Ballade dans les corridors

Par une journée ou la météo débutait belle. Lionel avait déjà manqué une parti de sa journée a flâné n'importe où. Lorsqu'il vit l'école, il y entra. Il s'en foutais de se faire gronder ou quoi que se soit. Il entra dans la cours d'école, le ciel s'était assombrit durant son voyage et il ne l'avait pas remarquer, n'y vit personne. Il continua sa route jusqu'à l'entrée. L'école avait l'air fantôme. Il y entra. En entrant, il ne vit toujours personne. Il continua sa route dans les corridors a visité l'école et a voir où sont supposé être ses cours. D'ailleurs il vit sont cours en train d'être enseigner. Il n'y rentra pas et continua son chemin. Il flâna quelques que temps dans ceux-ci. Il décida de retourné vers l'entrée...(Par où est l'entrée déjà?) Lionel s'était perdu en ne se rappelant pas par où il était arrivé. Il se promena encore plus profondément. Il atteignit une énorme fenêtre. (Je n'ai qu'à suivre le bord de cette fenêtre en descendant pour arrivé a trouvé une sorti?). Il regarda dehors, il s'était mis a pleuvoir a torrent.

«AAHHHHH SATANER PLUIE! JE T'EMMERDE!»

Il l'avait dit si haut et si agressivement que quelqu'un dans un sommeil profond derrière 2 portes fermé et étanche, l'aurait entendu. Il se fâcha et frappa sur la grosse fenêtre avec ses deux main les point fermer, qui elle aussi fit un vacarme dans ce silencieux couloir ou l'on entend certain professeur faire leurs cours la porte ouverte. Il se colla la tête entre ses deux poing encore sur la vitre et ferma les yeux.

«Pourquoi la vie s'acharne sur moi» dit-il la voix basse «POURQUOI!» la voix haute et agressive.

Ce chère directeur fouillait à droite à gauche dans tout les recoins de son bureau qui comme à l’habitude était dans un état des plus chaotique. Celui-ci avait perdu un document important traitant de prêts et d’autre tuc du genre qu’il devait trouver à tout pris. Soudainement il ce rappela que le document ce trouvait dans son ordinateur. Une lueur d’espoir apparus dans les yeux du directeur et il se jeta sur son ordinateur, mais voilà…………. Ou était passé la souris! Son bureau est si en désordre qu’il avait trouvé un moyen de perdre la souris de son ordinateur, ce qui n’est pas digne d’un directeur. Celui-ci commença à paniquer et lançait des feuilles et des vieux gobelets de café vide dans les airs en espérant retrouver la souris de son ordinateur.

Sa crise de panique fut interrompue par le un cri de colère venant du couloir. Le directeur releva la tête et regarda en direction de la porte avec un air incrédule il ne pouvait entendre clairement ce que cette voix disait. Cela fut suivit par des bruits bruit sourd comme si quelqu’un s’acharnait sur un mur, ou un truc du genre. Le directeur sortit aussi tôt du son bureau pour voir à l’autre bout du couloir un jeune homme qui frappait sans relâche une des fenêtres. Kyouya allait l’interpeller quand le jeune homme arrêta tout et pose son front sur la vitre. Le directeur si qu’il c’est peut-être calmé et il se dirigea vers l’élève d’un pas pressé.

À quelque pas de lui le jeune homme hurla presque.
« POURQUOI! » c’est ce qu’il avait hurlé.
Cela surpris quelque peut le directeur, mais il continua son chemin. Une fois à la hauteur de l’élève il posa une main sur son épaule et lui dit:
« Tu sais que tu devrais être en cours présentement au lieu d’être ici entrain de déranger les classes aux alentours et mal traiter cette pauvre fenêtre qui ne ta rien fait de mal. »

Lionel ne regardait plus et était concentré dans ses pensé, lorsque soudainement, sorti de nulle part un personnage, venue sans bruit, toucha son épaule droit. Personne n'avait touché Lionel depuis un sacré bout de temps, dut a la terreur qu'il faisait naître chez les autres étudiants de son ancienne école. Maintenant plus personnes ne le connaissait dans cette nouvelle école. Il frissonna au toucher. Il entendit une voix qui l'avertissait de ne pas faire de mal a la fenêtre et d'arrêter de déranger les cours. Lionel se tourna tout en parlant.

«Non mais! Qui es-tu pour me toucher! Espèce de...»

Lorsque Lionel se tourna il vit un monsieur qu'il ne connaissait pas du tout. Il commença a le regarder par les pieds jusqu'à la tête.

«Qui es-tu? Un professeur? En tout cas vous avez l'air étrange, surtout avec ce fils qui tombe de votre poche et que ça m'a l'air d'une souris d'ordinateur, a en croire la bosse dans votre pantalon!»

C'est la première fois que Lionel voyait quelqu'un mettre une souris dans son pantalon, ça le fit sourire. Ce qui n,est pas arrivé depuis des lustres! On pouvait voir que Lionel se payait la tête du directeur.

La manière dont le jeune homme lui avait répondu surprise le directeur pour un instant, il retira aussitôt sa main. Ce jeune homme semblait agressif, Kyouya avait l’habitude de ce faire parler sur un ton du genre, après tout la majorité des élèves à cette école sont comme ça. Le directeur regarda l’élève d’un air sévère essayant de prédire ses prochains fais et geste, après tout on ne sait jamais comment les jeune de cet établissement pouvait réagir.

L’élève continua à lui parler sur un ton agressif et malpoli. Cela ne dérangea pas tant le directeur, celui-ci étant immunisé à tout cela depuis toutes ces années. Kyouya garda son air sérieux jusqu’au moment où l’élève lui fit remarquer quelque chose d’anormal dans son accoutrement. Une souris d’ordinateur dans sa poche? Les yeux du directeur démontraient une totale surprise à ce moment. Il fourra aussitôt sa main dans sa poche pour en sortir la fameuse souris d’ordinateur disparus!!!! Un immense sourire apparu sur le visage du directeur, il était soulagé, comme cela il pourra retrouver ce document hautement important qu’il avait perdu. Le directeur posa son regard sur l’élève pour le remercier d’avoir retrouvé sa souris, qui pour une raison inconnu avait trouvé le moyen de tomber dans sa poche de pantalon. Avant qu’il ne puisse dire un mot il remarqua que ce jeune homme souriait. Bon d’accord il .tait .vident qu’il ce moquait du directeur, mais un sourire reste un sourire.
« Tu m’as l'air beaucoup sympathique quand tu souris que quand tu t’acharne sur les fenêtres de l’école. » dit Kyouya en remettant la souris dans sa poche.

Le visage de Lionel vira immédiatement au rouge. Voilà jadis qu'il n'avait pas sourit et la première chose qu'on lui dit à propos de ce sourire c'est qu'il a l'air gentil. Ne savant pas quoi faire, il s'était fait couper l'herbe sous les pieds. Il regardait partout, vite fait, avant de se retourner vers la fenêtre. Aucune idée ne venait a son esprit autre que de partir en courant. Oubliant que le monsieur était encore là il se mit a courir vite en cette direction, sans regarder avant. Bien évidemment il fonça sur le directeur de plein fouet. Il tomba par terre sur le choc. Il était assis a terre devant le professeur qui semblait tenir encore debout. Bien évidement, le professeur est plus grand que Lionel et plus robuste. Le jeune garçon se frotta la tête et les yeux. Maintenant il était coincé avec ce type.

(Tant qu'être coincé par cette pluie, aussi bien connaitre quelqu'un dans cette foutu école.)

Lionel pour la première fois de sa vie, était un peu embarrassé.

«Qui est-tu au juste? Je dois te dire tout de suite que tu as l'air bizarre et que tu. tu....»

(Tu me rend bizarre...)

Lionel vint avec des gros yeux a cause de ce qu'il s'était dit dans sa tête.

(Qu'es-ce que...je viens de dire la! Sa y est faut que je trouve autre chose pour terminé ma phrase.)

Le jeune étudiant ne remarquais pas du tout le temps qu'il perdait dans ses pensés...

Après les quelques mots de compliment qu’il venait de dire au jeune adolescent devant lui il remarqua rapidement le changement dans l’expression de cet élève. Il y avait moins d’une minute cet élève était sur la défensive et voilà que maintenant ces quelques mots le rendit totalement désemparé. Kyouya trouvait cela amusant, c’était vrai que les étudiants ici n’étaient pas toujours à l’aise aux compliments et que cela leur faisait parfois perdre toutes leurs moyens. Mais voilà que soudainement ce jeune garçon ce retourne vers la fenêtre. Le directeur ce demanda s’il n’avait peut-être pas vexé l’élève, mais avant qu’il ne puisse dire quoi que ce soit en une fraction de seconde…. BAM! Voilà que le jeune homme lui rentra carrément dedans le faisant vaciller quelque peut, malheureusement pour l’élève celui-ci était carrément tombé sur le sol.
Kyouya regarda l’élève avec des yeux remplis de surprise, il ne si attendait pas à celle là. Le jeune homme finis par lui demander sur un ton quelque peut embarrasser et le visage rouge de honte qui il était. Le directeur fut aussi surpris de voir que l’élève avait coupé sa phrase et n’avait pas l’air de vouloir la finir. Le directeur regarda pendant quelque seconde le jeune garçon sur le sol avant de laisser échapper un grand rire. Vraiment c’était plus fort que lui, cette situation était bien amusante selon lui.

Après avoir rit un bon coup Kyouya releva le jeune élève en le prenant par le bras.
« HaHa…. Je suis désolé HaHa… Je suis Kyouya Asaki, le directeur. Je présume que tu es le nouveau venu. Quel est ton nom déjà? »
Kyouya dis ses phrases avec un large sourire tout en tendant la main vers l’élève en espérant que celui-ci la lui serrerai.

Kyouya fut très surpris pas ce soudain changement dans le comportement du jeune élève. Il passe de la défensive au maladroit paniqué, pour ensuite tourné vers le jeune docile et finalement devenir agressif. Le directeur ce demanda si il n’était pas tombé sur un bipolaire…. Non peut-être pas, habituellement leurs réactions sont plus exagéré que ça. Kyouya esquissa un petit sourire, pour détendre l’atmosphère.
« Qui je suis vraiment? Mais je viens de te le dire, je suis le directeur. N’en ai-je pas l’air? » Répondit calmement le directeur au jeune homme.

Une cloche retentie dans les couloirs, qui rapidement furent remplis de jeunes élèves dans un bouquant des plus chaotiques. Kyouya ce tourna vers le jeune élève et lui dit ensuite :
« Bon ….. Disons que pour aujourd’hui je peux te permettre de manquer ton avant-midi. Mais uniquement ton avant-midi. Je préviendrai tes professeurs que tu t’étais perdu et que j’ai décidé de te faire faire un tour de l’école. Si tes professeurs savent que tu as été en ma compagnie tu n’auras pas de problème. Ça te va? »

« Alors tu viens? Je vais te faire faire le tour du propriétaire. » Continua le directeur.

Le directeur cligna les yeux de surprise. Ce jeune homme devant lui n’avait aucune idée de qu’est-ce que qu’était le respect ou quoi? Bon Kyouya était habitué à ce genre de traitement, étant directeur de ce genre d’établissement depuis quelques années il avait déjà entendu pire. Il toussota un peu, quelque peu hérité. Il ne dit pas un mot et attendit que les couloirs se vide un peut, pour plus facilement ce frayer un chemin.

Une fois la foule d’élève dispersé Kyouya mit sa main sur l’épaule de l’élève et lui souris.
« Et si je commençais cette visite par te montrer mon endroit préféré ici? »
Il n’attendit pas la réponse de l’élève et l’entraina dans les couloirs. Pendant qu’ils passaient devant des locaux, Kyouya lui expliquait des choses dans le genre :
« Ah! Ici c’est une classe de géographie. Et un peu plus loin c’est la section des classes d’art, etc…».
Ensuite Kyouya entraina le jeune élève dans des escaliers, et monta les trois étages de l’école. Tout en montant le directeur lui parlait de tout et de rien, par exemple quand l’école avait-elle été fondé, pour quel raison, des choses qui évidement n’intéressait pas le jeune homme, mais Kyouya ne lui laissait aucun place à la parole. Une fois tout en haut des escaliers il y avait une porte que le directeur poussa.

Les voilà sur le toit. C’était l’endroit favori du directeur. Le soleil l’aveugla un peu, mais il allait si habituer. Il s’avança vers le bord et regarda tout en bas. Il n’y avait personne sur le toit se matin si, et due à la pluie c’était un peu humide. Mais maintenant le soleil brillait et allait bientôt évaporer tout ça. Il ventait aussi beaucoup ce matin si, et les cheveux du directeur volaient dans tous les sens. Kyouya finit par se retourner vers Lionel.
« Voici l’endroit que j’apprécies le plus dans cette école. Comment tu trouve? » Dit le directeur avec un sourire.