Une fin de journée sereine? [Sashimi ] (YAOI !!!)

J’avais finalement retrouvé Sushi dans la cour et j’avais même fini par trouver un moyen de me venger sans même lui porter le moindre coup. Il était rentrer après notre petite discussion et moi je me suis promené pour voir un peu à quoi aller ressembler mon nouveau lieu de travail. Car pour moi jouer des mauvais tour était un art et un travail à plein temps. Comment cela c’était un comportement digne d’un enfant? Et alors, c’est moi que sa regarde après tout. Je fis un peu le tour, la plupart des élèves étaient pas mal mais je n’avais encore croisé personne qui me plaise vraiment. Quoi que le numéro soixante neuf avait de beau yeux mais bon. J’étais désespéré de me trouver un nouveau jouet mais il semblait que cette école soit dénué de ce que je recherchais.

Après plusieurs heures à traîner dans tous les recoins j’eu peine à croire que j’avais cédé à mon oncle. Comment pouvais-je supporté cet endroit sans un peu d’amour, c’était comme si on me demander de vivre sans manger. Je poussais un long soupire et j’observais autour de moi, des cigarette, de la drogue et j’en passe. Pour un passionner de sport et de santé c’était pire que l’enfer. J’avais horriblement besoin d’air, je me sentais étouffé avec tous ses gaz toxique qui flottaient autour de moi. Je pris donc la direction du toit, traversant les couloirs et évitant certain abrutit que je n’avais pas le temps de saluer. J’ouvris la porte qui conduisait au toit d’un coup de pied et j’y déposais les pieds pour la première fois depuis que j’étais arrivé à Tanaka. Je pris une grande bouffée d’air frais puis je remarquais quelque un coucher au sol. Je m’approchais puis je remarquais qu’il avait un assez beau visage, étant quelque un de très impulsif et pas toujours réfléchi je m’accroupi en face de lui. Dès qu’il se releva je l’attrapais par le menton et l’observais d’un peu plus près et dans tous ses profils. Puis un large sourire se dessina sur son visage et il demanda de sa voix la plus douce:

« Quel âge avez-vous exactement? »

Vingt-deux ans c’était parfait, ni trop vieux ni trop jeune je ne pu m’empêcha d’élargir un peu plus mon sourire. Il semblait être assez calme autant dans ses gestes que dans sa manière de parler, se que je trouvais fort agaçant . Mais après avoir passer presque toute l’après midi à chercher quelque un de potable il était hors de question que j’abandonne maintenant. Je pris donc mon apparence de gentil garçon puis je me mis à parler d’une voix presque timide légèrement gêné. J’étais un très bon comédien et je n’avais jamais raté la moindre cible mis à part mon petit frère qui était un cas à part.

« -Oh, je…je suis désolé! Je…je ne…je ne sais pas ce qui m’a pris! »

Je m’assis au même niveau que ma nouvelle cible toujours en donnant l’impression que j’était horriblement gêné ce qui n’était pas le cas mais pas du tout. Il me posa alors une question qui me dérouta un peu. Une personne banal m’aurais demander mon nom et se serrait présenter mais pas cette personne. Je me retins de pouffer et pensais que j’étais vraiment tomber sur un cas particulier mais J’ allais tous de même répondre à la question qu’il venait de me poser. Je fis mine de réfléchir puis je dis d’une voix qui paraissait enjoué mais c’était loin d’être le cas:

« -Oui si on veux, j’ai du mal à supporter l’odeur de cigarette que l’on retrouve un peu partout dans les couloirs. J’ai eu besoin d’air frais alors je me suis dirigé vers le première endroit ou j’étais sûr d’avoir de l’air. »

J’observais un instant le ciel, mes cheveux volait légèrement dans les airs puis je me retournais vers cette personne. Si elle cherchait le calme elle était très mal tombé, j’étais loin d’être quelque un de très calme mais j’allais jouer le jeu. Lorsque je dis jouer le jeu c’est jusqu’au moment ou j’en aurais marre après qui sais comment je vais réagir. Il était plutôt calme et beaucoup trop vieux pour être un élèves je réfléchi un moment et je me demandais si je devais me méfier. Après tout mon oncle avait été dans cette école et c’était pas franchement un modèle de vertu. Est-ce que se type travaillait dans cette école et si oui devais-je continuer mon petit jeu? Tant de questions auxquelles je n’aurais de réponses que lorsque j’irais au bout de mon but. Je me présentais au passage:

« -Je me nomme Sashimi. Puis je vous demandez votre nom? »

Je me contentais de garder cette expression de gêne sur mon visage et de hocher la tête. Cette personne était vraiment un peu trop manipulable à mon goût. De telle personnes pouvaient elles exister? Encore des questions sans réponses je poussais un léger soupire sans m’en apercevoir puis je me mis à observer la vue depuis le toit. C’était assez impressionnant mais pas encore assez pour me surprendre mais pour rester dans mon rôle je fis comme si cela m’impressionnait. J’ouvris de grand yeux et poussais un « Waouh » d’admiration. Je détestais vraiment se personnage et j’avais du mal à comprendre se que les gens pouvait trouvé à de tel individus. Il me donna alors son nom, Hiro. J’esquissais un sourire sans dire un mot puis il me demanda si j’étais au pensionnat. Je réfléchi un instant et je répondis:

« -Pas pour le moment, peut être un peu plus tard! »

Mon dossier d’inscription avait été envoyer mais je ne serrais véritablement inscrit que dans quelque jours. Je lui avais répondu d’un air presque joyeux, je pouvais me faire peur parfois. Je continuais de sourire d’un air niais. Mon plan avait intérêt à marcher ou je risquais réellement de péter les plombs. Je fis mine d’observais le ciel mais je l’observais du coin de l’œil. Mon cerveau était en pleine analyse, il recherchait la meilleur façons de se comporter face à cet individu. Je fini par me dire que j’allais devoir faire de mon mieux car il était difficile de cerné se genre de personnalité.

« -Vous travaillez ici depuis longtemps? »

Voilà la seule question qui me venait en tête, le but étant de devenir de plus en plus bavard et de récupérer un maximum d’information. Plus j’aurais d’info et mieux je pourrais me rapproché, c’est ainsi que je voyais les choses. Et puis je détestais franchement sauter les étapes, y aller pas à pas voilà ma méthode. Lente mais efficace cela me fatiguais car je n’étais pas toujours très patient mais aujourd’hui je me sentais d’attaque pour une longue séance de pur manipulation. Je retins de peu mon rire, un long rire glacial qui aurait effrayé n’importe qui.

« -Je suis venu voir mon frère et puis comme je n’avais rien à faire je me suis dit que j’allais visiter les lieux. »

Je n’avais pas menti c’était la vérité, certes je n’avais pas préciser que j’étais venu voir mon frère pour lui faire subir ma vengeance et que je visitais pour voir la marchandise. Je plaquais un magnifique sourire sur mes lèvres, c’était vraiment mon plus beau faux sourire. C’était vraiment dans ses moments là que j’étais heureux d’avoir mon physique. Après tout j’étais vraiment bien bâti et cela ne pouvait que m’aider. Il répondit à ma question il semblait qu’il soit arriver il y avait une semaine déjà c’était intéressant. Pendant une minute je retrouvais ma personnalité et je parlais calmement mais d’une voix plus froide qu’auparavant:

« -Vous êtes sûr que travailler ici ne vous fait pas peur, on peu parfois croiser des personnes très effrayante au détour d’un couloir. Et il est parfois très difficile de s’en défaire. »

Je me rendis compte que j’avais lâché mon rôle lors de cette tirade et je savais qu’il était trop tôt pour retirer mon masque. Je baissais les yeux je pouvais lui faire croire que j’avais une double personnalité. Ainsi peut importe ce que je fais je pourrais toujours le mettre sur le dos d’une autre personnalité qui n’était pas moi, même si c’était moi. Mais cette idée ne me plaisais pas, je n’étais pas le genre de personne à mettre mes actes sur le dos des autres même si dans ce cas c’était une chose qui n’existait pas. Il se redressa alors l’air un peu plus sérieux et me dit que je ne devais pas rester ici, je ne pu que pouffais de rire encore une fois la manifestation de ma personnalité. Il semblait que le jeu était sur le point de se terminer mais je n’allais pas en rester là. Mon masque était peut être en miette mais il tenait encore sur mon visage. Je lui offrit mon plus beau sourire mais cette fois un véritable sourire et de ma voix la plus douce ou l’on pouvait dénoté un léger accent sicilien je lui dit:

« -Et bien dîtes vous que je suis un interne sa passera. Et puis je ne pense pas faire de bêtises aujourd’hui, enfin tous dépend de se que l’on entend par là. Ah ah ah! »

J’écoutais les réponses d’Hiro une à une, lorsque je lui parlais de son boulot il me donna une réponse qui ne me plaisais pas. Je suis égocentrique je sais, alors comme sa il n’a pas peur mais il lui arrive d’angoisser intéressant. J’esquissais un nouveau sourire puis je me retournais lorsqu’il me demanda d’être plus clair vis-à-vis de mes paroles. Je souris il avait fini par comprendre que je jouais la comédie, cela n’aura pas prit bien longtemps. Alors il voulait que je lui éclaircisse mes paroles, soit j’allais être plus clair d’ailleurs personne n’aurait pu être plus compréhensible que moi. Je sais je suis aussi très arrogant mais il faut bien l’être de temps en temps. Je me relevais et je lui dis un sourire malicieux au lèvre et un regard plein de sous entendu:

« -Vous êtes vraiment sûr de vouloir que je soit plus franc? Et bien c’est vous qui l’aurez voulu! »

Je ne lui laissais pas le temps de faire le moindre mouvement et je déposais mes lèvre sur les sienne. Cela ne dura qu’un court instant mais assez longtemps pour me faire sourire, je commençais à me dire que j’avais finalement bien fait d’être rester jusqu’à cette heure du soir. Je l’observais droit dans les yeux et esquissais un petit sourire. Il voulait de la franchise et bien là il on avait eu et mise en pratique on plus. J’attendais sa réaction pour savoir comment j’allais faire évoluer tous cela puis je me permis une petite réplique d’une voix assez calme malgré ce que je venais de faire:

« -C’est vous qui m’avez demander d’être plus franc, est-ce que vous arrivez à saisir le sens de mes paroles à présent ou dois je être plus claire? »

J’aurais adoré qu’il me demande d’être plus clair mais je savais qu’il allait certainement mal le prendre. J ‘arrêtais de sourire et j’adoptais une attitude plus sérieuse, se qui m’aller beaucoup mieux. Je me relevais et croisais les bras puis je laissais une légère brise soulevait mes cheveux. J’étais souvent assez direct et la plupart du temps c’était mon physique ou la faiblesse de ma proie qui faisait que je l’emportais. Mais j’avoue tous de même que c’était la première fois depuis que j’avais découvert une attirance pour la gente masculine que j’embrassais un homme. A cette pensée et contrre ma propre personnalité je rougis légèrement.

Je poussais un long soupire, il ne comprenait toujours pas mais n’avait pas besoin que je sois plus claire. Que pouvais-je bien faire pour qu’il comprenne dans ce cas, un petit moment de réflexion puis je remarquais un léger sourire se dessinait sur ses lèvre. Avait il remarqué que j’étais devenu légèrement rouge, cela n’avait pourtant duré que quelque secondes pourtant. Je fis comme si de rien n’était et j’observais le paysage lorsqu’il me parla. Je n’écoutais pas vraiment mais j’entendis clairement les mots « interdit » et « surveillant ». Je me retournais vers lui le regard amusé et un large sourire au lèvre, ses paroles n’avait pour moi aucun sens. Il venait de lever son regard au ciel, je le trouvais de plus en plus intéressant. Il avait un petit côté qui me rappelais mon petit frère et heureusement pour lui c’était le bon côté. Je m’approchais du bord et je marchais tout le long en observant le portail de Tanaka et je répondis d’une voix un peu déçu car c’était le cas, ses paroles m’avait clairement déçu.

« -Et alors? Vous croyez que le fait que vous soyez surveillant va m’empêcher de recommencer? Et puis je ne pense pas que le fait de vous embrassez soit inscrit comme un acte répréhensible. »

Je continuais à marcher tous le long, il commençait à ce faire tard le soleil se couchait peu à peu. Je souris je trouvais l’idée d’être dans une école tard la nuit était horriblement amusante. Je continuais mon petit jeu d’équilibre puis je m’arrêtais et je m’assis sur le rebord. Je sorti mon téléphone de ma poche et je composais son numéro. Il ne répondait pas, je décidais d’appelé directement la maison mais personne ne répondaient. Je poussais un autre long soupire il était donc tous à ce stupide festival même le maître franchement à son âge il ne devrait pas faire autant d’effort pour paraître jeune et vigoureux. Je remis mon téléphone dans ma poche et je me relevais. J’avais assez discuter, maintenant il était temps de passer à la pratique. Je me dirigeais vers la porte du toit à une vitesse impressionnante même si elle était loin d’égaler celle du surveillant. Et oui mon frère m’avait parlé d’un surveillant aussi rapide que notre oncle et d’après mes informations il n’y avait qu’un surveillant à Tanaka. Une fois face à la porte je la verrouillais sans trop de difficulté. Puis je me retournais vers ma cher et tendre cible et je m’avançais lentement vers elle. Puis à une certaine distance je laissais ma personnalité refaire surface, d’une voix assez froide mes tous de même d’un ton assez calme je lui dis:

« -Je pense qu’il est temps pour nous de faire plus ample connaissance. »

Ouvrir la porte après l’avoir fermer il fallait que je sois fou pour faire une chose pareil même si on y réfléchissant je l’étais un peu. J’observais le jeune surveillant un petit sourire au lèvre et un regard amusé. Si il voulait sincèrement sortir il allait d’abord devoir satisfaire mes exigences et on y réfléchissant pourquoi ne pas jouer à un petit jeu. Cela ne pourra rendre cette expérience qu’un peu plus amusante et excitante. Je commençais à retiré ma tunique rouge vif, malgré le style haute couture cette tunique était la plus pour mon entraînement que pour mon look. Il faut dire qu’elle pesait exactement cinq kilos que je devais porté à chaque instant. Bien entendu le résultat était que mon corps avait une musculature parfaite. Et puis mis à part les kilos que je devais porté chaque jour je pratiquais aussi le jogging et plusieurs autres sports pour garder la forme. Une fois ma tunique retirer je la lançais à terre, le bruit qui on ressorti était le même que si j’avais jeter un rocher. Puis d’une voix extrêmement jovial je lui dit comme si c’était une plaisanterie:

« -Je vous propose un petit jeu, le premier qui fait tombé l’autre gagne. Si vous gagner j’ouvrirais cette porte mais si je gagne et bien…hum…vous verrez bien! »

A quoi je jouais mais je ne jouais pas j’étais tout à fait sérieux et c’était d’ailleurs la première fois depuis longtemps. Je m’échauffais rapidement puis je remarquais que j’avais garder ma ceinture qui n’était là que pour retenir ma tunique. Je la retirais rapidement et au passage je récupérais mon portable que je déposais au dessus de ma tunique près de la porte. J’esquissais un sourire j’avais dit que je lui ouvrirais si il gagnait mais je ne lui ai pas dit à quel moment je le ferais. De plus je savais qu’il était bien plus rapide que moi c’est d’ailleurs pour cela que j’avais proposé ce petit jeu j’avais une technique infaillible pour pouvoir l’attraper sans faire le moindre geste. Avec sa rapidité il pouvait facilement me mettre à terre mais avec mon agilité je pouvais revenir les deux pieds sur terre sans posé le genoux au sol. Il fallait juste que je m’assure qu’il ne s’en aille pas lorsque je me serrais approcher du bord, c’est d’ailleurs pour cela que j’avais bloquer la serrure pour que personne ne puisse ouvrir simplement avec une clef. J’observais le jeune surveillant et je m’avançais lentement je ne lui laisser pas vraiment le choix, soit il jouait le jeu soit…et bien de toute façon dans tous les cas j’allais avoir se que je voulais.

Le terrain sur lequel j’étais le plus à l’aise, alors c’était ce qu’il pensait pourtant pour moi il était évident que pour faire tomber quelque un il fallait déjà pouvoir l’attraper. Et vu comme mon frère avait l’air béat d’admiration il devait être capable de bien esquivait donc de mon point de vu c‘était lui qui avait l‘avantage. J’esquissais un sourire et je lui répondis tout en faisant « non » de la tête et d’une voix calme et un peu amusé :

« -Je ne pense pas être plus avantager que vous, nous avons tous nos propre facultés après tout. »

Il s’avoua vaincu se qui me fit décroché un large sourire un peu trop scintillant d’ailleurs, j’adorais vraiment se genre de petit jeux. Le silence se fit et pendant une fraction de seconde j’eu l’impression de le perdre de vu. Je me rendis alors compte qu’il était à quelque mètre derrière moi, je n’eu pas le temps de me retourner qu’il était déjà derrière moi et c’était baissé pour réaliser une balayette. J’esquissais à nouveau un sourire et malgré la faiblesse du coup je fis comme si j’avais été toucher sauf qu’au dernier moment je me rattrapais au sol et je me remis sur pied à l’aide d’une rondade parfaitement exécuter. Et oui je ne faisais pas seulement dans les sports de combat, il m’arrivait de pratiquer de la gym. Bien sûr je n’allais pas le crier sur tous les toit, c’était assez gênant pour un jeune mafieux de faire un sport que la plupart considéré comme un sport de fille. Grâce à ma rondade je me retrouvais pile au milieu du toit et j’avais réussi à réaliser le tiers de mon plan. Je me relevais me tenant très droit et je tendis la main vers le surveillant si mignon. Puis je le défiais d’approcher en lui faisant un signe de la main pour qu’il s’approche. Et d’une voix très joyeuse, un peu trop d’ailleurs je lui dis:

« -C’est tous ce que vous pouvez faire sempai? »

Encore une tentative et mon plan prendrait place dans le jeu, un petit sourire se dessina sur mes lèvre. Je me concentrais sur les mouvements du surveillant je ne voulais pas le perdre de vue cela risquer d’être dangereux pour moi comme pour mon plan. J’attendis qu’il revienne à la charge, me mettant dans une position ou rien n’aurais pu me faire bouger. Chacun de mes gestes étaient calculer et je jouais toujours la comédie même lorsque je prenais les coups. Soudain je senti comme une étrange douleur au bras droit, ce n’était pas vraiment le meilleur moment pour sa. Ma vieille blessure commençait à se réveiller, je pâli légèrement et j’attrapais mon bras droit dans ma mains gauche. Il était hors de question que j’arrête pour un truc aussi débile alors que je n’avais même pas commencer à m’amuser. Je serrais les dent puis j’aspirais une grande bouffée d’air.

Je ne m’attendais pas à cela mais j’esquissais tous de même un sourire avant de pousser un hurlement. Lorsque le surveillant percuta mon bras de toute ses force et pas n’importe qu’elle bras, mon bras droit. Ce bras qui depuis un peu plus de deux ans me faisait un mal horrible, je ne pu retenir un hurlement de douleur et mes yeux on versèrent quelque larmes. Je sais c’était effrayant de savoir que même moi je pouvais verser des larmes,c’était rare et cela m’énerva au plus au point. Je serrais les dent jusqu’au sang et malgré la douleur je me rattrapais de mon bras gauche. Sous la colère j’envoyais un coup de toute mes forces vers ses jambes puis soudain je m’arrêtais à la dernière seconde. J’étais tellement aveugler par la douleur et la colère que j’allais vraiment essayer de lui casser une jambe. Je fis un saut en arrière et j’arrivais aux limites du toit. A partir de là mon plan était réalisé au deux tiers il ne me rester plus qu’à l’achever et cela avec le sourire. Je pris une longue et profonde respiration et je lui dis:

« -Alors comme sa même vous pouvez faire des coups bas, sa prouve encore qu’il ne faut pas juger sur l’apparence. »

Application du plan, phase terminal. Je jouais la comédie à la perfection alors pour moi cela ne fus ni difficile, ni bien long. Je fermais les yeux et je fis comme si ma vu se troublait puis je donnais l’impression que je perdais l’équilibre et avant même que le surveillant et pu comprendre quoi que ce soit je tombais en arrière plus précisément dans le vide. Bien sûr avant je vérifiais tous de même que celui-ci était à une bonne distance c’est-à-dire assez près pour pouvoir me rattraper. Enfin j’espérais qu’il allait agir rapidement dans mes calculs j’avais compter quelque secondes pour qu’il réalise se qui se passer. A me voir je donnais certainement l’impression de m’être évanoui sous la douleur.

Je l’entendis hurler puis moins de quelque secondes après avoir basculer en arrière je sentis deux bras m’attrapait. Je hurlais de joie intérieurement même si ma douleur à l’épaule était réelle. Une fois qu’il m’eu rattrapé il se jeta violemment en arrière et le tour était joué. Il valait mieux éviter de jouer avec moi j’étais très doué pour gagner. Je fus légèrement désolé pour lui lorsqu’il poussa un petit gémissement. La chute avait du être douloureuse pour son dos il prononça alors mon dos pour voir si j’allais bien. Je fus tenté d’éclater de rire mais je savais que c’était une mauvaise idée lorsque je commençais à jouer la comédie autant y aller jusqu’au bout. D’un autre côté j’en avais franchement marre de perdre du temps et il faisait presque nuit. Donc je continuais à jouer la comédie et voilà comment mon génie se traduisit. Tout en ouvrant les paupières je parlais ou du moins j’essayais d’aligné deux mots:

« -Hein..euh…oui? »

Je sais mon intelligence n’a vraiment pas de limite, je me redressais lentement tout en faisant comme si j’étais pris d’une soudaine douleur à l’épaule. Puis j’attrapais une fois de plus mon bras droit et je le serrais très fort. Je fis comme si je n’avais pas remarqué le surveillant et je tâtais ma poche, j’en sorti alors un flacon. Je l’ouvris et je récupérais un comprimé dans ma main que j’avalais d’un coup, j’attendis quelque secondes puis la douleur s’estompa. Je me retournais vers le surveillant puis après un instant à le regarder je fis un large sourire comme si je venais de découvrir quelque chose.

« -Je crois bien que j’ai gagné. »

Puis une fois cela dit et après m’être assuré que chacun de mes membres soit intact je laissais mon moi prendre le dessus. Je ne laissais pas le temps à Hiro de faire le moindre geste je m’affalais totalement sur lui. Puis malgré ma baisse d’énergie et ma douleur à peine partie je le plaquais au sol, quoi qu’il y était déjà donc cela ne fit pas une très grande différence. Sauf que je le retenais au mieux et pour la seconde fois depuis notre rencontre je plaquais mes lèvre contre les sienne. Mais cette fois ci se ne fut pas un simple baissé mais un long baissé presque passionnel.

Je l’embrassais donc lorsque je senti qu’il me rendait mon baissé, mission remportée par moi-même une fois de plus. Mon génie n’a plus aucune limite, je devrais peut être arrêter de me lancer des fleurs mais bon comme je l’ai déjà dit mon arrogance n’a de limite que mon égoïsme. Je sentis sa main derrière mon dos et cela me donna envie d’aller plus loin lorsque soudain il mit sa tête sur le côté. Mes lèvre s’éloignait donc des sienne ce qui pour une raison que j’ignorais me rendit triste. Il rougit légèrement ce qui me fit esquissais un sourire puis il me demanda pourquoi je faisais cela. La seule réponse qui me venait à l’esprit était parce que j’en avais envie mais il valait mieux de pas répondre sa. Simple question de bon sens, un strict inconnu vous embrasse et il vous dit parce que j’en ai envie. Franchement je sais pas pour vous mais moi j’aurais pas très envie de le laisser faire et la dernière chose que je veux c’était m ‘arrêtais maintenant alors que j’étais si près du but. Je lui fis mon plus beau sourire puis d’un geste très doux j’attrapais son menton et je le fixais droit dans les yeux. Et d’une voix très douce, et beaucoup plus chaleureuse que depuis le début je répondis:

« -Ai-je vraiment besoin d’une raison pour sa? »

Puis je recommençais à l’embrasser d’abord plusieurs baissés très court sur la bouche ensuite je descendis un peu vers le bas embrassant son cou. Je relâchais légèrement la pression sur ses bras. Maintenant je savais qu’il ne chercherait pas à s’en aller, d’une main je commençais à déboutonner ma chemise tout en continuant à l’embrasser. Puis je remarquais sa veste, je m’arrêtais un moment puis j’esquissais un sourire. A cette époque de l’année porter une veste, il devait être frileux sa tomber bien je comptais le réchauffer du mieux que je le pourrais. Je continuais à l’embrassais, j’avais fini d’ouvrir ma chemise. Puis je revins sur ses lèvre, pour un long très long baissé lorsque je me retirais je lui dit au cas ou il se sentirait coupable tout en lui caressant les cheveux:

« -Ne te fait pas de soucis, ce n’est pas parce que tu est surveillant que tu n’as pas le droit de faire sa. A cette heure ci tu n’es plus le surveillant mais juste Hiro. »

Il me rendit mon baisser puis il passa sa main sous ma chemise, je souris il semblait enfin décider pas trop tôt tous de même. En temps normal je n’aurais pas fait durer le jeu tous ce temps mais malgré ma personnalité je ne supporter pas l’idée de sauter sur une personne qui n’était pas consentante. Il se mit alors à ricaner à ce que je lui avais dit, pour une fois que je disais quelque chose de censé avec ma véritable personnalité. Je ris avec lui et encore plus lorsqu’il dit que j’avais presque l’air clean, pourtant j’étais ce qu’il y a de plus clean du moins du côté de la mafia. Je ne fumais pas, je ne buvais pas sauf cas exceptionnels et je ne me droguais pas à moins que ce soit un médecin qui me l’ai conseillé. Je souris au fond mis à part ma trop grande confiance et mon caractère explosif j’étais quelque un de bien.

« -Qui te dis que je suis pas cent pour cent clean? »

Je continuais à l’embrasser d’abord un long baisser sur les lèvre puis je redescendis lentement on l’embrassant tous le long jusqu’à son cou. Là je restais un petit moment, c’était de loin l’endroit que j’aimais le plus puis je commençais à remonter jusqu’à son oreille que je mordillais délicatement bien entendu. Puis je me demandais l’espace d’un instant si lui déboutonner sa chemise alors qu’il semblait frileux était une bonne idée. Je me dis que dans le pire des cas je n’aurais qu’à le réchauffer de mon propre corps. Je l’embrassais alors dans un long baisser tout en laissant ma langue s’enrouler autour de la sienne. Je commençais à déboutonner sa chemise, laissant mes lèvre descendre peu à peu le long de son torse au fur et à mesure que j’ouvrais sa chemise. Je commençais à me demander si je ne ferais pas mieux de la déchirer cela irait alors beaucoup plus rapidement mais ce n’était pas mon style. Une fois sa chemise totalement ouverte je commençais à remonter un peu. Il fallait faire durer le supplice le plus longtemps possible. Tout en revenant lentement jusqu’à ses lèvre je caressais doucement son torse et je lui demandais juste pour ne pas avoir à supporter un silence plein de gémissement:

« -Pourquoi être rester ici au lieu de rentrer chez toi? »