Comment se paumer en beauté? {Tsugaru Reni }

La voiture s’arrêta devant le portail de l’école, le chauffeur descendit et contourna la voiture. Puis il ouvrit la porte, un homme assez charmant en descendit il était vêtu d’une chemise blanche légèrement ouverte et d’un jeans noir. Le chauffeur s’inclina légèrement et sourit puis il ouvrit son coffre et en sortit une mallette. Pendant l’homme descendu de la voiture observait les lieux, puis il dit à l’attention du chauffeur.

« -Pourriez vous emporté mes affaires chez moi, je n’ai besoin que de cette mallette pour travailler. »

Le chauffeur lui referma le coffre, remit la mallette entre les mains de son patron au vu des dernier événements et s’en alla. L’homme observa la voiture quitter l’école puis tourner à gauche et disparaître. Il entra dans l’établissement et se mit en quête de son nouveau bureau, à première vue les élèves paraissaient assez calme mais il ne fallait pas si fier. Il interpella un jeune homme qui marcher mains dans les poches et cigarette à la bouche.

« -Excusez moi jeune homme… »

Le jeune homme en question se retourna, son regard ne disait rien de bon sur son état d’esprit. Mais lorsque les deux regard se croisèrent le jeune homme recula d’un pas, le regard de l’homme à la mallette était totalement opposé au sien. Il était plein de bonté et de chaleur, rien n’indiquer qu’il avait la moindre mauvaise intention. Lorsqu’il se remit à parler sa voix avait comme changer, elle donnait une étrange impression de détente qui vous entraînez à votre tour. Et toute sa phrase était accompagnée d’un gigantesque sourire.

« …pourriez vous m’indiquer ou se trouve le bureau du psychologue, s’il vous plaît? »

Le jeune homme lui indiqua rapidement ou se trouver son bureau puis il disparut en courant. L’homme continua à marcher, un courant d’air soulever ses cheveux et son visage était toujours orné d’un sourire. Il arriva finalement devant la porte de son bureau, à son grand étonnement quelque un en sortit et le bouscula d’un coup. Puis cette personne se retrouva contre la porte qui s’ouvrit et il finit à terre. L’homme se retint de rire même si ce n’était pas l’envie qui lui manquer.

« -Tous va bien vous n’êtes pas blesser? »

Il présenta sa main pour aider le jeune homme à se relever puis le toisa d’un regard pour évaluer à quel catégorie il appartenait. Certainement un membre du personnel puisque un peu trop âgé pour être un élève. Il avait l’air un peu à l’ouest ce qui amusait l’homme à la mallette.

Le jeune homme resta à terre un moment, il clignait des yeux certainement à cause de la lumière que dégager le couloir. Puis finalement il attrapa la main qui lui tait tendu et d’un geste il se retrouva debout, il était d’ailleurs incroyablement léger. A ce qu’il dit il n’était pas blesser, tant mieux cela aurait été très désagréable qu’il se retrouve à avoir blesser un collègue le jour de son arrivée.

« -Tant mieux alors. »

Le jeune homme était en train d’épousseté son manteau lorsqu’il demanda à la personne en face de lui si elle allait bien. Celle-ci sourit à cette question, elle n’avait même pas bouger d’un centimètre lorsque le choc avait eu lieu. Contrairement au jeune homme il avait été élever pour devenir quelque un de fort même si il détestait la violence. Il se contenta de sourire puis écarta les bras et fit mine de s ‘assurer que tout aller bien.

« -Je vais bien. »

Il semblait assez confus et lorsqu’il commença à retrouver son assurance il commença à parler. Il semblait être affolé et je ne compris strictement rien à ce qu’il disait mais je continuais de sourire. Il soupira alors un peu plus calme que quelque minutes auparavant et s’excusa. Je soupirais à mon tour, cette école était vraiment intéressante et il semblait que les cas n’étaient pas seulement présent parmi les élèves. Le psychologue que j’étais trouvé cela extrêmement amusant et distrayant.

« -Je suis Tsugura Reni le nouveau psychologue de Tanaka High, enchanté. »

Le jeune homme semblait rassuré du fait que je ne soit blesser ce qui me fit esquisser un sourire. Il se présenta à son tour mais au grand malheur de Tsugaru il se contenta de donner son prénom, celui-ci ne pouvait nommer quelque un si il ne connaissait pas son nom. Pour lui c’était la seule manière de montrer son respect vis-à-vis des autres personnes mais il ne fit aucune remarque. Alors comme sa le jeune homme était surveillant, c’était pour Tsugaru une chose assez intéressante. Après tout il fallait être fou pour travailler dans cette école mais encore plus pour travailler en tant que surveillant.

« -Enchanté…monsieur le surveillant. Puis-je connaître votre nom? »

Il ne pouvait vraiment pas nommer quelque un par son prénom c’était littéralement impossible. Il saisi la main qui lui était présenté et la serra sans véritablement faire attention. En réalité il la serra si fort qu’il lui sembla à un moment entendre les os de son nouveau collègue craquer mais il n’était pas totalement sûr. Alors comme sa il s’attendait plus à rencontrer un élève plus qu’un collègue à son arrivée. C’était plutôt compréhensible les élèves représentant la majorité de l’effectif d’un établissement scolaire. Tsugaru se contenta de sourire et lui répondit de manière assez banal.

« -Moi aussi je ne mis attendais pas. »

Puis il finit par passer à côté de son nouveau collègue pour pouvoir entrer dans son nouveau bureau. Il déposa sa mallette sur son bureau. La pièce était assez sombre, il ouvrit les volets pour laisser apparaître les rayons du soleil. Puis il se rendit compte qu’il avait bondonné son collègue à l’extérieur.

« -Nous serrons mieux à l’intérieur pour discuter »

Il s’assit à son bureau pendant que le jeune homme entrait. La pièce éclairer on pouvait admirer sa taille qui équivalez à une salle de classe ainsi que son aménagement. Meuble en chêne extrêmement solide dans lequel plusieurs tonne de dossiers étaient empilés. Plusieurs fauteuils en cuir autour d’un gigantesque bureau en bois noir. Les rideaux étaient d’un rouge bordeaux qui allait parfaitement avec la moquette.

Le jeune homme s’appelait donc Hiro Luya, c’était bon à savoir. Tsuruga sourit ce n’était pas dans ses habitude d’appeler qui que ce soit par son prénom. La seule personne qu’il aurait pu appeler ainsi était la personne qui aurait une place dans son cœur., soit personne pour le moment. Le jeune homme avait dit cela avec un sourire des plus radieux et d’une voix extrêmement douce ce qui amusa notre psychologue qui était plus introverti qu’extraverti quoi que par moment c’était plutôt le contraire.

« -Je préfère vous appelez Monsieur Luya c’est beaucoup mieux ainsi. »

Une fois à l’intérieur j’avais invité Luya à entrer à ma suite ce qu’il fit aussitôt. Dès qu’il entra il enleva son manteau ce qui d’ailleurs m’intrigua assez ce n’était pourtant pas la bonne période pour mettre un manteau mais cela ne me regarder pas. Par contre je fus encore plus surpris lorsque j’aperçu sa chemise qui elle ne me dérangeait pas mais par contre le pull qu’il portait au dessus me choqua un peu.

« -Vous…vous n’avez pas trop chaud avec tout sa? »

Le jeune homme m’observait déjà depuis un petit moment ce qui ne m’embêter pas vraiment mais qui pour de bonne relations entre collègues était un mauvais départ. Fixer les gens pendant une certaine durée était dans certain pays une forme d’insulte. Puis soudain se rendant compte que la situation il se mit à sourire. Puis comme si de rien n’était il posa une question, Tsuruga réfléchi un instant. Sa réponse était longue et douloureuse il se contenta de très peu.

« -Je voulais être professeur d’italien, je le suis aussi d’ailleurs même si je ne pratique que comme professeur particulier. Mais certaine circonstances ont fait que je suis devenu psychologue. »

Tout en parlant son sourire qui était toujours présent peut importe la situation s’effaça et son retard si pétillant devint tout à coup aussi sombre qu’un ciel nocturne sans étoiles. Il poussa un long soupire puis il se remit à sourire toujours le regard triste et demanda à son tour.

« -Et vous, qu’est-ce qui vous a poussé à devenir surveillant? »

« -Je vois. »

Alors comme sa Luya était frileux c’était intéressant mais cela devait être difficile à vivre. Personnellement Tsugura ,’était pas du genre à apprécier d’être vêtu d’une veste suivi d’un pull. Les seul vêtement qu’il supportait été les costumes ou les vêtements d ‘été. D’ailleurs même en hiver il était rare de le voir avec une veste. Certainement à cause de son côté narcissique, il ne pouvait supporté les veste qui lui donner l’impression d’avoir une dizaine de kilo en trop. Son interlocuteur c’était mordu la lèvre et Tsugaru aperçu une goutte de sang perler le long de son menton. Il sortit un mouchoir en soie ou était brodée ses initial et le lui tendit avec un grand sourire tout en lui répondant de sa voix qui pouvait détendre les gens qui l’entourer rien qu’on l’entendons.

« -Vous n’avez pas à vous excusez, vous ne pouviez pas savoir… »

Puis Luya lui expliqua pourquoi il était devenu surveillant, il n’y avait pas vraiment de but précis. Tsugura se contenta d’hocher la tête puis il sourit d’un air assez chaleureux. Alors comme sa le surveillant n’avait pas finis ses études. Il se demandait pourquoi mais il ne posa pas la question car cela porter sur la vie personnelle de son nouveau collègue. Et la règle principale de Tsugura était de ne jamais se mêler de la vie d’autrui en dehors de son boulot. C’était pour lui une règle fondamentale.

« -Je vois. »

Il attrapa alors sa mallette et l’ouvrit, à l’intérieur il y avait et oui c’est étonnant une bouteille de vin. Il observa rapidement son bureau pis il aperçu des verres un peu plus loin derrière une vitrine. Il se leva, ouvrit la vitrine et attrapa les deux verres puis revint à son bureau. Il releva la tête vers son interlocuteur et un grand sourire au visage il lui proposa.

« -Que diriez vous de trinquer à nos nouveaux postes et à notre réussite? »

Tout en parlant il avait ouvert la bouteille et le bouchon avait sauter et était retomber parfaitement dans la poubelle. Tsugaru était passé maître dans l’art d’ouvrir les bouteilles de vin, il c’était entraîner un jour en passant. Puis sans vraiment attendre la réponse de son nouveau collègue il versa une gorgée de se bordeaux d’un rouge écarlate dans chacun de ses verres.

Tsugaru observa son nouveau collègue attrapait le mouchoir qu’il lui tendait et l’observait un sourcil relever. Cela le fit sourire pour lui un mouchoir en soie ou en papier c’était du pareil au même alors il trouvait toujours amusant lorsque les gens réagissaient ainsi. Mais il fut tous de même surpris lorsque Luya lui demanda si il n’avait pas de mouchoir en papier. Après tout aussi gentil et généreux qu’il était si il avait eu un mouchoir en papier il n’aurait pas donner son mouchoir en soie mais il ne fit pas de remarque. Il fit mine de chercher un mouchoir en soie puis un large sourire gêné il dit:

« -Je suis vraiment désolé mais il ne me semble pas avoir de mouchoirs en papier, vous pouvez tous de même utiliser celui-ci ce n’est pas grave si il se retrouve tâché. »

Le psychologue attrapa les deux verres de vin et on remit un à son nouveau collègue. Il commença d’abord par humé le doux et âpre parfum de se grand cru et observa un moment son collègue. Celui-ci avait prit son verre, allait-il supporté le goût de se vin qui était censé être l’un des meilleur d’Italie mais aussi les des plus fort. Puis il leva son verre un léger sourire aux lèvres et porta un toast.

« -A notre nouvelle vie qui commence et à notre réussite! »

Puis il approcha lentement son verre jusqu’à ses lèvre et avala une minuscule gorgée pour pouvoir en apprécier le goût et la saveur. Il on profita pour se lever et jeter un œil sur les divers dossiers qui encombrés son nouveau bureau. Il allait devoir se lever très tôt demain pour pouvoir commencer son rangement, d’ailleurs il allait commencé dès aujourd’hui. Puis toujours très lentement il aspira une seconde gorgée de cet élixir et il se contenta de sourire d’aise. Il était un fanatique de vin depuis sa tendre enfance certes à cette époque il ne buvait pas mais il utilisait son odorat à la perfection. Il retourna à son bureau et demanda pour relancer la conversation:

« -Vous n’avez pas trop le traque, après tout vous allez devoir encadrer les élèves les plus turbulent du pays que dis-je du monde. »

J’avais dit cela comme sa avec une légère touche d’ironie dans la voix mais il était vrai que je me posais la question. Après tout le jeune surveillant ne semblait pas très costaud et si les élèves se mettaient à plusieurs contre lui il n’aurait certainement aucune chance.

Il sembla d’abord gêné mais finit tous de même par accepter mon mouchoir et il valait mieux puisque le sang allait tâché son pull. Il glissa alors ses doigt et attrapa avec la plus grande délicatesse le verre que Tsugaru lui tendait et répondit au toast de son collègue. Il ne semblait as vraiment avoir conscience du lieu dans lequel il était tombé et il répondit à ma question. Tsugaru esquissa un sourire lorsque Luya lui répondit alors comme sa cette école serrait basé sur des préjugés et les élèves n’avaient pas besoin d’être observer comme des bêtes en cage. Le sourire de Tsugaru s’élargit un peu plus à l’entende des paroles de son collègue. Décidemment ses deux personnes allaient bien s’entendre, par contre Tsugaru n’était pas certain qu’une telle réputation est pu se faire simplement grâce à de simple préjugés il devait aussi avoir du concret la dedans. Puis relevant ses yeux sur Tsugaru le jeune surveillant un éclat de malice dans le regard lui fit remarqué que c’était lui le psychologue.

« -En effet c’est bien moi le psychologue. Mais pour me faire un avis réel de la situation il va me falloir du temps pour lire et trier tous les dossiers. Mais aussi beaucoup de temps pour apprendre à mieux connaître et cernés la plupart des étudiants. Lorsque j’aurais fait cela je pourrais répondre à ma question. »

Je continuais à vider mon verre tout en observant les dossiers qui commençait à prendre la poussière. Ce bureau avait besoin d’être nettoyer et remit à neuf mais pour le moment il fallait se concentrer sur les dossiers. Demain allait être une longue et fatigante journée. Je me mis à rire j’allais réellement avoir du boulot et cela me plaisait. Puis je me rendis compte que je riais pour rien et que mon interlocuteur devait se demander si j’avais toute ma tête.

« -Bon je ne vais pas vous retenir plus longtemps, vous devez avoir beaucoup de chose à faire en tant que surveillant. Bonne journée à vous et à plus tard peut-être. »

Le jeune surveillant remit sa veste et me salua. Dans le couloir un groupe d’élèves passa en courant et Luya avait la ferme intention de les arrêtait. Après avoir fait un petit commentaire qui me fit sourire mais que je pris tous de même au sérieux il s ‘en alla et referma la porte derrière lui. Tsugaru se retrouva seul dans son gigantesque bureau et se mit à tout nettoyer. Il commença d’abord par sortir tous les dossiers de leur placards et tiroirs. Entraînant l’apparition d’un énorme nuage de poussière, il ouvrit rapidement la fenêtre pour éviter l’asphyxie et attrapa son téléphone qui se trouvait dans sa mallette. Après avoir rapidement composer un numéro il attendit que l’on décroche.

« -Allo bonjour ici la société de nettoyage Blanche que pouvons nous faire pour vous? »

Tsugaru soupira un instant puis répondit:

« -J’aurais besoin d’une équipe de nettoyage pour faire briller mon bureau. »

Après quelque seconde:

«-Oui, bien sûr monsieur. Et quand auriez vous besoin de nos services? »

« -Dès aujourd’hui, au plus tôt. »

La secrétaire semblait observer l’agenda puis répondit:

« -Bien sûr je note sa, à quel nom et à quel adresse dois noté le rendez vous? »

« -Tsugaru Reni, Tanaka High. »

Après un long moment il était convenu que dans moins de deux heures ils arriveraient pour nettoyer le bureau. On attendant le psychologue se resservit un verre de vin et il s’assit sur son fauteuil devant la fenêtre laissant son regard vagabonder au loin.