléchissais et plus je m'éloignais de la vérité, puis un visage m'apparut. Il s'agissait d'un jeune homme peut-être un peu plus âgé que le professeur mais qui lui ressembler assez. Je poussais un long soupire, je m'étais peut-être tromper mais c'était dur à croire. Enju rajouta que c'était tous de même gentil, j'esquissais un nouveau sourire. Je n'avais proposé cela que pour essayer de me souvenir de la personne qu'il me rappelait. Je continuais de sourire puis je lui répondis un peu trop gentiment:

"-C'est tous à fait naturel! Je tiens vraiment à vous aidez et puis je devais faire le tour des commerçant de toute façon."

J'aperçu alors la vendeuse qui observait le professeur. Sa bouche était grande ouverte comme si c'était maintenant qu'elle prenait conscience de son existence. Je me pluais de rire, elle bavait presque face à Enju. Et d'ailleurs je n'étais pas le seul à l'avoir remarquer, la caissière en pleurait de rire et plusieurs clients pouffaient silentieusement. Je repris ma respiration puis j'observais la vendeuse qui me regardait l'air de dire "demander lui pour moi". Je secouais la tëte un large sourire au lèvre et je poussais un soupire. Puis je me retournais vers le professeur et lui dit tous à fait normalement:

"-Je crois que cette personne aimerait s'occuper de vous et au passage de votre tenue vestimentaire. Ah et si elle vous demande en mariage faites comme vous ne l'aviez pas entendu!"

Il allait certainement devoir mettre une ou deux tenues ridicule avant d'avoir droit à la tenue idéale. J'esquissais un sourire, la vendeuse était comme qui dirait une perverse sadique et masochiste, le professeur avait intérêt à surveiller ses arrières. Je souris et je laissais la vendeuse trainer Enju dans la cabine d'essayage. Je me mis près de la caisse et je discutait tissus avec la gérante. Après une vingtaine de minutes le professeur revint l'air ravi. Il avait certainement trouver des vêtements intéressant.

Enju se contenta d'un demi sourire. Finalement, il ferait peut-être ses comissions aujourd'hui et puis, Shingen semblait insister pour l,aider, alors il finit par accepter la proposition de ce dernier d'un hochement de tête. Puis il dit.

-Si vous insistez...mais ça ne risque pas d'être très palpitant...-

Il disait cela, mais il espérait quand même que d'autres jeunes ne viennent pas rajouter à la scène d'un peu plus tôt. Il savait que son surnom était connu de tout les jeunes de la rues puisqu'il en avait été durant quelques temps, un élément marquant, aller savoir, son aîné avait certe déteindu un peu sur lui et il s'y était retrouver à son tour tout en réalisant le tour de force de terminer ses études dans un domaine pas si évident que cela. Et puis, des jeunes homme à la chevelure rouge comme la sienne, il n'y en avait pas des tonnes au Japon.

C'est à ce moment qu'Enju remarqua la vendeuse, il eu presque un mouvement de recule en la voyant,il la regarda le fixer sans trop savoir quoi faire. Ce genre de fixation l'énervait, ce n'était pas du tout la même sensation que lorsqu'il se trouvait sur une scène. Malgré tout, Shingen lui apprit qu'elle voulait l'aider à trouver des vêtements....parfait, tant que ce n'était que cela. Il se laissa entraîner par la vendeuse avec la ferme intention de ne pas s'en laisser imposer.

Il se passa une vingtaine de minutes pendant lesquels la vendeuse lui apporta un nombre incalculable de vêtements, il ne savait plus par ou commencer et finit par tous les essayer, faisant trois piles, oui, non et peut-être...la pile de non était la plus haute des trois. Enju se demandait si la jeune fille était daltonienne parce qu'elle avait du mal avec ses couleurs.

Après un moment, Enju finit par trouver deux ensembles qui lui allaient bien, d'ailleurs, ils lui allaient si bien que la vendeuse en fit une crise de ''nosebleed'' et perdit connaissance. Enju n'osa pas trop s'en approcher mais revint tout de même vers les caisses, il avait l'air satisfait mais inquiet à la fois tout en étant amusé.

-J'ai trouver quelque chose...mais hmm....je crois que votre vendeuse à fait une crise de je ne sais quoi...elle a perdu connaissance et elle saigne du nez...-

Fit Enju d'un ton qu'il essayait de garder le plus calme possible.

Invité

Après avoir entendu les paroles d’Enju je me contentais de rire suivit par la caissière qui se reprit plus rapidement que moi et qui s’occupa d’Enju. Pendant ce temps j’ étais plié essayant de reprendre peu à peu ma respiration normale. Une fois qu’il eu retrouver son état normal enfin si il avait jamais était normal il sortit son portefeuille. Un large sourire illumina son visage et il sortit une photo sur laquelle on pouvait voir un jeune homme assez séduisant . Il allongea son bras sur le côté tenant la photo du bout des doigt et dit à voix haute et sur un ton à moitié amuser:

« -Qui veux une photo du bras droit des Shimizu? »

La vendeuse reprit conscience aussitôt et à une vitesse folle elle me rejoint et pour prendre la photo elle faillit m’arracher le bras. Je réussi à sauver mon bras mais de peu, j’explosais de nouveau de rire face à la vendeuse qui bavait devant la photo. La caissière c’était elle aussi remise à rire et avait du mal à passer les articles tant elle était recroqueviller sur elle-même pour se retenir de rire plus qu’elle le faisait déjà. Je me retournais vers le professeur après avoir encore une fois reprit ma respiration, j’avais tellement rit que des larmes coulait le long de mes joue. Je les effaçais du revers de la main, c’est fou comme je riais souvent ses dernier temps non d’ailleurs je riais presque chaque minutes de la journée.

« -Bon puisque vous en avez terminer ici je vous propose de passer à la prochaine étape de vos course! »

Je suivi Enjeu l’extérieur, le centre commercial était beaucoup plus calme que quelque heures auparavant. Je suivi le professeur, je marchais lentement tout en sifflotant comme a mon habitude. Après tous juste cinq minutes de marche je croisais un groupe de jeunes hommes de ma connaissance, je les saluais d’un geste de la main. Et je pouffais de rire lorsqu’ils s’inclinèrent tous d’un même geste, certes j’avais été une sorte de maître pour eux à une époque mais quand même. Je continuais à marcher à côté du professeur sans un mot puis j’aperçu un vendeur de glace.

« -Oh! »

J’avais une soudaine envie de glace c’était plus fort que moi, et comme à chaque fois que je voulais quelque chose je ne réfléchissais plus et j’agissais. Heureusement que le professeur avait remarqué que j’avais soudainement changer de direction car il aurait pu mettre du temps avant de le remarquer. J’arrivais devant le vendeur et je remarquais alors un peu plus loin un jeune enfant qui pleurait car il avait fait tomber sa glace. Le hasard avait fait que j’avais commandé le même parfum que celui du petit, je récupérais ma glace et la lui mis dans les mains. Il me fit un superbe sourire et arrêta soudainement de pleurer. Je retournais auprès de monsieur Seikai qui c’était arrêté pour m’attendre à mon grande étonnement. Je poussais un long soupire, moi qui voulait une glace. Je posais mon regard et je me souvins pourquoi j’étais là, j’esquissais un petit sourire et je m’excusais:

« -Euh…désolé… »

Je repris mon chemin, mains dans les poches l’envie de pleurer pour une glace m’étais même venu à l’esprit. Certes cela n’arriverait pas mais j’avais tous de même penser à sa comme solution, pour vous expliquez à quel point j’étais stupide ou du moins je pouvais laisser faire penser que je l’étais.

Bon, c,était un moyen comme un autre, pour le moins étrange, mais ça fonctionnait quand même, Enju rit un peu aussi, mais il ne voyait pas ou était le plus drôle, la fille était juste blasé et fixer sur une chose en particulier. Enju paya donc ses achats à la vendeuse. Il avait réussit à trouver quelques chandails et deux pantalons qui lui allaient plutôt bien. Puis Shingen lui proposa de faire les prochains achats.

Enju haussa les épaules, celui-ci n'avait toujours pas abandonner l'idée de continuer ses achats avec lui, bon, si il insistait, Enju ne refuserait pas un peu de compagnie. Ils sortirent donc du magasin, laissant la vendeuse et sa folle d'employer là sans trop de regret. Ils n,eurent pas marcher une minute que Shingen dévia de sa route pour se diriger vers un vendeur de crème glacer. Enju s'arrêta et attendit.
Bon, celui-ci aurait au moins pu le prévenir, mais bon, il ne dit rien et assista à la petite scène.

Un sourire aux lèvres, bon, Shingen n'était peut-être pas si mauvais que cela. Néanmoins, il fut surpris de voir les jeunes s'inclinés devant lui. Enju ne fit encore la, aucun commentaire, comme si la scène lui semblait familière puis, Shingen s'excusa auprès de lui et Enju fit signe que ce n'était rien. Ils finirent par se rendre dans une boutique de meubles. Bah oui, Enju voulait acheter un bureau pour que Zack puisse y faire ses travaux, mettre son portable et etc...Bref, tout ce qu'un étudiant ou un jeune de son âge avait de besoin.

Enju avait prit les mesures de la pièce et il regarda les différents bureau disponible. Dans un coin, un groupe de jeunes les observaient, Enju en particulier, murmurant entre eux, l'air impressionner. Néanmoins, ils chuchotaient assez fort pour qu'on les entendent de la ou se trouvaient Enju et Shingen.

-C'est lui?-
-Oui...y a pas à se tromper!-
-Mais t'es sur?-
-Mais si je te dit! Il a les yeux vairons! C'est lui!-
-Et le boss veux qu'il revienne...on fais quoi?-
-Je sais pas...j'ai pas de plan...-

Ils refirent silence et continuèrent de les regarder sans vraiment être subtile. Enju fit mine de les ignorer. Cela l'énervait un peu et il n'avait pas vraiment envie qu'on le dérange. Ne pouvait-il pas faire ses comissions tranquille? Il avait quitter il y avait un moment déjà mais on le reconnaissait et on le considérait encore très fortement dans le milieu.

-Celui la aurait du sens...-

Fit Enju en faisant le tour d'un bureau, faisant mine de ne toujours pas avoir vu les jeunes qui s'étaient un peu rapprocher.

Invité

Je suivi Enju jusqu’à une boutique de matériels de bureau, j’esquissais un sourire en voyant l’enseigne. Cela remontait à presque dix ans je me demandais si c’était encore cette personne qui s’occupait du magasin. Je suivi le professeur à l’intérieur, rien n’avait changé c’était assez amusant de voir comme certaine chose ne changeait pas. Je suivi Enjeu travers les rayons, celui-ci semblait cherché un bureau à première vu. Puis c’est à ce moment là que j’entendis et je ne fus pas le seul d’ailleurs les murmures de quelque jeunes qui se trouvaient un peu plus loin. J’esquissais un sourire mes soupçons étaient fonder, bien comment pourrais-je avoir plus d’information. Car voyez vous pour moi rien n’est plus important que l’information. Pendant qu’Enju continuait de chercher son bonheur parmi les articles proposer je me dirigeais lentement vers eux.

« -Vous avez un problème avec les yeux vairons? Vous voulez qu’on en discute? »

J’avais toujours ma cigarette entre les dents, et l’un de mes poing frappait la paume de ma main. Je retirais doucement ma cigarette de ma bouche et je prononçais ses mots d’un air froid. Mon regard en disait long sur ce que je leur réserver. J’esquissais un sourire laissant apparaître une ombre noir sur mon visage. Mon regard n’était plus celui d’un être humain, il n’y avait plus trace de bonté ou d’un autre sentiment. L’un des jeunes recula mais les autre me regardèrent comme si j’avais dit une bonne blague. C’est alors qu’un vendeur apparut, deux agents de sécurités l’encadrant et voila comment je venais de rater un combat qui aurait pu être amusant. Les jeunes gens partirent en courant comme si nous avions commis un acte répréhensible. Contrairement à eux je me retournais vers le vendeur un large sourire au lèvre. Et de ma voix la plus calme et enjoué je le saluais:

« -Je ne t’avais presque pas reconnu tant tu as changé! Tu n’aurais pas pris quelque centimètre? »

Le vendeur sourit, et après que je leur eu serré la mains les deux agents s’éclipsèrent. Cela remonter à un peu plus de sept ans, un crétin avait voulu mettre le feu à la boutique . Et le jeune homme qui était devant moi n’avait que dix ans à l’époque. Il avait trouvé le moyen de ne pas remarquer l’incendie et j’étais moi-même aller le récupérer. Que voulez vous j’adore les enfants, la seule chose que j’aime mis à part moi au passage. Je discutait avec lui un petit moment puis je retournais auprès d’Enju qui était toujours devant ses bureaux. C’est le petit vendeur qui ouvrit la parole le premier:

« -Bonjours, puis-je vous aidez à quoi que ce soit? »

Enju continuait de regarder les bureaux, il essayait d'ignorer les jeunes qui continuaient de parler de lui, mais bon, qui pouvait-il, il n'allait pas alelr leur parler, cela ne ferait que confirmer qui il était. Il n,avait pas envie de rendre des comptes en ce moment. Shingen se dirigea vers eux et Enju préféra ne pas s'en mêler, il n'avait rien à leur dire et si Shingen avait envie de s'en mêler, bien à lui, ils ne se connaissaient...enfin, connaître était un grand mot...mais ils ne s'étaient rencontrer que ce matin.

Puis, un vendeur arriva flanquer de deux grandes baraqués, probablement des gardiens de l,établissement. Enju vit, du coin de l,oeil, les jeunes prendre leur cliques et leur claques et ensuite quitter le magasin sans demander leur reste.

Pendant ce temps, Enju avait vu un autre baraquer se glisser derrière une allée et s'approcher de lui, aussi silencieusement qu'une carpe sur le sol marin. Il ne faisait pratiquement aucun bruit. Mais Enju l'avait aisément vu.

Puis le vendeur s'approcha d'eux, les deux gardes étaient partit. Enju se retourna vers eux puis s'apprêta à parler, mais c'est à ce moment là que l'autre type se pointa et s'élança vers Enju en poussant une sorte de cri barbare. Enju se demandait si le gorille avait vraiment l'intention de se battre dans le magasin. Celui-ci devait bien faire deux fois la taille de Enju.

Celui-ci lança son poing vers lui avec force, Enju ne fit que poser sa main de côté et bloqua le poing sans problème, le coup fut stopper au point d'impacte et le type sentit les os de son bras se brisé, il poussa un cri de douleur et se recula, ne comprenant pas ce qu'il venait de se passer.

-Je crois que ce bureau fera l'affaire...-

Fit Enju sans trop se préoccuper du type qui tenait son bras ballant et briser, ses os étaient probablement en miettes.

Invité

J’avais observé la scène en silence, le crétin se tenait encore son bras qui à première vu était en miette. Je laissais le vendeur s’occuper d’Enju et je me mis en face du type qui avait eu la bêtise d’attaquer quelque un par derrière. Je vais me répété mais je déteste véritablement les êtres faible, il ne mérite de mon point de vu aucune pitié. J’attrapais son bras en douceur et je l’observais un instant, il n’osa pas ouvrir la bouche ou faire le moindre mouvement tant la douleur était importante. J’esquissais un sourire mauvais, de la ou il était le professeur ne pouvait voir mon visage. Je m’approchais doucement du visage de l’abrutit et je lui murmurais d’une voix glacial.

« -Lorsque on est faible on devrait rester à sa place. »

Il me regarda d’un air menaçant, son visage était déformé par la douleur et lorsqu’il tenta de parler j’esquissais un sourire diabolique. Lorsque j’avais attrapé sa main j’avais légèrement érafler sa seconde main et ainsi j’avais touché l’un de ses points nerveux paralysant la presque totalité de son système nerveux. Je ricanais silencieusement pendant qu’il posait un regard effrayer sur moi, j’arrêtais de rire descendant mon regard à l’endroit qu’il fixait. L’un des bouton de ma chemise c’était défait et on pouvait apercevoir la tête du dragon tatouer sur mon torse. Je lui souris plus gentiment mais mon regard était toujours effrayant. Il se mit doucement à tremblé puis il se releva et malgré la douleur partit en courant. Lorsque je revins au côté du professeur celui-ci était en train de signer les papier pour la livraison de son bureau. Une fois que tout eu était réglé je suivi Enjeu l’extérieur, me demandant toujours autant ou je j’avais déjà vu. Une chose m’énervait assez, si je l’avais déjà vu lui ne semblait pas me connaître. Une fois qu’une personne croisait mon chemin elle ne m’oubliait pas même dix ans après. Donc je l’avais déjà vu mais lui non, je devais donc l’avoir croiser et cela il y a un long moment.

« -Dîtes moi il semble que vous soyez une véritable célébrité par ici! »

Lui dis-je essayant d’attirer l’attention sur le fait que beaucoup de jeune gens semblaient bien le connaître. Si je n’arrivais pas à me souvenir de lui j’allais faire en sorte qu’il me fasse me souvenir de lui. Voyons combattre un futur collègue était déconseillé surtout que j’avais de nouvelle responsabilités depuis peu. Je poussais un long soupire et je suivis le professeur à travers le centre commercial, il y avait de moins en moins de monde mais il me sembla apercevoir plusieurs voyou. J’esquissais un sourire, décidemment ce professeur était presque aussi connu que moi voir peut-être même plus. D’un autre côté cette ville était loin de celle ou j’avais autrefois régné. Enfin se ne fut pas vraiment un régne mais plutôt je ne serrais vous décrire avec exactitude se dont il s’agissait. C’était une relation de confiance entre moi et les petit délinquants qui faisaient la lois. Je les avais remis sur la bonne voie avec la seule méthode que je connaissais. Et après cela ils avaient tous décider de me suivre que dis je de me servir. J’avais au bout de deux ans mis à terre tous les délinquants et clan mafieux de ma cher petite ville. J’avoue j’avais aussi tenter de prendre le contrôle de cette ville là mais mon accident m’a empêcher de poursuivre sur cette voie. Je me retournais vers le professeur Seikai et ma cigarette entre les dents je lui demandais:

« -Quel est la prochaine étape? »

Le vendeur eu un peu l,air surpris mais sans plus, Enju en fut content. Il n'avait pas l'intention de provoquer un ruckus dans le centre commerciale et encore moins d'attirer trop d'attention sur lui, bien que malheureusement, juste sortir semblait attirer les regards de beaucoup de monde. Apparemment, tous les voyous s'étaient retrouver à travailler ou à flâner dans le centre. C'était pas de bol pour Enju, mais il n'aurait pas d'autres choix que de faire avec. Le vendeur sortit quelques papiers et s'arrangea avec lui pour la livraison du bureau à son domicile.

Enju ne fit que lui donner le numéro de l'immeuble, il se débrouillerait pour monter le bureau. Puis il signa les papiers, Shingen revint à ce moment là. Plus de trace de l'autre grosse brute. Enju se demandait si il lui fallait les compter avant qu'ils ne cessent de venir l'importuner. Il sourit à cette pensée. Dans le temps, il n'avait pas vraiment ce problème, mais en ce moment, si il avait bien comprit, le grand boss voulait le voir revenir parmis eux, mais Enju avait une vie qui lui plaisait et il n'avait pas l'intention de l'abandonner pour retourner là bas. Il avait fait sa part et il ne devait rien à personne.

Bien que la majorité des gens ne le connaissaient que sous le nom de Mad Midnight. Enju ressortit du magasin, bon, cela faisait une chose de régler, il ne restait qu,à magasiner pour un portable et il aurait le nécessaire pour le moment du moins, pour que Zack puisse au moins se divertir. Ce n'était pas tous les jeunes qui se divertissait avec un instrument de musique, bien que Enju n'en manqua pas chez lui. Ils se dirigèrent vers le magasin, puis Shingen lui fit remarquer qu'il semblait être célèbre. En effet, Enju était célèbre sur les deux côtés de la médail. Il l'avait été parmis les délinquants de la rue et l'était désormais parmis les grandes scènes internationales.

Enju était en train de se demander si Shingen ne cachait pas quelque chose. Probablement, comme tout le monde. Son visage ne disait pas grand chose à Enju, mais peut-être que lui, ne lui était pas inconnu. Il s'arrêta et se tourna vers Shingen puis dit d'un ton un peu ironique.

-Tiens, vous aviez remarquer?-

Enju soupira. Il n'avait plus vraiment envie de faire des comissions. Il repéra un banc et alla s'y asseoir suivit de Shingen. Celui-ci lui demanda quel était la prochaine étape.

-....-

Il ne dit rien, il venait d'appercevoir une autre bande qui le connaissait. Il soupira de nouveau et se tourna vers Shingen.

-Ce n'est pas la première fois que l'on se rencontre n'est-ce pas?-

Fit-il. Ses yeux bicolore était voilé d'une ombre de mystère.

Invité

Je marchais à côté du professeur attendant sa réponse qui arriva alors, j’eu l’impression que sa réponse était ironique mais je ne fis aucun commentaire. Je continuais à le suivre lorsqu’il alla s’asseoir sur un banc, je restais debout juste à côté. Je me serrais bien assis mais après pour me relever je risquais d’avoir du mal. Le professeur ne me répondit pas lorsque je lui demandais ou il devait aller maintenant il garda le silence. Je suivi le regard d’Enju et d’un rapide coup d’œil j’aperçu un nouveau petit groupe, j’esquissais un sourire. Le professeur soupira et se retourna vers moi pour me demandais si c’était vraiment la première fois que l’on se rencontrait. Mon sourire s’élargit à cette question et malgré la douleur que je ressentais à ma jambe droite je m’assis à côté de lui.

« -Sa c’est à vous de me le dire. »

J’avais retiré ma cigarette chose que je ne faisais que lorsque j’étais vraiment sérieux et je laissais la fumée s’envolait dans les air. J’observais la petite bande qui c’était arrêter un peu plus loin, il ne semblait pas vouloir bouger tous de suite comme si ils attendaient quelque chose. Mon regard s’assombrit, je me dis que puisque nous on étions arriver la autant que je lui raconte une petite histoire. Par ou devrais-je commencer, je ne voulais pas non plus lui raconter ma vie cela ne le regarder pas. Je continuais à observer les jeunes gens puis je retournais mon regard vers le professeur un large sourire au lèvre. Et d’une voix extrêmement calme je commençais à parler:

« -Si vous ne voyez pas qui je suis c’est que vous n’avez pas du me croiser mais peut-être avez-vous déjà entendu parler de moi. Je me contenterais de l’essentiel, par ou pourrais-je commencer? C’est une histoire qui touche surtout la ville qui se trouve un peu plus au sud mais aussi un peu celle-ci. Cette histoire porte le nom de Dragon, elle parle d’un jeune homme qui au bout de trois ans a réussi à mettre tous les petits délinquants, mafieux et autres criminels à terre. Il a ainsi combat après combat fait d’une ville qui sombrait dans les ténèbre un lieu à peu près sain et vivable. »

J’avais été une légende à l’époque et encore aujourd’hui beaucoup de gens connaissait le nom de Dragon et du gang des Dragons noir. Autour de nous plusieurs autres groupes de jeunes gens commençaient à arriver, je souris à l’idée de m’amuser un peu. Mais je savais qu’il fallait que j’évite d’attirer l’attention, je devais m’effacer autant pour mes petits que pour mes camarades. Il était temps de laisser place à la jeunesse, non pas que je sois très vieux je ne veux d’ailleurs pas y penser. Puis quelque chose lui revint en tête, c’était il y a longtemps il discutait avec un ami qui lui avait parler d’un type au yeux…!!!! Je me relevais stupéfait de ne pas avoir fait le rapprochement avant, c’est fou comme je pouvais être stupide parfois. Autant de stupéfaction que de joie d’avoir enfin découvert son identité je hurlais pratiquement:

« -Vous êtes Mad Midnight!!! »

Il avait vaguement entendu parler de cette personne quelque années auparavant et c’était en parti à cause de lui qu’il avait mis les pieds dans cette ville. Mais se dire qu’il avait l’occasion de le rencontrer mais qu’il ne pouvait pas l’affronter le déprimer horriblement. Autour de nous les jeunes nous avaient parfaitement entendu et commençaient à chuchotaient très bas entre eux. Je me rassis aussitôt et je m’excusais puis au fond du centre commercial j’aperçu un petit bonhomme qui courait vers nous. C’était un tout jeune enfant, par n’importe quel enfant puisque c’était mon bébé. J’écarquillais les yeux on l’observant s’approcher de nous tout seul! Il me sauta dans les bras et ne me lâcha plus puis après quelque minutes les trois crétins apparurent haletant autant les uns que les autres. Je leur posait une seule question mais aucun d’eux ne pu me répondre:

« -Qu’est-ce que vous faites ici? »

Enju écouta Shingen sans broncher. L'histoire lui disait quelque chose, certe, il en avait entendu parler, mais comme cette histoire concernait une autre ville, Enju n'y avait pas vraiment porter attention, il s'occupait alors de son côté et cela était suffisant, il n'avait pas vraiment eu de grandes ambitions au sein des groupes de rues, mais il accomplissait ses tâches avec une perfection presque inhumaine. Aussi, avait-il décider de quitter lorsqu'on voulu lui confier des tâches d'assassinat. Il était loin d'être un de ces yakuzas sans scrupules. Il avait une vie maintenant et il ne comptait pas la laisser filer.

Enju tourna son regard bicolore vers Shingen et n'eu qu'une esquisse de sourire, mais celui-ci disparut totalement lorsque celui-ci évoqua son surnom. ''Mad Midnight'' Un nom qui lui allait très bien car, disait-on, sur le coup de minuit, une lueur de folie apparaissait dans son regard et il était prêt à tuer le premier venu qui aurait l'audace de l'importuner, mais cela ne durait jamais bien longtemps. Un silence se fit autours, il vit les jeunes chuchoter un peu plus loin. Voilà, il était repérer et clairement identifier. Enju poussa un nouveau soupir. L'autre s'excusa après s'être assis de nouveau. Il était trop tard pour les excuses, le mal était déjà fait.

-Ce n'était pas la peine de le crier...-

Fit Enju d'un ton qu'il tentait de garder neutre, teinter d'une froideur étrange et déroutante.

Puis un bambin se mis à courir vers eux, plutôt jeune pour être seul dans un centre commerciale comme celui-ci. Apparemment, l'enfant était connu de Shingen, Enju ne posa donc pas de question.Il se contenta de regarder l'enfant d'un air qu'il voulu plus doux. Il n,allait pas se mettre en colère pour ça et ce n'était pas la place non plus de toute façon. Il se contenta d'observer alors que Shingen leur posait une question et qu'aucun des trois ne semblait savoir quoi répondre.

Pendant ce temps, Enju regardait sa montre, il n'avait pas vraiment avancer, mais il n'avait vraiment plus envie de faire des comissions, il aurait préférer rentrer chez lui, se prendre un bon verre de saké et jouer un peu de violon. Cela le calmerait de sa journée. Mais bon, les choses semblaient devenir intéressante, apparement, ce type le connaissait, mais sans vraiment le connaître. Cela attira sa curiosité.

Invité

J'étais en train d'étouffe tant le petit me serrait. Son père était mon meilleur ami et mon bras droit. Lorsqu'il est mort il y a quelque mois j'ai décidé de m'occuper de son fils comme il me l'avait demandé de son vivant. Le petit était adorable mais au delà de son apparence il possèdait une grande intelligence. J'esquissais un sourire à son attention et il me lâcha le cou pour rester assit sur mes genoux. Pendant qu'il jouait avec sa peluche tout en observant Enju, je me concentrais sur les trois crétins:

"-Alors! Aucune réponse!?"

Je les trouvais amusant à rester là les bras ballant l'air désolé. Ils étaient vraiment pathètique, je poussais un soupire me concentrant sur les jeunes gens un peu plus loin. Sur mes genous le petit gigotait, il observait Enju avec de grand yeux. Puis après un instant il se mit à rire et il lui tendit sa peluche l'air de dire "joue avec moi". Au fond du centre commercial il commençait à avoir du monde. J'aurais aimé m'amuser mais je venais de decouvrir une chose beaucoup plus intéressante.

"-Et bien puisque vous êtes là rendez vous utile!"

Je leurs désignais les petits groupes un peu plus loin. Ils étaient pas loin d'une vingtaine la plupart avec des battes ou des chaines. Je les observais l'air de dire "A moins que vous ne soyez pas capable de les battres?". Ils sourirent puis celui qui était censé m'avoir remplacer retira sa veste et la déposa sans un mot. Les trois trotinèrent vers les jeunes gens, leurs regards étaient assez effrayant et leurs compétences au combat étaient élevée. Pendant qu'ils s'occupaient des types je me retournais vers Enju un large sourire au lèvre:

"-Donc vous êtes bien Mad Midnight? Je n'aurais jamais cru vous rencontrez un jour."

Le petit continuait à s'amuser avec Enju. Il avait réussi à faire en sorte que le professeur s'amuse avec lui. Cet enfant était vraiment très fort. J'attendais une réponse ou une réaction. Un peu plus loin on entendait les coups des combats. J'esquissais un nouveau sourire qui s'effaça lorsque le gamin m'arracha ma cigarette de la bouche. Je restais paralyser puis je me levais et le posais sur le banc sortant mon paquet comme un automate et allumant une nouvelle cigarette. Tout revint alors à la normal et je me repris.

Enju se contenta de sourire doucement à l,enfant alors que celui-ci jouait avec sa peluche. Il le voyait l'observer, aussi Enju ne détourna pas le regard, ayant tout de même une bonne connaissance psychologique des enfants, mais la n'était pas le besoin d'appliquer sa médecine, il était en présence d'un enfant qui apparemment, voulait jouer. Enju avait vite comprit le message. Les trois types repartirent, ils se dirigèrent vers les jeunes d'un peu plus tôt, ceux-ci se rassemblaient, mais pourquoi? Il soupira, ils ne voulaient probablement pas lui faire du mal et Enju savait exactement pourquoi ils étaient là, malheureusement. Ils voulaient qu'ils reviennent et ils étaient venu le chercher.

Finalement, Shingen lui dit qu'il n'aurait jamais cru le rencontrer un jour. Non, en effet, celui-ci ne l'avait pas rencontrer du temps de ses jeunes années, alors qu'il travaillait du côté sombre de la lumière, tout en étant un élève modèle pour sa mère et en étant le parfait assassin pour le patron. Ce n'étaient pas des années qu'Enju chérissaient tout particulièrement, peut-être à part de bons amis qu'il s'y était fait, mais dans ces années là, il s'était surtout fait de glace. Chose étrange pour une personne qui semblait si chaleureuse et qui avait tant à coeur ses étudiants.

-Et bien, maintenant c'est fait...je sais que je suis plutôt connu...en fait...il y a peu de gens qui ne connaissent pas ce nom...mais, par simple curiosité...d'ou l'avez vous entendu?-

Finalement, il avait décider d'amuser un peu le petit en lu ifaisant un petit tour de passe passe, mais celui-ci ne semblait pas très convaincu, il lui fit un sourire amusé puis fit réellement disparaître la pièce d'entre ses mains que l'enfant examina avec attention, et, ne trouvant pas la pièce manquante, il eu l'air impressionner. Le petit enleva soudainement la cigarette de la bouche de Shingen et celui-ci sembla comme qui dirait, figer, il déposa le petit qu'Enju finit par prendre sur ses genoux sous les insistances de celui-ci et Shingen se ralluma une nouvelle cigarette. Bien qu'il fut interdit de fûmer dans le centre commerciale, Enju n'avait pas vraiment envie de lui dire de la jeter, de toute façon ,ce n'était pas à lui de le faire.

Des gardiens ne tardèrent pas à intervenir dans la bagarre et celle-ci se termina après quelques altercations plutôt violentes. Enju leva son regard vairon vers Shingen, question de bien entendre ce qu'il allait lui dire. L'enfant jouait maintenant avec une des mèches de cheveux qui tombait sur son torse.

Invité

J’avais bien entendu la question du professeur mais j’avais déjà mis un temps fou à me souvenir d’où j’avais bien pu entendre parler de lui alors me souvenir d’autre chose. J’esquissais un sourire lorsque j’aperçu les trois imbéciles s’énervaient contre les gardiens. Ils c’étaient fait arrêter pour une chose aussi futile c’était vraiment pathétique et amusant . Je me retournais vers Enju qui attendait toujours une réponse et j’observais le petit qui s’amusait avec sa peluche sur les genoux du professeur. Puis je finis par répondre petit à petit au fil de mes souvenirs qui me revenaient doucement:

« -C’est le père du petit qui m’a parlé de vous il y a longtemps lorsqu’il était encore en vie. »

Devoir parler de mon vieil ami me faisais terriblement mal car malgré ma personnalité assez particulière je restai humain. J’observais le petit qui avait l’air de toujours chercher la pièce que le professeur avait fait disparaître. J’esquissais un sourire et lui ébouriffais les cheveux ma cigarette toujours dans la bouche. C’était fou comme le petit pouvait ressemblé à son père, les même yeux curieux et les même cheveux châtain. Après un petit moment je repris ma voix était toujours très calme:

« -Son père était connu par tous les gang et mafieux de la région, c’était comme qui dirait le roi de l’information. Lorsqu’il s’agissait d’information il était déjà au courant avant même les personnes concernaient. Je ne pourrais pas vous donnez son nom exacte tant il on avait mais la plupart du temps il se faisait appeler le roi de l’info! »

C’était la seule personne à avoir récapituler ma vie sans ce faire tuer par mes soins. J’esquissais un sourire et je me relevais ma jambe droite tremblant un peu. Même après toute ses années je souffrais toujours autant et la douleur ne semblait pas vouloir me quitter. Je poussais un long soupire et je me retournais vers le professeur. Le gamin était toujours sur ses genoux et s’amusait avec ses cheveux comme si il n’on avait jamais vu. Il fallait dire que la couleur n’était pas très habituel et que le petit avait une adoration convulsif pour le rouge. Je fixais le professeur et je lui dis sérieusement mais avec un léger ton amusé:

« -Si vous voulez finir vos courses il vaudrait mieux continue! »

Le petit jouait toujours avec ses cheveux, celui-ci semblait presque hypnotiser par la couleur de ceux-ci. Enju tenait cette couleur de ses origines irlandaises. Il était d'un étrange sang mêlé mais cela ne l'avait jamais empêcher de se faire respecter.

Enju écouta la réponse de Shingen. Ainsi donc...le roi de l'info qu'il se faisait appeler. Enju sourit, celui-ci n'avait donc pas eu toutes les données sur lui puisque Shingen ne s'était pas douter de son identité lorsqu'il avait donner son nom. Et celui-ci était mort. Enju jeta un regard à l,enfant, orphelin...tout comme lui, enfin, presque. Enju ne considérait plus vraiment son père dont il n'avait plus de nouvelles, comme vivant. Disparut depuis bell lurette lors d'un crash d'avion.

-Je vois...-

Fit Enju.

Puis Shingen lui fit remarquer que si il voulait terminer ses comissions, il lui valait mieux les continuer. C'était un fait, mais Enju n'avait plus la tête à cela. Néanmoins, il lui faudrait passer par-dessus, ce n'était pas pour lui qu'il faisait des comissions, mais pour Zack, donc, il devait les finir. Enju hocha tout simplement la tête et dit.

-J'imagine que vous avez raison...-

Le petit ne voulait cependant pas descendre,d'aileurs, celui-ci cherchait toujours la pièce qu'Enju avait fait disparaître. Enju se leva tout de même, prenant l'enfant dans ses bras et le déposant sur ses épaules,cela sembla faire le bonheur du petit qui s'accrocha à ses épaules avec un rire amusé.

-Il me reste à trouver un bon ordinateur portable et ça devrait être bon pour la journée...-

Fit Enju en cherchant le magasin d'électronique du regard.

Invité

J'esquissais un sourire, bien sûr que j'avais raison! J'avais d'ailleurs toujours raison ou enfin presque toujours. Enju finit par se lever prenant le petit dans ses bras et le soulevant pour le mettre sur ses épaules. Je souris cette fois, le petit était très fort pour obtenir se qu'il désirait. Le professeur lui dit qu'il ne restait qu'un ordinateur portable à acheter. Je secouais la tête décidemment c'était le jour des dépenses pour mon collègue. Je l'observais chercher du regard la boutique en question et j'esquissais un petit sourire. La seule boutique d'électronique encore ouverte se trouver dans un coin du centre commercial. Un endroit impossible à trouver du regard. Je lui dis alors un peu amuser:

"-Je crois bien que c'est par là!"

Je lui indiquer un petit passage assez sombre entre deux boutique. C'est à ce moment qu'un type me sauta dessus et m'aggripa au cou. Il avait des cheveux bleu et des yeux tout aussi bleu des vêtements encore bleu. Il me fit un large sourire en gardant une main autour de mon cou. Je le connaissais assez bien puisqu'il s'agissait d'un des chanteur du Night Club dont j'avais la charge. Soudain son jumeau apparut juste à côté d'Enju il s'inclina légérement et me lança un regard désolé. Les deux n'utilisaient leurs voix que pour chanter et rien d'autre. Leurs caractères étaient en total opposition l'un par rapport à l'autre, ils étaient âgé chacun de quinze ans. Je les observais et je leur demandais sachant pertinement que je n'aurais aucune réponse:

"-Que faites vous là?"

Le premier retira sa main de mon cou et me fixa un moment. Puis il me fit un...un câlin, il n'avait pas toute sa tête autant l'ignorer. Je fixais le second qui esquissa un nouveau sourire désolé. Celui-ci sortit une feuille et me la montra. Je hochais la tête et la lui rendis. Ils avaient finalement écrit leur nouvelle chanson et ils voulaient me la faire écouter. Je sortie une carte et un stylo et je notais rapidement une adresse. Le second attrapa la carte, s'inclina et sans alla. Le premier était toujours contre moi et me fixait l'air de dire "et pourquoi pas maintenant?". Je poussais un soupire et le second attrapa son frère par l'oreille et le traina vers la sortie. Nous étions juste en face du passage et au fond on pouvait voir la boutique d'électronique.

"-C'est juste devant, à vous l'honneur!"

Enju hocha simplement la tête alors que Shingen lui montrait l'endroit ou se trouvait la boutique. Comme Enju ne sortait pas souvent de chez lui et qu'en plus, le centre commerciale avait fait de nombreux travaux depuis le temps, le professeur de musique ne connaissait pas toutes les boutiques, aussi apprécia t-il finalement l,aide que lui avait proposer son collègue. Le petit jouait encore dans ses cheveux.

Puis deux énergumènes, dont l'un ressemblait à un énorme bleuet, vinrent les trouver, Shingen leur parla mais aucun des deux ne répondit, Enju se contenta d'observer sans dire un mot. Finalement, les jumeaux s'en retournèrent et Enju ne pu s'empêcher de leur trouver une ressemblance avec un numéro de mîmes comique. Enfin, Shingen lui fit signe de passer le premier. Enju haussa les épaules et se dirigea vers la boutique en question, empruntant le petit passage sombre. Il était étonner de voir que les lumière frémissaient, comme si elles étaient grillés à certains endroits. Apparemment ,cette partie de la bâtisse n'était pas très bien entretenu.

Il se contenta de continuer son chemin. Il remarqua aussi que bon nombre de jeunes punk et autres traînassaient dans le coin et lui jetaient des regards de temps à autres. Un véritable piège tendu dans lequel Enju s'apprêtait à mettre les pieds. Le petit leur jetait des regards de temps en temps, Enju arriva devant la boutique, c'était pas ce qu'il y avait de plus chic, mais il semblait y avoir du bon matériels.

Enju vit les jeunes bouger dans le reflet de la vitrine, ceux-ci attendraient probablement qu'il sorte avec de l'équipement pour l'attaquer, à moins que ceux-ci n'en ai qu'après l'argent. Leur intentions étaient dessinés sur leur front aussi nettement qu'une tâche noir sur une feuille blanche.

-....décidément....c,est difficile de faire ses emplettes tranquilles!-

Invité

Je suivi Enju sans un mot, me demandant parfois qui pouvait leur avoir dit que j'étais la. Je remarquais un nouveau groupe au look assez particulier mais il ne m'intéressait pas. Le petit sembla attirer par les étrange coupes de cheveux et par leur couleurs. Mais après avoir jeter plusieurs regards il se detourna. Il semblait avoir une net préférence pour les cheveux du professeur avec lesquel il jouait. Je détâchais mon regard du gamin et je fixais le professeur. Il ne me semblait pas avoir remarquer quoi que ce soit. Mis à part les faibles punk qui étaient dérrière nous. Je penchais la tête sur le côté un large sourire au lèvre et je lui dis comme si de rien n'était:

"-Je vous attend ici, on ne m'aime pas beaucoup dans cette boutique!"

Il fallait dire que me battre dans un magasin d'électronique n'était pas ma meilleur idée. De plus j'avais envie de discutter avec ces petits jeune. Une fois Enju à l'intérieur je me retournais vers les jeunes. Un sourire diabolique s'afficha sur mon visage et mes yeux s'enflamèrent. Les jeune gens me fixèrent un moment puis reprirent leur activiter. L'un d'eux s'approcha de moi l'air de dire "qu'est-ce que tu veux le vieux?". J'esquissais un sourire et je lui désignais un sac juste à l'endroit qu'il venait de quitter. Il écarquilla les yeux puis à la surprise de tous s'excusa. Je lui fis signe que ce n'était pas grave puis je m'appuyais contre un mur parmi eux. Après plusieurs minutes de discussion et de plaisanterie Enju revint. Je m'approchais tranquilement les mains dans les poches et je demandais:

"-Vous avez tout?"

Le petit avait compris que sa presence gêné Enju celui-ci devant porter ses courses. Il me fit donc signe de le prendre dans ses bras. J'obtempérais aussitôt, j'espérais sincérement qu'il ne toucherais plus à ma cigarette. Il se mit à s'amuser avec ma cravate à mon soulagement. J'esquissais un sourire et je raccompagnais Enju jusqu'à la sortie.

Enju entra donc dans la boutique seul, laissant le petit aux soins de Shingen. Il se retrouva aussitôt entourer d'ordinateur, de systèmes et d'autres modèles d'exploitation. Enju n'avait rien d'un connaisseur dans ce domaine et il se demandait bien comment il allait s'y retrouver. Surtout qu'en général, si les vendeurs savaient que vous n'y conaissiez rien, ils s,empressaient de vous vendre le modèle le plus cher pour avoir droit à la comission.

Un vendeur vint le voir, un large sourire aux lèvres, Enju se contenta de le regarder. Le vendeur lui fit faire le tour et lui montra les différents modèles de portable qu'il avait. Enju réfléchissait, il ne voulait pas acheter pour trop cher, pas qu'il n'en avait pas les moyens, mais il était du genre économe, il opta pour un modèle récent et il conclu avec le vendeur. Il pourrait passer prendre l'appareil le lendemain, quand il serait prêt. Enju ressortit du magasin, facture dans ses poches. Shingen vint le trouver, le petit dans les bras. Enju hocha la tête.

-Oui, c'est tout pour aujourd'hui!-

Fit Enju d'un ton apparemment soulager. Il détestait faire les boutiques, encore moins quand les boutiques en question étaient envahit par tout les jeunes qui travaillait pour le boss et que celui-ci voulait le voir revenir travailler pour lui. Enju et Shingen se dirigèrent vers la sortie et une fois dehors, Enju prit une grande respiration.

-Enfin! Ter.mi.né!-

S'exclama le jeune professeur de musique en s'étirant, comme pour saluer le soleil qui perçait les nuages. Il se retourna vers Shingen et dit.

-Eh bien, merci de votre aide! Sur ce, je vais vous souhaitez une bonne fin de journée!-

Enju avait terminer ses comissions, il comptait rentrer chez lui, jouer un peu de musique, boire un verre de saké et probablement se reposer, comme le lui avait prescrit l'infirmier. Il s'inclina un peu pour saluer Shingen puis repartit. A moins que Shingen ne lui veuille autre chose, Enju allait rentrer chez lui.

» Shingen Shuei alias le Dragon (ACCEPTÉ)