le "training" du nouveau (RP avec Nabe Gaki)

Ackermann était à l’extérieur le dos appuyé sur la porte de sortie des cuisines. Il prenait de longues et profonde bouffé de sa cigarette et admirait la fumé danser devant ses yeux. Il resserra son blouson sur lui, ce matin il faisait un peu frisquet, l’autonome approchait. Une autre inspiration, il ferma les yeux pour mieux ressentire la fumer descendre lentement dans sa gorge. Une sensation que Ackermann adorait, en plus cela lui permit de se détendre un peut. Il en avait bien besoin, hier Kyouya (directeur) et lui partirent faire le tour des bars ENCORE. L’allemand aimait bien ses nuit de beuveries avec son collègue, mais à la longue c’est pas mal fatiguant. En plus aujourd’hui il devait s’occuper de la formation d’un nouvel employé qui devrait arriver dans quelques heures. Il prit un dernier bouffé de sa cigarette et la garda longtemps la fumé dans sa bouche avant de la laisser s’échapper tranquillement de ses lèvres. Il jeta sa cigarette sur le sol, l’écrasa bien et rentra à l’intérieur. La cuisine était vide et silencieuse, les autres employés n’étaient pas encore arrivé. Ackermann retira son blouson et le fourra gauchement dans un placard, d’où il sortie son uniforme qu’il enfila lentement due à la fatigue. Il s’étira et bailla bruyamment, les bras bien tendu vers le haut.

Bon mettons nous au travail maintenant. Il devait préparer la cuisine pour le petit déjeuné, et ensuite pour le dîner. Pendant qu’il faisait ses petites affaires un, ou deux collègues étaient déjà arrivé pour préparer les déjeunés. Ils firent quelques remarquent amusante sur l’apparence de leur supérieur, des énormes cernes, cheveux en bataille, sa barbe qu’il avait oublié de rasé. Tout le monde étaient là maintenant, sauf le nouveau qui ne devait pas tarder. Pendant qu’Ackermann faisait griller des bagels il essayait de s’imaginer à quoi pourrait bien ressembler le nouveau. Kyouya lui avait un peut parler de cet personne, d’après le directeur c’était un jeune homme très charmant. Mais si c’était le contraire? Ackermann n’a jamais été une personne avec beaucoup de patience, et encore moins présentement puisqu’il à la gueule de bois. Si son nouvelle employé se révèle être une peste il risquerait de lui arracher la tête avant la fin de la journée. Le cuisiner priait fort que le nouveau sois un jeune homme calme, autonome, blablalbla. En gros, le parfait petit employé.

Ackermann jeta un coup d’œil à sa montre.
(Bon il devrait arriver dans minutes maintenant.)

Gaki s'était éveillé plutôt tard ce matin la. Son réveil n'avait pus sonné, étant donné qu'il n'y avait plus de pile a l'intérieur et qu'il préférait garder son argent pour quelque chose de plus important comme de la nourriture ou... la nouvelle jupe a rayure qui venait de sortir en magasin!!! Bref, pour autre chose. Il avait d'abord fallu qu'il prenne sont temps pour bien choisir ses vêtements. Après tout, il fallait faire bonne impression lors de sa première journée de travail officielle. Il pris donc la peine de bien accorder les couleurs sans toutefois en mettre trop. Il savait aussi qu'il valait mieux ne pas porter de robe ou de jupe, maladroit comme tout, Gaki pourrait facilement salir ses plus beaux atours! Il se décida enfin pour un pantalon droit sombre et une chemise a rayure, ce qui lui pris environ une heure et demi...

Il était plutôt tard, suite a cela, et il se priva de petit déjeuner afin de ne surtout pas arriver en retard. Il couru vers l'endroit qui lui servirait bientôt de lieu de travail: l'école Tanaka. Le bâtiment se dressait devant lui, le faisant sourire aux souvenirs du temps ou il y étudiait. Mais maintenant, il y aurait toute cette foule d'étudiant grouillant dans la cafétéria sur les heures de repas, attendant avec espoir les plats qu'il aurait confectionné pour eux.

(Un foule...d'étudiants...attendant après...moi..?)

Il fallait s'en douter, le trac le pris avec violence! Heureusement pour lui, il n'avait rien manger, sinon, le petit sensible qu'il est aurait présenté le tout au trottoir... L'envie le pris un instant de faire demi-tour, mais il se ressaisie et décida de...

(Faire face. Je dois faire face au défi qui m'attend!)

C'est que ses échecs précédents stressaient Gaki au plus haut point! Un pas après l'autre, il vainquit les idées stupides qui l'assaillaient et entra dans les cuisines ou l'attendait impatiemment un homme grand et a l'allure sévere. Il figea, commenca a faire demi-tour, se calma un peu et, avec le plus beau des sourires, se retourna vers l'homme en chantonnant:

''Bonjour!''

Le « rush » du petit déjeuné était enfin finis. Les subordonnées de Ackermann avaient déjà quitter les cuisines pour se reposer un peut avant de commencer à se préparer pour le dîner. Le chef regarda sa montre, le petit nouveau est en retard, il aurait due être là il y a une heure. Ackermann fut très hérité par cela. Comment peut on faire aussi mauvaise impression lors de sa première journée? Il s’appuya sur un comptoir et décida de l’attendre, puisque leur point de rendez-vous était les cuisines, il ne pouvait pas aller ailleurs. Il bailla bruyamment en s’étirant. Le pauvre été encore endormie et il aurait préféré être au lit que de devoir faire le training d’un petit nouveau. Vraiment, quel galère.

Emil regarda de nouveau sa montre, une heure et quart de retard maintenant. Il soupira d’exaspération, il n’a jamais eu beaucoup de patience et encore moins en cette journée grise et froide. Il se redressa et se dirigea vers les casiers des employer, après avoir fouillé un peut il en sortie un joli uniforme blanc. Le même que le sien, mais quelques tailles plus petite. C’est le directeur qui l’avait commandé. Ackermann examina l’ensemble…..
(Tch! Maigrelet l’nouveau.) se dit-il.
Il retourna s’appuyer au comptoir où il était quelques minutes plutôt, l’uniforme en mains. Le nouveau était pas encore arrivé, quel plaid.

Quand le chef commença à s’impatienter furieusement la porte de la cuisine s’ouvrit brusquement. Il se retrouva face à un jeune homme, bien plus petit que lui et qui arborait un expression de surprise et frayeur. Mais cette expression changea rapidement et prit la forme d’un large sourire ensoleillé, et ensuite le jeune homme le salua. Ackermann l’examina pendant quelque instant.
(Ouais un petit maigrelet.) se dit-il.

Il jeta l’uniforme dans les bras du jeune homme.
« Tu dois être, Nabe Gaki? T’es pas mal en retard tu sais? » dit le chef sur un ton peut accueillant.
« Je m’appel Emil Ackermann, je suis ton supérieur et j’espère que un truc du genre ne se répètera pas. Ça c’est ton uniforme, lave le régulièrement. Ici les règles d’hygiènes sont très sévères, donc respect les biens. » après ses quelques phrases le cuisiner entraîna le jeune Nebu vers un calendrier.
« Sur ses calendriers son indiqués tous les différents menu que nous servons dans une journée. Comme aujourd’hui c’est dîner poulet sichuan, avec riz frit, légumes vapeur et soupe de vermicelles. Ce sera le premier repas que tu vas préparer. » il se tourna vers son subordonné pour lui faire face.
« Nous devons en préparer assez pour au moins mille étudiant, pense tu en être capable? » continua t-il sir un ton strict.

Gaki fut surpris d'entendre cette rude voix s'adresser à lui et c'est avec une main tremblante qu'il saisit son nouvel uniforme de travail. Il réalisa sa stupidité de s'acharner à accorder couleurs et styles en mettant ses vêtements, maintenant que son nouveau patron lui faisait remarquer que son retard gâchait beaucoup plus sa réputation que ne l'aurait pus faire un chandail fushia avec un veston foret. D'autant plus qu'on ne les verrait même pas maintenant qu'il porterait l'habit blanc...

Il entendit ensuite son supérieur énumérer le menu et le nombre d'étudiant qu'il devrait satisfaire dans les prochaines heures, ce qui le fit déglutir d'angoisse.

(Ne plus faire de gaffe...Je ne doit pas faire de gaffe, vu la tête de ce type, sinon je suis mort!)

En écoutant de temps en temps les paroles du type en question, Gaki compris qu'on attendait surement de lui qu'il se lave les mains, ce qu'il s'empressa de faire sitôt le discours terminé, puis, l'uniforme sous le bras, retourna afficher un joyeux et sympathique sourire à...

«Monsieur...Acker...mann..?Je suis prêt à accomplir mon devoir! Mais... où est-ce que je dois aller me changer?»


Tout en attendant la réponse à cette question, il fit un pas. Non, pas un pas, LE PAS! Il piétina le pantalon qu'il transportait qui trainait sur le sol et, en tentant d'éviter un déchirement quasi certain, s'inclina vers l'avant, entrainant une chute ridicule dans la direction de son patron. Il ferma alors les yeux, effrayé par ce que cette gênante situation apporterait: surement un échec de plus à mettre sur sa liste des situations les plus embarrassante, causées par sa maladresse légendaire...

Ackermann regarda attentivement son subordonné pendant que celui-ci ce préparait à la tâche. Au moins il savait quoi faire, mais le subordonné en question revint dans sa direction et demande où pouvait-il se changer. Il ne pouvait quand même pas se déshabiller en pleins milieu des cuisines. Le chef cuisinier avait oublié de lui parler des vestiaires à côté de la sortie. Il soupira encore bruyamment et pointa vers la direction de vestiaire, avant qu’il peut dire un mot….. PAFF! Le petit Nebu Gaki venait de perdre pied et lui était rentré dedans. Emil peut le saisire d’un bras pour l’éviter de tomber, mais il chancelât dangereusement.
(Aaar! L’idiot! Il fait vraiment tout pour me mettre en colère.) se dit-il furieusement.
Ce qui devait arriver, arriva. Le cuisiner tomba brutalement sur le dos, les yeux bien clos, son subordonné toujours pris entre son torse et son bras.

Ackermann était furieux! C’est un inconnu, son subordonné, un petit maigrelet. Emil était découragé, il n’en attendait pas beaucoup de se jeune homme au dessus de lui. Le cuisinier prit un profonde respiration. Il réfléchi à quelque chose à dire à se bon à rien….
(Aaar pourquoi ne se dégage t-il pas? Vraiment il m’énerve déjà celui là!) se dit Ackermann, toujours avec les yeux fermé.

Il rouvrit les yeux, et tourna son regard sur le jeune homme par dessus lui dans l’intention de lui réprimander furieusement sa maladresse. Il vit que Nebu était tout recroquevillé, les yeux fermé. Avait-il eu si peur que ça?
(Tche, un vrai bébé.) pensa le cuisinier.
Il regarda de nouveau son subordonné et eu un petit flash-back qui remontait il y à quelques années, quand il venait d’être engagé dans cette établissement. Kyouya, le directeur, lui faisait visiter les cuisine quand il trébucha sur une débarbouillette qui traînait sur le sol et tomba dans les bras d'Emil. Le directeur arborait la même expression que Nebu affiche présentement. En repensant à cet évènement, Emil eu un petit sourire en coin, mais se sourire disparu rapidement et fut remplacé par un rougissement incontrôlable. Pourquoi? Il ne le savait pas vraiment.
« Hé! T’es lourd, est-ce que tu va te pousser ou non?! » dit Ackermann sur un ton sévère.
Il n’attendit pas la réponse de son subordonné qu’il le repoussa de façons à ce que celui-ci se trouve à côté de lui, et il se releva.

Ackermann épousseta sa chemise et son pantalon, et il pointa de nouveau en direction des vestiaires.
« C’est là bas que tu dois aller te changer, il y à même des casier pour que tu y mette tes affaires. Allé dépêche toi! » il dit ses mots en évitant le regard du jeune homme, ne voulant pas montrer son expression d’embarra à celui-ci.

Au mots de son supérieur, Gaki eu le premier réflex de pense à son poids, en s'attardant sur le mot 'lourd'.

(Oh non! j'ai encore grossi!?)

Réalisant soudain qu'Emil n'avait pas eu le temps de se pousser de son chemin lors de sa chute, et qu'il était sous lui, notre petit marmiton se mit a rougir tout en restant figé sur place. Là, il était vraiment dans la m***e! Il en était sur, il venait de faire la gaffe de sa vie, il se ferait renvoyer avant même d'avoir cuisiné un plat, encore...

Il se sentit tout a coup poussé sur le coté. I se retrouva alors sur la terre ferme, ce qui était beaucoup moins gênant que de sentir la poitrine du chef sous ses mains... Mais alors que Gaki était prêt a rendre son uniforme (qu'il n'avait même pas eu la chance d'essayer), le chef lui indiqua le lieu où il pourrait le mettre.
Quoi!? Il n'était pas à la porte? Il était en vie, qui plus est! Il se redressa, le visage toujours aussi rouge, mais cette fois ci, à la fois de gêne et d'espoir. Gaki tenta de cerner le regard fuyant du patron de la place et, sans plus attendre, s'excusa puis, le remercia, tout en accourant vers l'endroit où pointait le doigt d'Ackermann.

Un fois devant les cases alignées, il commença à se déshabiller en repensant à son travail qu'il devrait effectuer. Mais, parmi les légumes et les chaudrons, il revoyait la tête qu'avait fait son supérieur il y a tout juste quelques minutes. Gaki se remémora le regard fuyant et les joues rosées du chef. Tout en arrêtant ses gestes alors qu'il ôtait sa chemise, il baissa les bras.

(J'espère que je ne lui ai pas fait de mal... En tout cas, il est certain que je l'ai gêné. Au moins, il n'y avait personne d'autre. Ça devrait vite lui passer. Pourvu qu'il oubli vite!!!)

À cette dernière pensée, il plaça sa chemise dans une des cases et commença a détacher son pantalon sombre.

Emil regardait dans le vide. Il était perdu dans ses pensées et ses souvenir. Pourquoi se petit souvenir de Kyouya le fit réagir ainsi? Qu’est-ce qui n’allait pas avec lui? Le chef cuisinier prit une profonde et grande respiration, voulant ainsi se calmer un peut. Il passa une main dans ses cheveux en bataille et regarda en direction des vestiaire. Son nouveau subordonné n’était pas encore sortie? L’avait-il vexé? Peut-être que oui. Ackermann est bien connu pour son parlé crue et pour ses manières rude. Il lui était souvent arrivé de vexer une personne, malgré que cela était loin d’être son intention. Le cuisiner se rapprocha des vestiaires, il entrouvrit la porte, mais n’y rentra pas de peur de gêner le nouveau. Enfaîte cela ne l’aurait pas déranger de voir un autre homme en sous-vêtement, mais bon, il ne connaissait pas très bien le jeune Nebu et ne savait donc pas si lui appréciait être vue dans cette situation. Ackermann se racla un peut la gorge pour éclaircire sa voix.
« Hé t’as finis? » demanda t-il avec un ton strict comme à son habitude.
« Pour tout à l’heure…… » sa voix ce fit plus basse. « Si je t’ai vexé…. Et bien désolé, ce n’était pas mon intention. Quand t’auras finis vient me rejoindre, nous devons commencer à préparer les repas.»

Le cuisiner en chef s’éloigna, laissant ainsi la porte se fermer d’elle même dans un grand bruit. Il se dirigea à son comptoir, ses deux autres collègues étaient revenu de leur pause. Il se mit au travail et commença à sortire les ingrédients pour préparer le repas.

C'est aux mots soucieux du chef des cuisines que Gaki su qu'il n'était pas le seul a se sentir coupable de la situation troublante qui c'était produite il y avait à peine quelques secondes. Il acheva ensuite son geste et après avoir terminer de se changer, notre petit apprenti rangea le reste de ses vêtements dans le casier des vestiaires. Il se regarda ensuite quelques minutes devants les miroirs fixés aux murs pour s'y mirer avec son nouvel uniforme, qu'il revêtait pour la première fois et, il l'espérait plus que tout, pas pour la dernière...

Déjà que Gaki fut surpris de ne pas être renvoyé dès l'instant où il était arrivé en retard, son nouveau patron lui avait laissé une autre chance encore suite a sa chute qui les fit tout deux tomber sur le plancher des cuisines et à présent, ne semblait même pas lui en vouloir et se sentait même mal à l'aise à sa place! Cette fois serait peut-être la bonne... Non! Gaki en était de plus en plus sur, il réussirait à faire ses preuves en matière de cuisines gastronomiques! Et c'est plus confiant que jamais qu'il franchit les portes du vestiaire, tombant du même coup face à face avec Ackermann mais...ne lui fonça pas dessus! 8D Tout contant, le jeunot étendit ses douces lèvres, laissant paraitre ses dents blanches et lança à son supérieur ces mots:

« Ce n'est rien! C'est moi qui suis maladroit, j'en suis conscient... Allez! Je vous suis aux fourneaux, il y a plus de mille étudiants qui seront bientôt affamés! »

Emil regarda le petit nouveau dans son uniforme. Il faut avouer que cela lui allait bien. Lui qui n’était habituer que de voir des hommes mûres porter l’uniforme cela faisait changement. Il regarda ensuite le visage du nouveau. Celui-ci avait un drôle de sourire sur les lèvres. Emil trouvait cela à la fois ridicule, car il ne voyait aucune raison de sourire de la sorte, et mignon aussi. Le chef cuisinier se dit que l’arrivé de se jeunot risque d’amener de la vie dans la cuisine. Mais bon allez au travail! Emil devait le former!
« Vient ici. » lui dit…. Non lui ordonna Ackermann.
Celui-ci ce dirigea vers les marmites. Les ingrédients étaient déjà préparer et le bouillons de poulet dans les marmites commençaient à ce réchauffé.
« Voici la recette à suivre. » Il pointa Une feuille de papier collé au mur.
« C’est la soupe du jour, une soupe de vermicelles. Tu sais lire une recette j’espère. » Le cuisinier gardait un ton sévère et strict.

Il commença à lui expliquer toute les étapes et lui montrer comment faire. Il lui de bien l’écouter et observer pendant qu’il prépare la première marmites de soupe, l’apprentie devra préparer les quatre autres. Le cuisinier était très minutieux dans son travail, tout était calculé au ml près. Cet homme prenait la cuisine au sérieux, car c’était ça passion et cela ce voyais dans son travail. Quand il eu finit il laissa tomber le couvercle de la marmite pour la fermer. Cela causa un énorme bruit et tout le monde dans la cuisine ce tourna vers eux.
« C’est a ton tour p’tit. » lui dit Emil.

«Ah!»

Gaki fut un peu surpris par le bruit. Puis, à ces mots, le jeune marmiton se dépêchat de s'armer d'une louche et de reproduire les gestes que son supérieur avait effectué précédemnment. Il touilla et remua la soupe, tant et si bien qu'il eu bientôt le bras endolori. Bienheureusement, une bonne odeur sortait à présent de la marmite; le repas serait sûrement bon! Il usa de son autre main pour reposer sa première, mais il se rendit vite compte qu'il n'ariverait peut-être jamais à refaire cela pour les trois autres chaudrons. Mais non! Il lui fallait y arriver! Son talent de cuisinier devait être connu. C'était sa dernière chance, ici, à l'école Tanaka.

«Ouf..!»

Notre jeune cordon bleu venait enfin de finir la première partie de son nouveau travail, qu'il voulait à tout prix préserver. Il remonta ses manches au dessus de ses coudes, repris un peu son souffle et, tout en s'apprêtant à continuer le boulot, il regarda son patron du coin de l'oeil.

(Ça doit être facile pour lui, de faire tout ce travail... Il a les bras forts et semble avoir une bonne endurance. Ça se voit d'un simple regard: il a beaucoup plus d'expérience que moi...)

Et il retouilla et retouilla, jusqu'a ce que l'envie lui pris de discuter un peu pour détendre l'atmosphère pesante, due au stress qu'avait Gaki dans sa volonté de performer.

« Alors... vous... vous travaillez ici depuis longtemps? Enfin, ça doit puisque vous êtes chef.»