Un petit morceau! (PV Tsugaru)

Le jeune Misaki finit par s’en aller, cela allait être difficile pour le psychologue de réussir à l’aider. Le jeune homme semblait vouloir s’autodétruire et cela inquiétait vraiment le jeune psychologue. La journée s’achevait enfin, longue et tellement ennuyeuse comme il l’avait deviner. Il regarda sa montre il était presque six heure, heure à laquelle il devait retrouvé le professeur Seikai. Il profita des quelque minutes qu’il lui restait pour retirer sa cravate et sa veste, il se sentait beaucoup mieux ainsi. Il attrapa sa mallette et sortit à l’extérieur sans oublier de fermer la porte à clef. Après un moment à marcher dans les couloirs il finit par arriver dans le hall. Il n’y avait pas grand monde, il continua de marcher jusqu l’extérieur. Le professeur Seikai était déjà la et semblait l’attendre, Tsugaru s’approcha mais il semblait que le professeur de musique était en train de vaguer à son imagination. Reni sourit et attendit un moment puis il souffla doucement:

« -Monsieur Sekai. »

Pendant que son collègue sortait de sa torpeur une voiture noir et extrêmement scintillante s’avança dans l’allée. Elle était conduite par un chauffeur impeccablement vêtu d’un uniforme aussi noir que la voiture. Il s’arrêta non loin de l’entrée et fit un signe de tête au psychologue, celui-ci hésita un instant puis se retourna vers le professeur de musique.

« -Pourriez vous m’excusez un moment, s’il vous plaît? »

Tsugaru traversa la cour en direction la voiture puis il s’arrêta devant la vitre du conducteur et discuta un moment avec celui-ci. Juste avant que la voiture ne s’en aille il remit au chauffeur sa mallette et sa veste. Puis un gigantesque sourire au lèvre il retourna auprès du professeur qui était resté à l’entrée. Il commençait à faire un peu froid mais Reni était immunisé contre ce genre de changement climatique. Il demanda toujours aussi souriant et d’une voix très enjouée:

« -Ou allons nous? »

Tsugaru attendait la réponse d’Enju et on profita pour observait les alentours il était rare qu’il prenne le temps d’observait le paysage. Enfin le paysage en dehors de celui qu’il pouvait apercevoir de la fenêtre de son bureau. Tanaka avait une magnifique cour extérieur et si il ne devait pas aller prendre un morceau avec le professeur Seikai il serrait bien rester là à observait le paysage. Il se concentra sur son collègue qui lui répondit du même ton qu’il lui avait posé la question. Un petit restaurant pas très loin, Reni ne pu s’empêchait de remarqué que lorsque son collègue avait prononcé le mot « saké » sa voix avait légèrement changer. Il ne pu à cela qu’esquisser un nouveau sourire, alors comme sa le professeur de musique était un amateur de saké. Lui avait une préférence pour le vin mais il aimait aussi beaucoup le saké chose qu’il n’avait pas souvent l’occasion de boire durant ses voyages.

« -Et bien allons-y! »

Ceci dit il suivi Enju qui avait commencé à marcher puis celui-ci se retourna vers lui et lui demanda si il voulait utiliser un autre moyen de locomotion. Le psychologue se contenta de sourire à la question, il venait de renvoyer son chauffeur et à part ainsi il n’y avait pas d’autre moyen de transport. De plus il ne marchait pas très souvent et il voulait vraiment pouvoir découvrir la ville. Mais surtout le fait qu’il marche au lieu d’utiliser la voiture rendait le chauffeur fou de rage, une vengeance parfaite contre les mauvais traitement de celui-ci. Il pouffa légèrement de rire on y pensant puis reporta son regard sur le professeur de musique qui attendait une réponse.

« -Non, si ce n’est pas loin autant y aller à pied! »

Répondit-il toujours aussi joyeux et de bonne humeur que d’habitude, cela était parfois insupportable de le voir toujours aussi heureux à croire qu’il ne savait pas ce qu’était la tristesse. Bien sûr c’était loin d’être le cas, il avait lui aussi son lot de problèmes mais il préférait ne pas trop en parler car il trouvait ses problèmes insignifiant comparer à ceux d’autrui. Il continua donc de marcher suivant le professeur Seikai puis pour passer le temps il lui demanda:

« -Vous pratiquez la musique depuis longtemps? »

Alors le professeur Seikai pratiquait la musique depuis l’âge de quatre ans, impressionnant. Et il semblait beaucoup apprécier cette discipline, il valait mieux après tout il enseignait la musique. La musique était donc une histoire de famille, Reni ne pu s’empêchait d’avoir un regard sombre lorsque son collègue lui dit cela. Dans sa famille le seul héritage était la fortune et le pouvoir, il n’y avait rien de comparable à l’amour de la musique. Sa grand-mère était donc une célèbre violoniste, Tsugaru se souvint du stradivarius et demanda curieux:

« -Le stradivarius que vous aviez sur le toit était l’instrument dont votre grand-mère se servait? »

Le professeur Seikai aurait donc pu devenir un musicien professionnel et faire carrière, intéressant. Il avait donc choisi l’enseignement par idéaux. Il est vrai qu’ils étaient toujours plus satisfaisant de vivre on aidant les autres que de vivre pour soit même. Et quoi de mieux qu’aider les autre on pratiquant la chose que l’on aime le plus. Le psychologue appréciait de plus en plus le professeur de musique, le simple fait que celui-ci aime ses élèves était déjà une bonne raison de l’apprécier. Après tous depuis qu’il était psychologue combien de professeur détestable avait il rencontrer, combien de fois avait il entendu ses idiots d’enseignants critiquer les élèves. Il ne comptait plus le nombre de fois, c’est l’une des raisons qui l’avait poussé à arrêter l’enseignement pour la psychologie même si il continuait à enseigner en dehors du cadre académique. Puis Enju demanda à Tsugaru ce qui l’avait amené à Tanaka, celui-ci esquissa un sourire et son regard se remit à brillait.

« -Et bien c’est assez bête, un de mes anciens collègue a travaillé à Tanaka mais contrairement à vous il a très mal vécu cette expérience. Après l’avoir écouter j’ai eu envie de voir si c’était aussi térrifiant et lorsque j’ai découvert qu’une place de psychologue était à prendre j’ai sauté sur l’occasion. Je me suis dit que si il y avait un endroit ou je pouvais vraiment être utile c’était bien ici! »

Il faut bien dire que son collègue avait décrit des bêtes sauvages sans le moindre remord. Et pas de gentils et braves élèves qui ont commis quelque erreurs et dont personnes n’a cherché à excuser ou à, comprendre. Tsugaru l’avait bien compris il n’avait pas affaire à des monstres de cruautés mais à des jeunes gens qui n’avaient pas forcément beaucoup de chance ou qui souffraient de troubles psychologique.

Comme à son habitude Tsugaru avait utilisé sa force de déduction et avait deviné que le stradivarius appartenait à la grand-mère de monsieur Seikai. Il ne pu retenir un sourire lorsqu’il écouta le professeur, celui-ci aimait vraiment sa grand-mère cela se voyait. Le psychologue se demanda alors si lui aussi aurait apprécier ses grand parent si ceux-ci étaient encore en vie. Bien entendu la réponse était non, après tout dans la famille Tsugaru ont ne donné de l’amour que le jour de la naissance de l’enfant. Reni le savait très bien il continua d’écouter le professeur Enju et il ne pouvait s’empêcher de se demander à quoi pouvait bien ressembler une soirée en famille. Alors le professeur de musique était une sorte de virtuose. Huit ans et déjà très doué pour la musique, à cet âge Tsugaru était obligé de vérifier les compte familial. Ce n’est pas franchement la chose la plus intéressante à faire à huit ans, c’était pour cela qu’il avait toujours donner l’impression d’être plus adulte que la plupart des enfants. Il faut dire que lorsque l’on a pas l’occasion de vivre une enfance on ne peu pas vraiment savoir comment un enfant doit ce comporter. Après avoir expliquer les raisons de sa venu au professeur, celui-ci hocha la tête et lui affirma qu’il serrait utile. Le psychologue après son premier rendez vous n’était pas vraiment sûr de cela mais d’un autre côté il avait une méthode bien à lui donc il devrait pouvoir s’en tirer. Nous arrivâmes enfin devant un petit restaurant assez calme. Il n’y avait pas grand monde mais Reni était habitué au calme et au silence donc cela lui convenait parfaitement. Il suivit le professeur puis il s’installèrent à l’intérieur.

« -Vous êtes dans cette ville depuis longtemps? »

Le professeur de musique semblait bien connaître les lieux et le psychologue se posait la question depuis un moment déjà. Pendant que le professeur lui répondait il observa le lieu, il n’était jamais rentrer dans se genre d’endroit. Il faut dire que lorsque l’on est l’héritier d’une des plus grande famille japonaise on évite les endroits dit de basse catégorie. Pourtant malgré l’interdiction formelle de ses parents il lui était déjà arriver d’entrer dans des bar ou des café mais c’était le premier restaurant. Il aimait beaucoup l’ambiance de ses lieux qui contrairement aux grands restaurants étaient toujours très animé. Tsugaru aimait l’ambiance de ses endroits mais il ne disait pas non au calme et au silence dont il avait été entourer toute son enfance.

« -Cet endroit ma l’air vraiment sympathique. »

« -Oh, je…je suis désolé. »

Tsugaru s’en voulu d’avoir poser la question, certes il ne pouvait pas savoir pour le père du professeur Seikai mais il s’en voulait tout de même. Le psychologue allait commencer à déprimer lorsque son collègue lui dit qu’il venait souvent dans se restaurant. Reni esquissa un sourire il voulait bien le croire c’était tout à fait le genre d’endroit ou lui-même aurait pu passé tout son temps ou enfin une bonne partie. Le professeur de musique observa un instant le menu, Tsugaru n’avait aucune idée de ce qu’il voulait. Il observa le menu un moment lorsque le professeur Seikai lui dit que se qu’il appréciait par-dessus tout était le saké. Reni éclata de rire, c’était beaucoup trop pour lui le ton Qu’employait son collègue lorsqu’il parlait de saké était suffisant à lui faire comprendre que celui-ci adorait cette boisson. Il arrêta de rire puis il dit sur un ton très ironique mais sans aucun sarcasme:

« -Cela voyez vous je ne l’aurais jamais deviner! »

Tsugaru se replongea dans le menu un large sourire au lèvre, il ne savait quoi prendre tout avait l’air délicieux dans le menu. Il finit par se résoudre à prendre la même chose que son collègue. Son téléphone vibra mais il ne répondit pas il savait très bien de qui il s’agissait et il ne voulait pas leur adressaient la parole. Après un petit moment il finit par dire toujours aussi joyeux et amuser:

« -Tout à l’air délicieux je ne peu pas choisir, je prendrais la même chose que vous si cela ne vous dérange pas. Et je doute repartir d’ici sans avoir goûter au saké donc autant en prendre aussi. »

Il pouvait bien se moquer de l’adoration que portait son collègue au salé il savait pertinemment qu’il était pareil face à une bonne bouteille de vin ou de champagne. Cela faisait une éternité qu’il n’avait pas bu de saké et il ne se souvenait presque plus du goût que cela pouvait avoir. La dernière fois c’était le jour ou il avait fini ses études si il se souvenait bien.

Après que le professeur ai saisi la plaisanterie il en rajouta un peu se qui fit que Reni ne pu s’empêchait de sourire. Il souriait presque tous le temps il était difficile d’imaginer qu’il ai le moindre problème et pourtant des problèmes il on avait. Lorsque Tsugaru demanda à Enju si celui-ci ne voyait pas d’inconvénient à ce qu’il prenne la même chose le professeur lui répondit que cela ne le dérangeait pas. Le serveur vint prendre la commande et récupéra au passage les deux menus puis retourna en cuisine. Tsugaru venait de trouvé dans sa poche une feuille blanche, il s’amusa à faire des origamis en formes de minuscule roses. Bien sûr il les fit dans sa main là ou personne ne pouvait le voir puis il remarqua alors que le professeur Seikai le fixait, le menton appuyer sur ses deux mains un léger sourire au lèvre. Reni pencha la tête sur le côté un large sourire au lèvre et demanda d‘un ton légèrement amuser:

« - Pourquoi est-ce que vous me fixez comme sa? »

Le psychologue ne le paraissait pas mais il ne supportait pas d’être ainsi observer , cela le gêné terriblement. Il observa alors sa main dans laquelle cinq petite roses en papier se trouvaient. Avec un geste rapide il arriva à les relier cela donner une sorte de bouquet de roses. Il releva les yeux vers Enju puis il se demanda mais il trouvait cela ridicule et pourtant mais il n’y pensa plus. Il s’amusa un peu avec son bouquet de papier, il trouvait cela amusant après tout il voulait à tous prix retrouver ou plutôt trouver l’enfant qui était en lui. Puis lorsqu’il commença à s’ennuyer il vit le serveur revenir le premier plat dans les bras. Comme conditionner pour les bonne manière il se redressa sur sa chaise, il replaça ses mains au dessus de la table. Dans se dernier geste il laissa apparaître son minuscule bouquet qui même en papier était magnifique. Il manquait juste de couleur pour être réellement parfait, le psychologue se contenta d’esquissait un sourire. Puis il essaya d’attirer l’attention sur le repas et dit d’une voix toujours enjouée et il le pensait:

« -Cela a l’air délicieux! »

Le professeur Seikai se permit un petit commentaire qu’il aurait du éviter, de toute les choses qu’il aurait pu dire c’était celle là qui gêna le plus le psychologue. Qui juste après baissa les yeux et devint tous rouge. Il avait beau savoir que ce n’était qu’une plaisanterie il n’aimait pas se genre de plaisanterie ou du moins il avait du mal à prendre se genre de chose à la rigolade. Il déposa le mini bouquet face à Enju et se concentra sur son assiette. Il souhaita à son tour un bon appétit à son collègue puis il l’observa prendre une première cuillère de cette soupe. A le voir cela paraissait délicieux, Reni attrapa sa cuillère et après avoir humé le délicieux parfum il aspira une petite portion. La soupe n’avait rien de mauvaise elle était même délicieuse. Il esquissa un léger sourire qui s’agrandit encore plus lorsque le serveur apporta le saké. Il ne pu s’empêcher de remarquer le sourire du professeur, le serveur déposa deux coupoles qu’il remplit de se liquide. Dès qu’il eu terminé de verser le saké, Tsugaru attrapa sa coupole à deux mains. Il l’observa un long moment, il avait totalement oublier l’odeur, la couleur et aussi le goût. En y réfléchissant aimait il seulement le saké, la réponse était évidente mais il se posa tous de même la question. Il adorait le vin, buvait au moins un verre de champagne par jour et ne disait pas non à un verre de tequila. Il sourit et finalement décida de boire, c’était là la meilleur chose à faire pour être fixer. Il déposa ses lèvre sur la coupole et avala d’une traite le contenu, chose qu’il faisait souvent même si la plupart du temps il préférait prendre son temps pour boire. Mais au moins il était fixé, il adorait le saké autant que le vin et d’ailleurs dès qu’il serra de retour chez lui il se ferra livrer du saké à profusion. Il sourit et se demanda au bout de combien de verre de saké il serrait totalement saoul.

« -Pas mauvais, pas mauvais du tout. Je dirais même excellent! »

Il esquissa un sourire, il savait que si personne ne l’arrêtait il aller certainement boire jusqu’à perte de conscience. Il pouvait tenir jusqu’à dix verres de vin de suite mais il n’arrivait pas à ce souvenir de la quantité d’alcool qu’il y avait dans le saké. Il observa sa coupole vide, lorsqu’il était en pleine réflexion il ne le savait pas mais ses yeux donnait l’impression de pétillaient. Il déposa sa coupole devant lui et attendit que son collègue termine la sienne sans le déranger.

Tsugaru fut surpris lorsqu’il entendit son collègue lui reprochait de ne pas l’avoir attendu pour boire mais il avait bien entendu le ton un peu amusé. Il pouffa de rire, cela faisait si longtemps qu’il n’avait pas bu de saké qu’il avait complètement oublié que la moindre des choses était de boire le premier verre en trinquant. Et puis il avait horriblement envie de boire se saké surtout après avoir vu comme le professeur pouvait l’apprécier. Maintenant qu’il y pensait il n’était jamais aller boire avec ses collègues, il faut dire qu’il ne les appréciaient pas vraiment beaucoup. Mais cette année allait peut être changer cela, Tanaka ne recelait pas seulement d’étrange élèves mais aussi d’étrange professeur mais il fallait l’être pour venir enseigner dans un établissement aussi réputé et pas dans le bon sens.

« -Euh…je suis désolé, je n’ai pas pu attendre… »

Le professeur avait déjà prit sa propre coupole et il la vida à son tour d’une seule traite. Après quoi il reprit la bouteille de saké et reversa son contenu dans chacune de nos coupole. Ses gestes semblaient très précis Reni savait qu’il n’aurait pas pu le faire lui-même. Il se contenta d’observer le professeur sans un mot, celui-ci récupéra sa coupole et trinqua à leur santé. Tsugaru entrechoqua sa coupole avec celle de son collègue. Il esquissa un léger sourire tout en se demandant combien de verre son collègue pouvait boire. celui-ci avait l’air d’être un grand amateur et Reni lui adorait les défis, il se mit donc au défis de boire plus de saké que son camarade et juste après que celui-ci ai trinqué à leur santé il ne pu s’empêché de rajouter dans un petit murmure:

« -Et à notre survie… »

Car depuis son premier rendez vous il se doutait bien qu’un élève allait finir par vraiment s’en prendre à lui. Il ne savait pas comment il réagirait alors, jamais il n’utiliserait la violence mais il ne pourrait pas non plus se faire mettre à sac par un élève. Il poussa un soupire et bu à son tour le saké qui se trouvait dans sa coupole. Mais cette fois il y alla lentement, trop occuper à réfléchir au déroulement de son prochain rendez vous avec l’élève colérique. Il savait que celui-ci ne parlerait pas mais il avait une autre solution bien plus pratique pour y remédier. Cela allait être difficile et il y avait des risques mas pourquoi ne pas essayer. Cette fois ci il allait devoir user de ses talents de voleur, étrange pour un riche héritier d’avoir se genre de capacité? Et bien chacun ses secrets et nous savons tous que tous le monde a ses secrets. Tsugaru sorti de sa longue réflexion et demanda par simple curiosité:

« -D’où vous viens cette passion pour le saké? »

Tsugaru écouta le professeur Seikai avec la plus grande attention, alors c’était sa mère qui l’avait initier au saké. Le psychologue sourit les parent était censé être des personnes qui soutienne vos choix et qui trinque à votre réussite. Mais aussi loin qu’il se souvienne ses parents avaient toujours décidé pour lui sans jamais le laisser choisir pour lui-même. Il avait réussi à sortir de sa tourmente seulement le jour ou sa vie a commencé à prendre un sens. Malheureusement le jour ou il avait retrouvé cette personne cela ne c’était pas passer comme prévu et il est vite retourner à l’autorité parental. Même maintenant qu’il était adulte ses parents dirigeaient sa vie. C’était eux qui avaient décidé du lieu ou il allait vivre, des personnes qui s’occuperaient de lui et même de se qu’il mangerait. Et oui le café n’existait pas dans la demeure des Tsugaru il ne pouvait boire que du thé. Il avait même du se battre pour avoir droit à son vin et aux autres boissons alcoolisés. Enju parla alors de son père, Reni se sentit alors coupable car pour lui parler d’une personne décédé était toujours douloureux. Le professeur lui demanda alors si il avait un passe temps. Reni esquissa un sourire et prononça silencieusement

« -Un passe temps… »

Des passe temps il on avait plein notamment sa pièce secrète qu’il avait fait construire au plus profond des sous sol de sa demeure. Il était la plupart du temps enfermer à l’intérieur, que pouvait il bien y faire et bien cela est un secret. Il aimait entre autre passé du temps dans son jardin, il restait assis en silence et observait les fleurs dont les magnifique rosiers qui s’y trouvaient. Mais il avait aussi la passion du vin, du champagne et de bien d’autres boissons alcoolisé au point que de nombreuse personnes c’étaient demandés si il n’était pas alcoolique. Et bien évidemment ce n’était pas le cas, après un moment il finit par répondre. Il ne savait pas trop quoi répondre puisqu’il y avait beaucoup de choses à dire:

« -J’en ai énormément mais mon passe temps préféré reste le vin, j’adore boire une bonne bouteille de vin assis au milieu de mon jardin tout en observant mes rosiers dans le calme. »

Cela faisait d’ailleurs une éternité qu’il ne l’avait pas fait, il faut dire qu’il avait quitté son ancienne demeure il y avait tous juste une semaine. Et dès son arrivée il c’était surtout occuper de son nouveau boulot. Il avait fait en sorte que son bureau soit remis à neuf et il avait fait le tri dans tous ses papiers. Il eu un sourire là-dessus, lui qui détestait la poussière il avait été servi avec son bureau. Il repensa aussitôt à l’horreur qu’il avait découvert dans le bureau du directeur et ferma les yeux sur cette pensée. Le directeur était depuis la seule personne qu’il voulait à tout prix ne pas rencontrer, il est vrai que c’était horrible mais il ne pouvait vraiment pas supporté la poussière et le désordre. Il aimait par-dessus tout l’ordre et la propreté même si il n’allait pas le dire à tous le monde.

Tsugaru était toujours dans ses pensées se souvenant des long moments passer dans son jardin. Il aimait tant ce calme presque divin, se délicieux parfin de roses et cette sensation de paix intérieur qui le prenait alors. Il se rapellait même jusqu'au goût de chaque vin qu'il avait goûté en contemplant la beauté des rossiers. Il esquissa un sourire les yeux dans le vague lorsque Enju lui dit que c'était un beau passe temps. Son sourire s'élargit un peu plus et il se promit de trouver du temps pour passer dans son jardin. Il faut dire que sa demeure était à plusieurs heures de Tanaka. Il devait se lever tôt pour passer des heures en voiture et après une longue journée il lui fallait reprendre sa voiture pour un autre trajet tout aussi long. Une fois chez lui il n'avait qu'une envie c'était de dormir et pour cela il n'avait que quelque heures. Lorsqu'il avait accepter l'invitation du professeur il savait bien qu'il n'allait pas pouvoir rentrer chez lui. Ce qui ne l'embêter pas plus que sa car il pourrait toujours dormir à l'hôtel ou ailleurs. Il remarqua soudainement que son collègue venait de sortir un stylo de sa poche. Il l'observa curieux et le vit alors écrire sur le napperon en papier fort heureusement. Tsugaru continua de l'observais, c'était fou comme le professeur Seikai pouvait être intéressant. Il le regarda tracer ses portées puis les remplir de notes. Il le vit alors sourire face à son œuvre et lever les yeux sur lui. Il sourit de nouveau face au psychologue l'air un peu gêné et s'excusa tout en lui expliquant que parfois il composait et avait alors besoin d'écrire. Reni trouvait cela amusant et ne voyait pas vraiment pourquoi le professeur sourit gêné. Toujours un grand sourire il répondit d'un ton amusé:

"-Ce n'est pas grave, j'espère avoir l'occasion d'entendre cette composition."

Sur ses mots il récupéra sa coupole et commença à la vider. Pendant qu'il était en train de boire un homme pénétra dans le restaurant. A son apparence on pouvait facilement comprendre qu'il était anglais. De long cheveux blond, des yeux bleu et une attitude très digne. Tsugaru finit sa coupole un large sourire au lèvre, sourire qui s'éffaça très vite lorsqu'il aperçu son chauffeur. Il resta un moment sous le choc, il n'avait pas l'habitude de le voir habiller autrement qu'avec son uniforme. Le chauffeur esquissa un sourire lorsqu'il croisa le regard du psychologue puis s'installa à une table dans un coin. De là ou il était il avait une vue imprenable sur Reni et Enju. Tsugaru l'ignora et se concentra sur sa coupole vide. Sans l'avoir remarquer il c'était mis à taper du pied et son visage avait perdu son sourire affichant une expression neutre. Puis il se releva soudainement et dit à son collègue:

"-Veuillez m'escuser, je reviens."

Il se dirigea sans plus attendre à la table du grand blond. Il tira la chaise et s'assit en face de lui le défiant du regard. Il n'avait rien de violent mais lorsqu'on le pousser à bout il pouvait être dangereux. Le sourire du blond s'effaça et il sortit une carte de sa poche la faisant glisser sur la table jusqu'à Reni. Tsugaru la saisit et resta paralyser en la lisant. Le blond se leva lâcha un pourboire sur la table et glissa un téléphone dans la main du psy toujours bouleverser. Une fois le chauffeur à l'extérieur il retourna à la table ou attendait Enju. La carte dans une mains le portable dans l'autre. Son visage était devenu sombre mais il se ressaisi et il reprit une expression plus joyeuse.

Tsugaru c'était remis à sa place, il avait repris une attitude enjouée mais il était toujours aussi énerver. Il relit un moment le message inscrit sur la carte que lui avait remis le blond. Comment ses parents pouvaient-ils être aussi detestable voilà ce qu'il pensait. Il attrapa la bouteille de saké et comme si il c'était agis d'une bouteille de vin il deversa le liquide dans la coupole. Une fois la coupole pleine il commença à boire, lentement tout en observant le message du coin de l'oeil. Il éloigna la coupole de ses lèvres lorsque son collègue lui demanda si tout aller bien. Reni esquissa un sourire presque triste, sa vie était un enfer. Certes en apparence on pouvait croire que tout aller bien mais pourtant des problèmes il on avait. Mais il ne voulait pas en parler, il voulait juste oublier et reprendre le cour de son existence.

"-Ce n'est rien d'important."

Tout en prononçons ses paroles il déchira la carte et on fit des confetis. Il observa alors le téléphone noir et le mit dans sa poche. Il récupéra sa coupole et la vida d'un trait et sans attendre récupéra la bouteille et se servit un autre verre. Cela fait il se sentait beaucoup mieux, tellement qu'il laissa apparaitre son plus beau sourire pendant un court instant. Sa coupole à la main il huma un instant l'odeur du saké, il avait décidé de goûter se breuvage comme si il s'agissait de la dernière chose qu'il allait boire. Il laissa ses lèvre caresser doucement le liquide. Puis après un moment il aspira doucement une première gorgée. Laissant un petit instant s'écouler avant de prendre une seconde gorgée et ainsi de suite jusqu'à que la coupole se vide. Il se souvint alors qu'il était avant d'être intérompu, en train de discutter avec le professeur de musique sur ceux qu'il avait écrit quelque instants auparavant. Il fixa le professeur un intant puis ayant retrouver son état plus ou moins "normal" lui demande d'une voix amusé:

"-Avant cette arrivée impromptu nous étions en train de parler de votre composition. Vous avez bien dit que c'était un peu grâce à moi qu'elle vous était venu, je peux en savoir plus?"

Que dire sur sa question, le psychologue est doté d'une grande curiosité et d'une très bonne mémoire. Même si il avait posé cette question plus pour éviter un long si silence qu'autre chose. Comme j'ai déjà du le dire, Tsugaru n'est pas un fanatique de musique. Dès ses sept ans sa mère l'avait forcé à apprendre la musique le laissant seul avec des professeurs terrifiant qui l'avaient plus traumatisé qu'autre chose. La musique est pour lui le declencheur de mauvais souvenir. Pourtant lorsqu'il avait entendu Enju jouer sur le toit il avait apprécié la musique certes pas au point d'éffacer ses mauvais souvenirs mais tous de même assez pour l'intriguer. Il se demandait pourquoi, était ce le talent qu'avait le professeur ou bien les emotions qu'il mettait lorsqu'il jouait. Reni était intrigué et il allait tous faire pour avoir une réponse.

Tsugaru fut surpris de voir que la bouteille de saké était déjà vide, il essaya de se souvenir du nombre de coupoles qu'il avait bien pu boire mais il n'arrivait pas à s'en souvenir. Peut être cinq ou six se dit il mais il était encore un peu loin du nombre exacte. Il esquissa un sourire lorsqu'Enju appella le serveur pour une nouvelle bouteille de saké et la suite du repas. Après un court instant le serveur revint portant dans ses mains les plats et le si estimer saké. Reni resta un moment à observer son plat, il était rare qu'il mange à l'extérieur alors autant qu'il profite du moment. Il attrapa ses couvert et commença tous de suite le plat. Il se tenait toujours aussi droit et avait une certaine façon d'utiliser et de tenir ses couverts. Il découpa une première bouchée et la porta à ses lèvre, c'était tout simplement délicieux d'un autre côté il fallait dire qu'il n'était pas difficile de lui faire plaisir. Le psychologue après un moment à observer la bouteille de saké l'attrapa et se servit une nouvelle coupoles. Il fallait croire que le saké n'était pas une exception dans son amour pour les boissons alcoolisés.

Une fois le serveur repartit le professeur répondit à la question que Tsugaru lui avait posé. Alors c'était dont sa pensa le psychologue un sourire au visage. Après tout les artistes s'inspiraient de tous ce qui les entouraient pour créer. Le musicien ne faisait pas exception mais cela ne répondait qu'à la moitier de la question de Reni. Celui ci attrapa sa coupole et la vida d'un trait, parti comme il était il pouvait boire encore deux bouteilles voir un peu plus. Mais c'était étrange dans son souvenir le saké n'était pas aussi bon, peut être étais ce les dernier événements avaient donné un tous nouveau sens à sa vie et à son goût pour le saké par la même ocasion. Le professeur venait de prendre une gorgée de sa boisson préféré puis il fixa Reni du regard et finit de répondre à sa question. Tsugaru sourit encore plus, c'était donc à cause du jardin aux roses et bien il se demandait ce qui se serrait passer si Enju avait vu le jardin de ses propre yeux. Toute les personnes qui l'avaient imaginé ont étés subjuguer par la différence entre l'immagination et la réalité. Le jardin était bien plus beau que ce que l'on pouvait imaginer. Puis après un moment Reni se dit que c'était le moment de vérifier si il avait repris goût à la musique ou si c'était vraiment le professeur qui jouait divinement bien au point de lui faire oublier son dégoût pour cet art. Il lui répondit donc d'une voix très enjouée:

"-Je serrais très heureux de l'entendre, mais je ne voudrais pas vous dérrangez."