une fuite durant une journée tranquile

C'était une journée assez tranquile à l'infirmerie, ce cher kappa trouvait ca reposant et ca lui plaisait.
(Si tout les jours pouvaient être comme ca...) Se prit-il a penser. Étant donné la tranquilité, l'infirmier était en vêtement décontracté et restait dans son bureau à lire et a regarder des video sur internet à partir de son ordinateur personnel. c'était une journée parfaite pour lui.

''Bon... et si j'allais faire un tour je peux bien me le permettre en plus on ne peut pas m'enpecher de vouloir visiter les lieux.''

En effet,monsieur Fuhen n'était arrivé que depuis la veille et il ne savait pas encore a quoi s'attendre les idées toute faites comme quoi ce serait l'enfer ne semblait pas fondées dutout Il s'était mis en tête de faire ce qu'il voulait il entreprit donc de se mettre en route mais se retint quelques minutes suite a un mail d'un membre de la famille il cliqua sur le lien et y decouvrit quelques photographie et des video assez interessante.

Kokoro faisait une balade dans les couloirs de son nouveau lieu de travail. Il avait été engagé depuis peu afin de remplir le rôle de psychologue, psychothérapeute ou "travailleur de couloir". Peu importe le titre, la description de tâches était claire au moins; être présent pour les élèves, être attentif à leurs besoins, être à leur écoute, les conseiller, leur apporter le support dont ils ont besoin etc. Il avait aussi pris en charge la pensionnat de l'école, ce qui lui permet de toujours être présent sur place en cas de besoin et en plus, ça lui sauve un loyer en ville.

Il avait appri qu'un nouvel employé venait d'être engagé. Un infirmier, afin de remplacer celui qui avait quitté. Il se dit:

Tiens, puisque c'est tranquille aujourd'hui, je vais allé à la rencontre de ce nouveau confrère de travail. De plus, je pense que son bureau n'est pas tellement loin du mien.

Il arrivait à la porte du bureau de l'infirmerie. La porte n'était pas complètement fermée, alors Kokoro décida d'entrer en cognant légèrement sur celle-ci.

Bonjour, je suis Kogoro Kagaku, je suis le psychologue de l'école. ^_^

kappastubuta sursauta lorsqu'on cogna à la porte. Il ferma rapidement la page internet peut recommendable sur laquelle il naviguait puis se retourna en affichant un sourire un peu nerveux. Il constata rapidement a l'aparence de l'homme qu'il ne s'agissait pas d'un élève, il prit même soin de le scruter de la tête au pied . (uhm pas mal pas mal...) se prit-il a penser.

Il se rapella bientot vaguement que son interlocuteur s'était présenté mais occuper a fermer ses pages il n'avait malheureusement pas entendu le nom de celui qui avait un corps si interessant.

-J'ai mal compris ton nom tu peux repeter? oh et moi c'est Kappastubuta Fuhen, tu peux raccourcir mon nom pour madresser la parole si tu veux. oh et...je suis l'infirmer.

Il souriait toujours mais les palpitation de l'interdit n'étaient pas tout à fais disparu.

«Oh, pardon, est-ce que je vous interromps dans un travail ?»

Kokoro se sentit gêné. Il venait de s'apercevoir qu'il était entrer sans proprement s'annoncer et sans entendre l'accord de l'occupant de la pièce. Il avait remarqué la hâte avec laquelle l'infirmier avait réagi à son "intrusion".

»Vous avez dit vous appelez Kappastubuta Fuhen. Je suis Kokoro Kagaku. Enchanté de vous rencontrer.»

En complétant sa phrase, un doute naquit dans son esprit. Devait-il s'avancer pour lui serrer la main ou s'en abstenir.

«Comme Je vous l'ai dit, je suis le psychologue, mais je suis aussi le responsable des dortoirs. Ça hors contexte, mais j'ai aussi une formation en sexologie, mais cours complémentaires durant mes années d'université, je pourrais presque qu'en être diplômé.»

Kappastubuta sourit à ''l'intrus''. celui-ci se présentait mais il avait l'air mal a l'aise.
«Oh, pardon, est-ce que je vous interromps dans un travail ?» se fit-il donc demander. Il laissa l'autre se présenter à nouveau et s'approcha pour lui serrer la main.

-Content de vous rencontrer, Kokoro Kangaku j'étais entrain de me divertir un peu ne sachant pas trop quoi faire en cette belle journée. Je suis heureux de voir que je ne suis pas le seul adulte ici, je n'ai même pas vu mon patron encore il a l'air très occupé.

Kappa disait vrai car lorsqu'il était aller au bureau il avait du revenir sur ses pas. Il avait heureusement trouver son lieu de traavail sans trop d'encombre.

-Ca fait longtemps que tu travailles ici?

La politesse du vouvoiement, il l'oubliait une fois sur deux il ne cherchait pas particulièrement à être impoli c'était sa façons de parler tout simplement.

«Euh, en fait, mon nom est Kagaku et non "Kangaku", mais j'admets que c'est diffiicile à prononcer lorsque c'est dit rapidement. Alors, je vous pardonne.»

Dit Kokoro tout en serrant la main de son collègue.

«En effet, je n'ai pas encore eu l'occasion de rencontrer le directeur non plus, du moins jusqu'à maintenant.»

Kokoro reprit son souffle et reprit la parole.

«Et non, je ne suis pas ici depuis très longtemps. En fait, ça doit faire environ deux ou trois jours que je suis vraiment installé, dans mon bureau, comme dans ma chambre dans les dortoirs. Hors sujet maintenant, de quelle façon est-ce que vous vous divertissiez au juste ?!?»

Voyant son erreur de prononciation, l'infirmier rougit bien que pardonner il n'amait pas faire des erreurs dans les prénom puisque lui même en avait été victime longtemps. Il découvrit alors que l'homme n'avaient pas rencontré le directeur non plus. Juste au moment ou la pression du début commencait a se dissiper, kokoro reprit la parole.

«Et non, je ne suis pas ici depuis très longtemps. En fait, ça doit faire environ deux ou trois jours que je suis vraiment installé, dans mon bureau, comme dans ma chambre dans les dortoirs. Hors sujet maintenant, de quelle façon est-ce que vous vous divertissiez au juste ?!?»

De quelle facons il se divertissait? Étais-ce quelque chose qu'il pouvait se permettre de glisser dans une conversation comme dire qu'il jouait au tennis ou une chose comme ca? nan, il opta pour la meilleur réponse entre: ''Je lis et regarde du pornos sur mes heures de travail'' et je lis des trucs pars-ci pars-là et je fais quelques petites recherche sur internet.''

-Je n'ai pas beaucoup de divertissement je ne suis pas de la ville mais j'aime bien lire ou regarder quelques films. Sinon je navigue sur internet un peu.

Étais-ce la bonne chose à dire? Il montra un sourire sympatique mais jeta un oeil a l'arriere plan du bureau sur son ordinateur. (merde, je devrais changer ca...) c'était une image très tirée sur le pronographique sans dire que l'image l'était totalement. Kappastubuta profita d'une information pour changer de sujet de conversation surtout qu'il sentait que son interlocuteur avait vu son fond d'écran.

-Donc tu as une chambre dans l'établissement? C'est un peu comme si tu y était autant emprisonné que les étudiant non? Et sans vouloir etre grossier...comment peux tu...faire ce que tout adulte fait. Tu ne peux quand meme pas emmener tes conquete ici.

«Je me suis installé ici sur une base volontaire. J'aime bien être avec les jeunes, ça me rappel une époque de ma vie qui me rends nostalgique. Je me sens prseque dans une famille et ça fait du bien. À cause de mon orientation et de mon passé, ma famille et moi n'avons pas une bonne entente. Je me suis toujours senti mieux lorsque je suis en groupe avec des gens qui me ressemble plus. J'étais un délinquant aussi lorsque j'étais plus jeune et d'être toujours présent pour eux et de pouvoir les aider est pour moi, comme une façon de corriger mes erreurs du passé et d'obtenir mon pardon. J'espère ainsi rejoindre un être cher au paradis.»

Kokoro sentait les émotions se bousculer en lui et quelques larmes lui monter au yeux. Il ravala cette boule qu'il avait dans la gorge et essuya les deux ou trois gouttelettes qu'il avait sur les joues. Il reprit son souffle et reprit la parole.

«Pour ce qui est de mes "conquêtes", ça fait quelques temps que je suis seul. Dans les dernières années, je me suis concentré sur mes études et puis, de toute façon, je n'avais pas la tête à ça. Comme ça ne fait que quelques jours que je suis emménagé dans cette ville, je ne connais pas encore beaucoup de monde, même que je ne connais personne pour l'instant, J'ai bien rencontré quelques personnes, mais rien de plus. C'est sûr qu'à un niveau éthique, ça serait mal de faire l'acte de fornication ici, mais je crois que les chambres ne sont pas si mal insonorisées.»

L'infirmier avait senti tout le sérieux et l'émotion dans la voix de son collègue. Il n'avait pas pu s'empècher de trouver cela un peu triste mais déjà lorsque Kokoro répondit à sa seconde question il ne pu retenir un sourire en coin lorsqu'il lui fit une remarque sur l'insonorisation.

-C'est sur qu'il y en a de moins bruyants que d'autres.

Pensa le pervers a haute voix mais il se reprit.

-Je suis certain que ca ne dérange personne et puis, ils ne peuvent pas empecher un homme d'être un homme. Par contre j'ai opter pour un appartement dans mon cas ce serait trop difficile a gerer.

Apres avoir presque annoncer directement qu'il était un pervers fini il se racla la gorge et voulu changer de sujet.

- Je ne connais pas le coin non plus, il y a des choses interessantes en ville? Des clubs ou des bars qui valent la peine?

Questionna lhomme, apres trois jour son interlocuteur et surement nouvel ami avait probablement eu loccasion de visiter un peu. Il faut dire que si kappastubuta décidait de visiter il risquait de se perdre, il en profiterais dailleur pour se perdre dans le decolleté dune jolie danseuse ou bien entrainer un homme dans un coin tranquile pour... enfin là n'est pas la question, il avait poser son regard sur kokoro en attendant une réponse.

« Bien sûr, il y a des bars, je ne sais pas pour des clubs, mais je peux affirmer qu'il y a au moins un bar. Je n'y suis pas aller étant donné que je ne trouve plus que ces endroits du genre son appropriés pour moi. J'ai fait le vœux de ne plus consommer quelconque substance pouvant altérer mon esprit et/ou mon état, sauf bien sûr nos propres endorphines sécréter par notre corps, je ne peux rien faire contre celle-ci. Comme lors d'un bon fou rire, le petit état d'euphorie dans lequel on peut se retrouver ou bien l'extase après avoir . . . »

Un peu gêné, Kokoro s'arrêta, mal-à-l'aise de compléter la phrase qu'il avait commencée. Il se mit même à rougir un peu puis, il toussa comme pour faire un point à sa phrase et au sujet.

«Donc, vous vous êtes installé dans un appartement, est-ce qu'il est bien loin de l'école ? Êtes-vous près du centre de la ville ? Est-ce que c'est bien situé ?»

Kokoro "attaquait" Kappastubuta de pleins de questions afin de détourner le sujet.

En voyant l'homme rougir en ne finissant pas sa phrase, Kappastubuta eut un petit sourire en coin. Il ne fut pas surprit de se faire harceler de questions. C'était une tentative un peu boiteuse de la part de Kokoro mais notre cher infirmier trouvait ça presque adorable. Il lui laissa le temps de terminer ses question avant de prendre une légère pause et de lui répondre ensuite:

-Je comprend ce que vous voulez dire par rapport au sexe, c'est une sensation des plus agréables. Sinon par rapport a mon appartement il n'est pas tout à côté de l'école mais c'est parfais comme ça et sa situation n'est pas mal non plus près du centre ville mais pas assez pour être dérangé sans cesse par les bruits de la ville.

Il fit une pause fier de sa propre réplique.

-Il ne faut pas se gêné de ce genre de choses. Enfin bon. Si vous voulez voir mon appartement je vous y inviterai un de ces jours.

Un petit sourire pervers au lèvres il lança un regard provocateur à son interlocuteur.