Arrivé dans l'établissement (PV Kappastubuta Fuhen)

Voila que son père avait pris comme décision de m’envoyer dans un centre pour jeunes ayant des problèmes. Misaki avait en vain tenté de le faire changer d’avis, mais y avait rien à faire il restait campé sur sa décision. Le jeune homme fit ses valises et prit que ce que les pensionnaires avaient droit et rien d’autre. Il était en colère, contre son père? Non, contre lui-même. Pourquoi avait il changé, pourquoi s’était il mit à fumer des substances illicites, à boire plus que de raison. Misa n’en savait rien. Il avait finit ses bagages et son père téléphona pour qu’un taxi vienne nous chercher. Il était là 1O minutes après le coup de fil. On peut dire qu’il était rapide celui la. Misaki soupira et alla dans le taxi à contre cœur, accompagné de son père. Il voulait être sur que le jeune homme ne fuit pas pour aller je ne sais ou. Durant le trajet pas un mot fut échangé, c’était le silence du mort dans ce taxi jaune. Ils nous fallu une bonne heure de route pour y arriver. Le temps était recouvert et la pluie menaçait de tomber.

Le taxi s’arrêta devant un immeuble impressionnant. Misaki sortit du taxi quand il entendit la voix de son père lui dire que c’était pour son bien de venir dans cet établissement renommé. En quoi était ce pour mon bien, Misaki voulait le savoir mais il ne reprit pas les paroles de son père et le taxi redémarra avec Monsieur Matachi toujours dedans. Misaki les regarda s’éloigner et décida de rentrer avant que la pluie ne tombe sur sa tête. Il n’y avait personne au portail pour l’accueillir. Si cet établissement était renommé, point de vue bonnes manières ce n’étaient déjà pas vraiment cela. Enfin il entra dans un hall désert et lâcha un Hey Ho pour voir s’il y avait une personne, n’importe qui, mais rien pas un chat. Il prit un des couloirs tentant de chercher et surtout de trouver une âme charitable voulant bien l’aider dans sa quête d’information. Il marcha, marcha dans les couloirs, tournant en rond qu’après un moment il laissa tomber au sol ses valises tellement il en avait marre de chercher. Il regarda par la fenêtre ou de fines gouttes de pluie montraient leur visage.

Il était un bord d’hurler mais il entendit des pas qui arrivaient. Qui était ce ? Un prof, un élève ou encore une autre personne ? Il attendit ou il était.

Misaki en avait déjà ra le bol de cet endroit, endentant toujours les pas s’approcher de lui. Il scruta les différentes directions d’où les pas pouvaient venir. Il espéra qu’il s’agisse d’un responsable pour que celui-ci l’aide. Il se sentit un peu seul, incompris. C’est alors qu’après quelques longues minutes qu’il vit au coin d’un couloir un jeune homme. En tout cas, Misaki ne pensait pas qu’il pouvait s’agir d’un élève vus que les élèves de cette école ne dépassent pas 17 ans. L’inconnu s’avançait vers lui d’un pas calme et sur de lui. Misaki regarda l’homme avec une certaine appréhension. En effet, il ne savait pas s’il était du genre méchant à crier sans la moindre raison ou bien fut il le contraire, une personne douce et calme préférant le dialogue. En le regardant, il opta pour la seconde option se qui le fit pousser un petit soupir de soulagement.

Avant de me demander mon nom, il aurait put d’abord me donner le sien par simple politesse. Il baissa la tête pour le saluer comme il se doit par marque de respect alors que Misaki ouvrit doucement la bouche pour lui donner son nom, l’homme en face de lui repris la parole.

Le jeune homme était donc poli et se nommait Kappatubuta Fuhen. C’était le première fois que notre Misa entendait ce nom. Il le trouva plutôt cool. Notre Misaki se redressa et vu que l’homme, l’infirmier de l’école affichait un petit sourire sur son visage ce qui avait comme conséquence de rendre Misaki à l’aise. Il le vit s’approcher, il avait des yeux noirs et des cheveux de la même couleur. Son visage affichait une expression douce et chaleureuse. Misaki fut très surpris car c’était la première fois qu’un inconnu était, avait l’air si gentil sans le connaitre.

Misaki contempla l’infirmier qui se trouva très proche de lui. Il tourna son visage pour ne pas rougir et admira par la fenêtre l’extérieur ou la pluie s’était intensifiée et martela les vitres. Faisant un léger bruit que Misaki adorait écouter. Il revint au visage de son comparse dans le couloir. Il voulu poser une question mais n’osait pas beaucoup, se rappelant qu’il ne connaissait pas le jeune infirmier mais qui pourtant le mis à l’aise dès la première vue.

Sans réfléchir il avait sortit cette phrase et c’est après qu’il se sentait un peu stupide sous les bords. Il baissa les yeux car il sentait que ses joues commencèrent à virer au rouge. Et il ne voulait pas qu’il le remarque tellement il avait honte.

Il écouta la voix qu’il trouva magnifique, enivrante, réchauffante. Mais que ce passait-il ? Il ressentait de la douceur et personne à ce jour sauf son père lui en avait donné et sa mère aussi avant sa mort. Il éprouva une sorte de plaisance ne sachant pas trop pourquoi, lui faisait-il rappeler son père, non ce n’était pas ca. Il était d’une beauté incroyable.

"-Enchanté monsieur Misaki Matachi."

Misaki vit le bel homme faire un petit sourire qui était si doux qu’il avait une seule envie passer ses doigts sur ces lèvres. Que lui arrivait-il ? Qu’elle était cette émotion ? Alors qu’il se sentait honteux de lui avoir demandé s’il était doux comme infirmier, Misaki ne s’attendait qu’il lui réponde à une question aussi stupide qu’indiscrète.

"-Tu as peur de moi? Je crois en fait que ca dépend du patient. La peur décuple le mal tu savais? enfin bon ne t'inquiete pas c'est une question fréquente pour un infirmier."

En entendant sa question Misaki fit un petit signe négatif de la tête. Il n’avait pas peut bien au contraire et justement il aurait bien voulu savoir pourquoi, il n’avait pas peur d’un inconnu. C’est alors qu’il sentit la main du bel infirmier se poser sur son épaule. Il regarda avec quiétude cette main posée mais il l’a retira assez vite. Misaki fut un peu triste, il aurait bien voulu qu’il la laisse plus longtemps. Ca lui faisait un bien fou, il lui faisait un bien fou mais il n’allait pas lui dire sinon il allait le prendre pour quoi. Il leva ses yeux vers le visage, vers les yeux de l’homme présent avec lui dans ce couloir.

"-donc,... tu es perdu. Tu veux de l'aide ou on reste ici a regarder la pluie?"

Il fit un petit sourire car il voulait rester un peu plus longtemps avec lui pour faire sa connaissance, savoir ce qu’il aimait.

"Bien je voudrais déjà bien savoir ou je suis censé dormir mais je vou… heu voudrais bien continuer de vous parler ici ou ailleurs peut m’importe."

Sans se rendre compte, il venait d’avouer que sa compagne lui faisait du bien. Il commença à rougir un peu espérant une réponse positive mais s’attendant au pire vu qu’il devait surement mieux à faire que de s’occuper d’un nouveau.

Il souriait à Misaki, il avait un beau, magnifique sourire. Il désirait le contempler encore et encore mais ne préférait pas qu’il remarque l’admiration que notre jeune nouvel étudiant éprouvait pour Kappastubuta fuhen. Il était déjà déboussoler lui-même alors il ne voulait pas l’effrayer alors il tentait d’afficher le moins possible d’émotion sur son visage même s’il voulait, désirait afficher un large sourire. Il voulait répondre au sourire charmeur mais il était un peu voir beaucoup trop timide. Déjà demander de passer un peu plus de temps avec notre infirmier l’avait surprit en bien mais surprit tout de même.

Il était heureux, très heureux. Il avait une envie à se moment là et c’était d’être la poignée de la valise. C’était bête mais c’est ce qu’il voulait la. Il se perdit dans ses pensés quand il prit son autre valise et se mit à marcher. Il rêvait des choses qui étaient improbables, même s’il désirait peut-être un peu plus mais voila quoi.

Pourquoi, lui demandait-il son âge. C’est vrai que c’était l’infirmier charger de la santé des élèves se disait-il.

Avait-il le droit de lui demander son âge ? Ce n’était pas impoli de le faire ? Il tentait de se rassurer pour ne pas trop se faire d’idée à avoir une réponse. Misaki, lui devait le respect. S’il y avait un trou, Misa aurait surement été se cacher dedans, tellement il se sentait gêner en sa compagnie. Car même si c’était peut-être étrange il ressentait une sorte d’envie en le regardant alors s’il devait le toucher pfiou faut pas s’imaginer. Il avança un peu plus vite pour être à ses côtés. Il voulait le toucher, humer son parfum. Mais mais. Il suivis le bel infirmier ne posant même pas la question lui faisant confiance.

Oups lui demander des informations sur sa vie privée mais qu’il abruti fut il. Il jetait quelques regards furtifs vers le bellâtre pou voir si je l’avais offusquer ou pas.

Olala le pauvre Misaki tomba sous le charme. Il devait se ressaisir, un membre de l’école sortir avec un des pensionnaires. Sortir avait-il dit sortir. L’inconscient du petit Misaki voulait sortir avec l’homme se trouvant à proximité de lui. Misaki ne croyait pas au coup de foudre mais dès le premier regard, il ne sut pourquoi ni comment mais il se sentait à l’aise, en sécurité. Il ne pouvait pas le nier plus à lui-même cet homme lui plaisait énormément et il ne pouvait pas espérer quelque chose avec lui. Déjà par les postes que tous deux occupaient. Un était l’infirmier du pensionnat et l’autre un bête étudiant sans aucune particularité précise. Il dut avoir vu en passer des étudiants surement plus beau que lui alors à quoi bon espérer vainement. De plus un homme comme lui ne devait pas être seul c’était impossible.

Un vieux de 25 ans celui le fit rire intérieurement car il n’avait que 9 ans qui les séparaient. Il se mit à s’imaginer les deux, marchant main dans la main. Il rêvait en étant réveiller de moment qu’il considérait comme moments magiques.

Il analysait la réponse qu’il venait d’entendre car il n’était pas sur d’avoir bien entendu. Il n’y avait rien à concilier voulait bien dire ce que ça voulait dire. A moins qu’il ne comprenne pas les subtilité de la langue. Il était seul, célibataire, à prendre. Il cherchait tous les synonymes pour bien se rendre compte que celui qui lui plaisait était un cœur seul. Il vit que celui qu’il désirait le regardait et lui sourit. Misaki n’en pouvait plus de voir ce sourire angélique. Il aurait bien voulu poser ses lèvres contre les siennes riens que pour les toucher, les avoir contre les siennes. Arrivant devant une affiche annonçant où se trouvait les dortoirs respectifs des élèves.

Il n’en croyait pas ses oreilles, il voulait encore rester avec lui. Il sourit sans se rendre compte tellement les paroles qu’il entendait lui faisait un plaisir fou fou fou. Il osait enfin le regarder droit dans les yeux, ne baissant pas son regard pour admirer les prunelles du bel homme. Mais après un petit moment baissa la tête pour ne pas trop se faire griller sur le fait qu’il lui plaisait. Il aurait vite fait bien fait de s’éloigner.

Ca il n’allait pas laisser l’occasion de rester en sa compagnie pas le moins du monde. Tant qu’il n’était pas obliger de suivre un cours il resterait avec lui enfin pas trop pour ne pas éveiller ses soupçons mais tout de même assez longtemps. Il restreint encore un peu plus la distance entre eux deux tentant d’approcher sa main près de la sienne mais la replaque aussitôt contre lui.

Houla, qu’arrivait à Misaki, il commençait à avoir les oreilles qui chauffent au compliment qu’il venait de recevoir. Il ressentait une émotion qui le faisait planer comme il n’avait jamais planer même quand il était défoncé lors de ses soirées. Enfin. Lorsque Misa avait tenté d’approcher doucement ses doigts de ceux de Kappa, il avait espérer qu’il en fasse de même mais malheureusement ce n’était pas le cas alors il voyait bien que cela serait impossible entre yeux. Il se mit à regarder le sol en marchant un peu déçu de n’avoir put le toucher, d’être touché par lui.

Il avait des envies de le toucher, rien que de le toucher. Kappa, le bel infirmier celui que Misa voulait l’amenait devant une porte. Il y avait une pancarte ou était noté dessus « Bureau du Directeur » mais, il n’y avait pas que cela. Ce trouvait aussi un post-it ou se trouvait dessus mon nom complet Misaki Matachi et aussi un chiffre. Que voulait dire ce chiffre. Surement celui d’un Misaki avait été attribué comme chambre. Le compagnon de couloir le prit et lut les informations dessus puis il le notait sur un bout de papier et me donnait ensuite le post-it. Prenait-il les informations des autres élèves ou pas. Il tendit ensuite le post-it à Misa qui le prit doucement pour pouvoir profiter de la peau de son infirmier. Quoi son infirmier. Il avait envie de se blottir dans ses bras et y rester le plus longtemps possible. Se sentir en sécurité, au chaud dans ses bras était utopique. Mais c’était son utopie à lui. Misa avait le post-it en main et après le rangea dans la poche de sa veste.

Il aurait bien été boire un café avec lui en tête à tête pour profiter de cet homme. Ce beau gosse. Tous les adjectifs reflétant sa beauté était dur à trouver. Misa prit une once de courage et lui toucha la main sans que la situation ne l’exige mais il voulait le toucher et voila qui était fait. Il soupirait d’aise et se mit à faire un petit sourire car il se sentait bien, très bien à ce moment là. Ils se mirent à marcher, Misaki suivant le jeune homme car ne sachant pas ou se trouvaient les dortoirs ni même les salles de cours. Ils marchèrent et marchèrent encore et encore arrivant devant une porte avec un numéro, le même que celui du post-it. Cela devait être là que Misa allait passer le plus clair de son temps quand il n’y aurait pas de cours.

Alors que Misa lui avait touché sa délicate, si douce main, il n’avait rien fait pour la retirer. Donc, ca lui plaisait car s’il ne retirait pas sa main cela voulait tout dire. Il en était aux anges intérieurement.

Misaki n’avait pas pensé aux conséquences que cela pouvait engendrer. Il était dans son monde et ca lui avait comme aveugler. Un grande personne, responsable de l’infirmerie, qui plus est ne devait techniquement pas éprouver quoi que ce soit pour un des pensionnaires. Mais, Kappa n’avait pas l’air de s’inquiéter le moins du monde des réprimandes qu’il pouvait avoir si on le voyait maintenant en sa compagnie. Il se cola un peu contre l’infirmier. Ils étaient arrivés devant la porte de la chambre de Misa.

Il l’ouvrit et entra dedans, elle n’était pas très grande. Il y avait deux lits, deux commodes, deux armoires et deux bureaux. L’un des lits lui était destiné et le deuxième lui par contre n’était pas encore attribué. Il pelotait son lit, pour voir si le matelas était confortable. Il était assez douillet sans plus. Misa espérait un peu que Kappa entre dans la chambre mais il ne bougeait pas de l’entrebâillement de la porte. Misaki déposait ses deux valises et allait chercher Kappa et ferma la porte derrière lui. La fermant à clé. Il baissa la tête un peu mal à l’aise de ce qu’il venait de faire mais il s’en foutait totalement, il voulait de lui, son corps, tout, il voulait tout.

Il n’allait pas plus loin dans cette révélation. Il relevait sa tête regardant dans la direction du visage de son infirmier. Il se redressait et allait un peu contre lui pour rester blottis contre son corps.

Etant dans ses bras, Misaki sentit que Kappa l’enlaça dans ses bras. Misa était bien, il resserra un peu sa prise pour ne pas lâcher ce si tendre infirmier. Misa plaça sa tête sur son torse, voulant ronronner comme un chat mais ne fit rien vu qu’il ne savait pas ronronner. Il n’y avait rien qui venait gâcher ce moment si bon pour notre Misaki ; lui qui n’avait encore jamais connu les bras d’un homme ce fut une première pour lui.

Cette parole fut cinglante, car Misa savait qu’il n’allait pas le regretter alors pas du tout. Il fit une moue un peu triste puis leva son visage vers celui de sa prise de bras. Il contempla ses traits si fins, si délicats. C’est vrai que les deux ne se connaissaient pas encore énormément mais Misa s’en foutait, c’est comme s’il le connaissait. En sa présence il était bien. En tout cas, Misa passerait certaines fois par inadvertance par le couloir de l’infirmerie, quand il saura déjà ou il se trouve. Alors que plus un mot n’avait été prononcé, Kappa resserra plus son étreinte ce qui fit lui fit du bien.

Misa vouait rire, c’était si comique cette situation mais en même temps, s’ils se perdaient, Misa passerait plus de temps avec lui.

Il pensait, il voulait se perde. Misa ne devait pas être très bien mentalement mais que voulez vous. Il prit la main de Kappa et sortit dans le couloir, puis il la lâcha pour ne pas se faire voir.

C’est vrai, le jeune étudiant ne savait même pas se qu’il y avait dans les environs. Il ne connaissait encore rien de cet endroit, alors aller dans un endroit serait nouveau pour lui.

Kappa semblait soulagé de sortir de la chambre attribuée à Misa. Misa ne pouvait s’empêcher de le désiré, lui, son visage, ses cheveux, ses lèvres, son corps. Il le voulait tant. Kappa regarda Misa l’air perplexe. Ca lui allait fort bien.

Misaki affichait un large sourire, c’est vrai qu’il n’avait pas encore mangé quoi que ce soit et aller faire les magasins était une bonne idée. Excellente même. Il fit oui de la tête pour cette sortie en tête à tête. Misaki allait prendre dans l’une de ses valises son portefeuille et décidait cite de se changer. Retirant son large t-shirt pour opter pour quelque chose de plus collant au corps. Il se dépêchait pour ne pas trop faire attendre son infirmier.

Notre jeune étudiant se retournait et s’en retournait près de son infirmier. Oui, il disait son infirmier.

Kappa regardait dans la direction de Misaki qui c’était empressé de revenir à ses côtés. Misaki fermait la porte derrière lui et attrapa le bras du très beau jeune homme se trouvant près de lui.

"Allons-y"