Adieu Sempai! [PV:Hiro Luya]

Cela faisait presque une semaine que j'avais officielement commencer les cours. J'esquissais un sourire à cette pensée, une semaine que je ratais les cours oui! C'est génétique chez moi, aucun membre de ma famille n'aiment réellement l'école. Bon d'accord ce sont de mauvais exemple, mon oncle...vaut mieux pas en parler et je vous dis même pas mon frère, quoi que lui il a pas besoin de travailler pour avoir de bonne notes. Je continuais à marcher le long du terrain tout en observant le match de foot qui y avait lieu. Je m'arrêtais net, devant moi un petit groupe semblait m'attendre.

"-Salut!"

Je leur offrit mon plus beau sourire, j'avais déjà croiser ses types deux trois fois. Et d'ailleurs j'avais bien compris qu'ils n'étaient pas insensible à mon charme. Certes il était évident que je jouais la comédie, il n'était pas question que j'aille très loin dans se jeu de séduction. L'un des idiots s'approcha un sourire au lèvre et me proposa une cannette. Je pouvais deviner à son regard que ce n'était pas la seule chose qu'il aurait voulu m'offrir. Je continuais tous de même à jouer la comédie. J'attrapais la cannette en lui efleurant la main et je fis semblant de rougir. Le type crut que j'étais consentant à aller plus loin. Il fit mine de vouloir me parler en privée, il congédia la petite bande et me traina dérrière le bâtiment. Je le regardais tout sourire attendant le bon moment pour le refroidir. Il commença à caresser doucement mon visage souflant des mots doux à mon oreille. Puis je sentis sa main descendre un peu trop bas à mon goût. Je l'arrêtais net mais il tenta d'utiliser la force.

"-Aïe!!!"

Il m'avait plaquer contre le mur, cela ne m'aurait pas fait mal si sa n'avait pas toucher mon épaule. Il profita du fait que je sois à moitier dans les vappes pour déchirer ma chemise. Le choc de voir ma chemise préféré en miette me remit les idées en place et je le poussais loin de moi. Il tenta de revenir mais s'arrêta net en voyant mon regard. Je n'étais plus le mignon petit jeune homme mais plus un type dangereux super énerver. D'un coup de pied je l'envoyais voler un peu plus loin. J'avais du lui casser quelque côtes. Il se releva et partit en courant. Pendant que je tombais à terre une main contre mon épaule et un peu de sang qui commençait à couler entre mes lèvre. Ma chemise était en miette et la douleur était telle que j'en fermais les yeux.

Je m'étais adossé au mur et peu à peu je tombais presque inconscient. Une voix prononça mon nom, une voix qui ne m'était pas inconnue. Pour une raison que j'avais du mal à définir je me sentais un peu mieux. Certe je n'arrivais pas à faire le moindre mouvement comme paralyser. Je senti quelqu'un poser un genoux à terre et une main soulevait mon visage. Puis un second genoux se posa et je fu comme redresser et pas sans mal. Je poussais un petit gémissement de douleur, j'en avais plus qu'assez de cette stupide épaule. Ma tête se posa sur quelque chose de chaud. Je pouvais entendre les battements d'un coeur, je restais là les yeux fermer esquissant un petit sourire. La veste que je senti sous mes doigts ne me trompait pas. J'entendis des élèves puis une sonnerie et enfin sa voix. Lui dire ce qui c'est passé? Jamais! Mon épaule? Oui pourquoi pas

"-....poche....flacon..."

Voilà les deux mots que j'alignais pour lui expliquer comment faire passer la douleur. Dans la poche de mon pantalon se trouvait un flacon contenant un produit normalement interdit mais capable de me servir d'antidouleur. Pendant que j'essayais tant bien que mal à lui répondre, Hiro termina de déchirer ma cher et tendre chemise adorer. Ce type allait me le payer bon d'accord c'était de ma faute et alors!? Hiro semblait chercher quelque chose sur mon épaule, j'esquissais un petit sourire. Il finit par récupérer le flacon, j'avoue que la sensation de sa main dans ma poche arrière n'était pas déplaisante. Je récupérais trois gellules que j'avalais d'un coup. Après quelque minutes je me sentais mieux même si je comptais profiter un peu de la situation.

"-Senpai...."

J'avais murmurer se mot d'une voix calme presque inaudible mon visage un peu rouge. J'attrapais son pull, mes yeux fixaient le sol. Je me raprochais un peu plus me laissant aller contre son torse. Je versais quelque larmes en silence pour en rajouter à mon rôle. Pour n'importe qui cela aurait paru très réaliste même pour une personne qui savait à quel point je pouvais bien jouer la comédie. J'attrapais sa veste de ma seconde main, vérifiant parfois qu'il n'y avait personne puis je fermais les yeux pour apprécier se moment.

Il voulait que je lui dise se qui c'était passé. Ah ben oui qu'elle bonne idée! Voyons, j'ai usé de mes charmes et de mes talents de comédien pour m'amuser un peu. Le problème c'est que j'ai sous-estimer la force des désires humain et que j'ai bien failli m'évanouir. Et que si je m'étais évanoui l'autre crétin m'aurait certainement violer. Waouh c'est fou comme sa me fait du bien d'immaginer tout sa! Sans compter que question réputation sa risquer de me faire mal et pas qu'un peu. De plus ma fierté personnel venait de prendre un sacré coup! Je resserais un peu plus mon étreinte et je murmurais:

"-Il ne sait rien passer. Donc je n'ai rien à raconter."

Et puis d'abord qu'est-ce qu'il entendait par "tu en as certainement besoin". Même lui il allait si mettre! Je vois, j'avais dû me tromber. Moi qui croyer qu'il était différent des autres. Je le lâchais, effaçant rapidement mes larmes. Mon regard se fit un peu plus sombre, il n'était plus question de comédie. Je repris ma véritable expression et vous pouvez me croire en pouvez voir la différence. Je me levais tant bien que mal, les poings serrer. Mon visage était inexpressive, mon regard était d'une profonde tristesse. Il était difficile de cerné ma véritable personnalité. Pour cela il aurait fallu que l'on remonte à mon enfance. Né hors mariage d'une aventure de mon père. Je n'avais jamais reçu le moindre amour, je n'avais reçu que la pitié de l'épouse légitime. Mon père ne m'accordant aucun regard je me retournais vers mes professeurs. Mais ceux-ci me blessèrent et depuis se jour je ne donne pas ma confiance et encore moins mon affection à n'importe qui.

"-En fait vous êtes comme les autres....vous vous fichez complètement de se que je peux ressentir...."

Des larmes coulèrent le long de mon visage, ma tristesse me submergeait peu à peu. Je me detestais de m'être tromper, J'était pourtant sûr que le surveillant était quelqu'un de bien. Je poussais un long soupire et pour expulser ma colère je donnais un grand coup contre le mur. Mon poing se mit à saigner, je serrais les dents autant sous ma colère que sous la douleur. Dire que je pensais vraiment pouvoir l'apprécier, voir peut-être même l'aimer. J'étais déçu, je me sentais trahi et j'avais horriblement mal au poing.

Hiro se redressa prononçant mon prenom. Il tenta de retenir mon coup en m'attrapant le poignet mais c'était déjà trop tard. Il garda mon poignet entre ses mains. Je tresaillit à son contact mais cela ne me calma pas pour autant. Je me sentais mal, perdu dans des sentiments fort et opposer. Je n'arrivais pas à comprendre. Il ne l'avait peut-être pas dit mais cela se voyait. Un bref sourire apparut sur le visage d'Hiro, je ressenti comme un pincement aux coeur. Je n'arrivais pas à comprendre tout ses sentiments, toute ses envies qui me prenaient d'un coup. C'était tellement frustrant pour moi, je n'arrivais pas à le supporter. La phrase d'Hiro m'aurait presque fait rire tant il était improbable que celui-ci arrive à me transporter jusque là. Mais un mot retint mon attention, je le murmurais pour moi même:

"-Comprendre...."

J'avais du mal à saisir, mon coeur battait de plus en plus violemment. Comment j'en étais arriver là déjà? Ah oui l'autre abrutit! Même la mort de lavera pas la honte que son geste a causé! J'écoutais Hiro sans arriver à saisir ses mots. J'eu l'impression que l'on m'arracher le coeur. A cause de moi il se traitait d'idiot, je me deteste non je me hais. Il voulait juste m'aider et moi je...je...mince! C'est à se moment que je me rendis compte que le sang couler encore de ma bouche. Je l'effaçais rapidement de ma main libre. Mauvaise idée, dans le mouvement mon épaule me fit un mal fou. Hiro fit une sorte de sourire et un peu gêné j'esquissais à mon tour un sourire. J'effaçais avec lenteur mes larmes et je murmurais:


"-Désolé, je...je ne sais pas pourquoi....pourquoi j'ai fait sa."

Je m'approchais hésitant un peu et je laissais aller ma tête contre son torse. Mon poignet étant toujours dans sa main j'utilisais mon autre bras et j'entourais sa taille. Je le serrais de toute mes forces, enfin pas trop non plus je ne voulais pas lui briser les os. Pour une raison que j'ignorais je me sentais bien, horriblement bien un peu trop même. Je laisais remonter mon visage jusqu'au creux de son coup. J'humais son odeur avec extase et je deposais un doux baisser sur son cou à l'endroit même ou je l'avais marqué d'un suçon. J'esquissais un sourire et je restais là dans ses bras un long moment.

Je fus soulager de voir qu'Hiro ne m'en tenait pas rigueur, J'esquissais un sourire et me serra un peu plus. Je senti alors la main du surveillant se glisser dans mes cheveux, J'en frémis légérement, cela m'aida à me detendre un peu plus. Il lâcha alors mon poignet, je glissais alors ma main dérrière son dos reserrant ainsi mon emprise. Je senti alors ses mans m'attirait vers son visage, puis ses lèvre contre les mienne. Je luii rendi bien entendu son baiser beaucoup trop heureux pour réagir autrement. Je crois qu'il y avait de forte chance que je devienne accro. Je continuais de l'embasser jusqu'à en perdre haleine et devoir me retirer por reprendre ma respiration. Je posais mais yeux sur lui et j'éclatais de rire. Puis d'une voix beaucoup trop joyeuse pour quelqu'un qui venait de faire ce que je venais de faire. Il fallait dire que j'étais de nouveau en mode grand comédien:

"-On devrait peut-être aller ailleurs?"

J'avais dit sa en pensant à son travail, à première vu il avait l'air de beaucoup y tenir. Je lui fit un large sourire effaçant mes larmes puis j'observais ma main. Elle était toute ensanglanter et légérement gonfler, j'étais assez solide pour qu'elle ne se réduise pas en miette. Je reportais mon regard sur Hiro et je lui sourit de nouveau. Un coup de vent passa me faisant un peu trembler, je n'étais pas vraiment frileux mais sans chemise c'était difficile de resister au froid aussi endurant que je l'étais. Je croisais les bras pour me réchauffer puis j'attrapais une des manches d'Hiro et le trainer à ma suite. Je fis bien attention d'éviter chaque endroit ou il y avait trop d'élève et finalement j'arrivais dans une sorte de garage. Il était totalement desert voir même inutiliser depuis longtemps. J'ouvris une porte et j'entrais dans une petite pièce:

"-C'est un ancien placard réaménager par des anciens élèves de Tanaka, personne ne devrait nous embêter ici."

C'était une petite pièce beaucoup moins poussièreuse que l'extérieur, il n'y avait qu'une petite fenêtre inacessible et barrer par plusieurs planches. A l'intérieur il n'y avait qu'une table un fauteuil et une sorte de matelat en assez bon etat et un peu plus loin un cassier. Je m'approchais du cassier et je l'ouvrais pour récupérer un pull qui se trouvait à l'intérieur. Le pull était d'un blanc de neige et faisait resortir ma peau légérement hâlé. Puis une fois cela fait je réussis à trouver de quoi bander ma main et je m'écroulais sur le matelat. J'étais totalement KO après tout ses événement, je me retournais vers Hiro un large sourire au lèvre. Et je lui dis d'une voix amuser:

"-Tu sais tu peux t'asseoir!"

Hiro se laissa tomber à son tour sur le matelas et me posa une question qui me plia de rire. Je n’arrivais pas vraiment à savoir si il était sérieux ou non et cela ne fit que me faire rire d’avantage. Je me laissais aller, mon rire envahissant rapidement la pièce puis reprenant peu à eu mon sang froid je l’observais un large sourire au lèvre. C’est vrai qu’il n’y avait aucune raison particulière de rire mais à l’instant ou il m’avait dit sa j’avais justement quelque idées malsaines. Je n’arrivais plus à le regarder droit dans les yeux son me tordre de rire, c’était beaucoup trop pour moi et je fini par lâcher:

"-Tu devrais aller dire sa au CPE! "

Après tout c’était mon cher oncle qui lorsqu’il était encore à Tanaka avait mis en place se lieu pour justement des choses pas très saines. Je me remis à rire un peu plus car là encore c’était lui qui m’avait dit ou se trouver cet endroit et qui l’avait un peu arranger pour moi. Je me redresser un peu pour me retrouver assis à côté de lui un large sourire au lèvre. C’était l’une de ses rares fois ou je me sentais vraiment bien, une de ses rares fois ou je ne jouais pas la comédie. Je pris une grande bouffée d’air et je retournais ma tête vers le surveillant pour lui demander:

"-Je ne vous dérange pas au moins?"

Après tout il devait certainement avoir des choses à faire, comme travailler par exemple. D’ailleurs n’était-il pas en train de travailler lorsqu’il était intervenu, j’aurais peut-être du y réfléchir avant mais bon c’était trop tard à présent. Je m’approchais un peu plus pour me coller à lui et je lésais ma tête se blottir contre son épaule. C’est fou comme on peu se sentir bien pour si peu parfois, je fermais les yeux me blottissant un peu plus et je l’entourais de mes bras. Je n’avais pas la moindre intention malsaine ou du moins pas pour le moment, je voulais juste être là contre lui. Mon cœur battait un peu plus fort lorsque je me trouvais à côté d’Hiro, chose que j’avais du mal à supporter.

Je me blotit donc contre Hiro, l'enlaçant doucement. Je frémis légèrement en sentant sa main ébouriffait mes cheveux. Je grognais d'indignation, je n'étais plus un enfant il n'avait pas à me traiter comme, qu'est-ce que sa m'énerver! Il me demanda alors si mon épaule allait un peu mieux, j'esquissais un simple sourire. Je sentais encore un peu la douleur mais j'avais l'habitude maintenant. Et puis les médicaments avaient fait leurs effets. Je reserrais mon etreinte voulant être un peu plus près, pouvoir le sentir le toucher. Puis finalement un doux sourire au lèvre je finis par lui répondre d'une toute petite voix:

"-Oui...papa!

Je plaisantais bien sûr, c'était une manière comme une autre de vérifier mes dire. Je laisais une de mes main se baladait sur son corps pendant que mes lèvre l'embrassait tendrement sur la joue. Je l'observais un moment, il était vraiment amusant et c'est tout ce dont j'avais besoin pour le moment. Je me laissais aller contre son épaule et une chose me revint soudain. J'avais demandé enfin ordonner à Sushi de me preparer un bento. Le pauvre devait me chercher de partout, c'était bien fait pour lui. D'un autre côté je commençais à avoir faim et manger était important pour garder la santé. J'étais un obsesionnel de la santé, sport et bonne nutrition étaient des choses sacré pour moi. Je soulevais mon regard vers Hiro et je m'amusais à doucement souffler dans son oreille pour voir comment il allait réagir.

"-Dit moi Senpai, on t'as déjà dit que tu étais vraiment mignon?"

À ma réponse Hiro ricanna un court instant et eu l'air soulager. Mon épaule aurait dû guerrir après six mois d'hospitalisation. Enfin, c'était ce que ces stupide médecins m'avaient dit. À present cela faisait plus de deux ans que je souffrais et seul un antidouleur interdit à la vente arrivait à m'aider à tenir le coup. J'observais le surveillant, celui-ci était vraiment adorable et encore plus lorsqu'il souriait. J'esquissais un sourire à la réponse qu'il me donna. Alors comme sa en lui avait déjà dit à quel point il était mignon. J'enfoui mon visage au creux de son cou pour qu'il ne voit pas ma moue. Certes je me doutais bien qu'on avait déjà du lui dire mais bon quand même! Il me posa alors la même question ce qui m'arracha un sourire.

"-Et bien on va dire que l'on me le dit souvent..."

En fait dans mon cas il y avait de nombreux facteurs à prendre en compte. Est-ce que j'étais moi même ou bien est-ce que je jouais la comédie? Je m'ennuyer ou bien c'était juste pour évaluer mon niveau de séduction. Était-ce une femme ou un homme qui me l'avait dit? Ou bien étais-ce lors d'une première rencontre ou après un certain temps de connaissance? Tant de chose qu'il fallait prendre en compte pour répondre à cette question. Bien sûr que dans tout les cas sauf lorsque j'étais moi même, on me l'avait dit au moins une fois, une fois par personne. Et puis surtout contrairement à Hiro j'étais narcissique et au plus haut point.

"-Je ne sais pas pour toi mais moi je meurs de faim!"

Je venais de sortir totalement de la discussion, une véritable redirection mais bon comme en dit la faim justifie les moyens. Après je me demandais tout de même ce que je voulais manger. J'hésitais entre mon sempai et de la nourriture. Le choix était horriblement difficile mais bon j'avais du temps devant moi. Puis après réflexion la nourriture de la cafétéria n'était pas très réputé. Je poussais un petit soupire resserant un peu plus mon étreinte. Il était presque midi et Hiro aussi devait certainement avoir faim.

"-Dit Sempai qu'est-ce que tu veux manger?"

Je ne dis rien lorsqu'Hiro me répondit qu'il n'avait pas faim. Après tout si il ne voulait pas saisir l'une des rares occasions que je lui offrais gracieusement d'éviter le contact physique c'était son problème. Le surveillant se laissa tomber sur le dos, position très intéressante. Mon coeur battait de plus en plus vite et je maudissais se stupide surveillant. Quoi!? Il ne comprenait donc pas l'effet qu'il provoquait en moi? Que fallait-il que je fasse pour qu'il comprenne? Que fallait-il que je fasse pour qu'il fasse plus attebtion à ses gestes et à ses mots? Je lui répondis avec mon habituel sourire, faux sourire bien entendu et cela d'une voix calme qui contrastait avec mon désir brûlant:

"-Soit...comme tu veux."

Il poussa un soupir et posa son regard sur moi, c'est fou comme son regard semblait attirant en se moment même. Je me retins de rire tant sa phrase était hilarente. Justifier une absense? Moi!? Moi qui avais sécher toute la semaine, moi qui comptais sécher toute cette semaine et peut-être les autres aussi! Trop drôle mon petit Sempai. Je me contentais d'esquisser un sourire et de secouer la tête dans une affirmation bien que je ne comptais pas le faire. Le surveillant esquissa un sourire amusé, trop sexy! Je n'avais jamais remarquer mais son sourire était vraiment trop. Je n'arriverais bientôt plus à me retenir si il continu comme sa. Et cette fois je ne suis pas sûr d'être aussi tendre. Hiro se mit à rire, un rire léger et si adorable de mon point de vu. Point de vu largement aveugler par l'excitation que je retenais depuis un moment déjà. Le rire cessa faisant retomber la pression que j'avais sur les épaules puis l'esquisse d'un sourire apparut sur un visage et...Hiro prononça les mots qu'il aurait du éviter. J'eu juste le temps de m'excuser avant de laisser mes pulsions prendre le pas.

"-Pardon..."

Je replaquais le surveillant au sol le retenant à terre grâce à la pression qu'exercer mon corps. Je déposais ensuite un baiser fougueux sur les lèvre de mon tendre Sempai, forçant le passage avec ma langue. J'étais horriblement exciter et je le voulais maintenant. Je rapprochais ses deux bras l'un de l'autre et je le maintenais d'une main ferme et pas celle de mon épaule blesser je précise. Ma seconde main glissa doucement sur Hiro le caressant lentement mais je n'avais plus la force d'attendre. Je descendis ma main jusqu'à sa braquette que je descendis. Puis je glissais ma main sous son sous vêtement et j'attrapais son membre d'une main ferme. Et tout en continuant de faire danser ma langue dans sa bouche j'exerçais quelque pression violente sur son membre. J'avais envie de le voir souffrir comme moi, je voulais qu'il se retrouve au bord du plaisir sans pouvoir se satisfaire. Il allait me le payer cher, je lui avais pourtant dit qu'il était mignon! Il voulait quoi? Que je sois plus explicite et bien voilà!

"-Tu aime j'espère....tu l'as bien chercher après tout!"

Je souriais sentant bien qu'Hiro n'était pas insensible à mon geste. Et oublions pourquoi j'avais commencé cela je me laissais aller à mes instincts primaire. Tout en continuant d'exercer de forte pression sur le sexe de mon cher sempai je laissais ma main se promener un peu partout. Le silence qui avait pris place après ma phrase m'énervait sérieusement. C'est pour cela que je faisais tout pour l'entendre gémir, ma main se glisa sous les vêtements du surveillant. Elle caressa le torse d'Hiro puis elle vint pincer ses tétons. Mes lèvres retournèrent contre celle de mon sempai. Et dans un baiser fougueux j'entremêlais ma langue à la sienne. Cela dura un moment avant que je ne m'arrête totalement. Le membre de mon sempai était déjà bien gonfler d'excitation et je voyais bien qu'il n'allait pas tarder à venir. J'esquissais un sourire que beaucoup aurait trouvé peu réconfortant et je lâchais:

"-Vous n'êtes pas drôle Sempai!"

Bah oui, moi je voulais faire durer le plaisir un peu plus longtemps. Je retirais mon pull, je n'en avais plus vraiment d'utiliter puisque Hiro me réchauffait déjà. Je retournais à mon jouet préféré, car je n'avais pas encore saisi mes sentiments. Certes je savais que je tenais à lui mais être mon jouet était déjà bien assez, non? Je l'embrassais, un baiser court puis un autre et encore un autre. Je fis dedcendre mes lèvres doucement, passant par son cou puis son torse, son ventre et son bas ventre. Je m'arrêtais là observant son sexe d'un regard désireux. Et sans prevenir je le pris entièrement dans ma bouche. C'était vraiment intéressant comme sensation, je découvrais quelque chose de nouveau et à voir le visage d'Hiro sa devait être quelque chose. Je retirais le membre de ma bouche, ne gardant que le gland entre mes lèvre. Puis je le lèchais, mes deux mains caressant ses bourses. Je le repris d'un coup et commençais une série de va et viens. D'abord lentement puis de plus en plus vite. Je me disais en observant le surveillant que moi aussi je voulais goûter à une fellation un de ses quatre. Je continuais ainsi accélérant par moment, je n'attendais plus qu'une chose et c'était qu'il se satisfasse.

J'étais vraiment concentrer, je trouvais chacune des réactions d'Hiro vraiment amusante. Je continuais ainsi sentant la main du surveillant dans mes cheveux. Pour une raison qui mettait inconnu chaque gémissement de mon sempai me faisait plaisir. Et pour chacun de ses gémissement j'augmentais la cadence des va et viens. Je voulais lui faire plaisir, je voulais l'entendre hurler et rien que cette idée me faisait frémir. Je sentais son membre grossir de plus en plus dans ma bouche. Un goût étrange commençait doucement à apparaitre. Puis Hiro me demanda d'arrêter, je continuais mes va et viens tout en observant son visage. Son visage, tout son corps semblait vouloir le contraire de ses paroles. J'accélérais le mouvement puis lorsque je le sentis venir je retirais son membre de ma bouche. Je m'assis et je l'observais se deverser sur le matelat et aussi sur son pantalon. J'esquissais un sourire, il allait avoir du mal à sortir à l'extérieur tant que son pantalon serrait dans cet état.

"-Sempai! Tu devrais vraiment apprendre à te laisser aller de temps en temps!"

Avant même que le surveillant n'ai l'idée de se relever je me plaçais à cheval au dessus de lui. Je l'observais un moment le dévorant presque tu regard puis contre toute attente je deposais juste ma tête contre son torse l'enlaçant de toute mes forces. Comment vouliez vous que je resente la douleur de mon épaule alors qu'un simple regard me donnait dix fois plus de joie et de plaisir? Je me sentais bien là contre cette personne qui m'était totalement inconnu et au fond c'était ça qui me plaisait le plus en lui. Je ne savais rien de lui et lui ne savait rien de moi et c'était parfait ainsi. J'aimais prendre du plaisir et je me souciais que peu de ce que pouvait penser le reste du monde.

"-Je ne me sens bien que lorsque tu es avec moi. C'est bête non?"

Je resserais mon étreinte blotissant mon visage contre son torse. Je voulais rester là éternellement, je ne voulais pas le lâcher. C'était si rare de me sentir bien, libre et si calme.

Je me sentais si bien que j'aurais peu m'endormir si Hiro n'avait pas passer sa main dans mes cheveux. Ce simple geste me soulagea enormement. Peut-être à cause de l'étrange attitude de mon sempai. Il avait l'air si honteux, Sashimi se blottit un peu plus. Il voulait sentir son odeur, ressentir sa chaleur et plus encore il le voulait lui. Je relevais la tête surpris par cette phrase qui n'était pas la bienvenue dans se cadre. Je poussais un long soupir, il n'y avait qu'une chose à faire dans ce cas là. Un étrange sourir éclaira mon visage et je fixais mon regard amusé dans celui du surveillant. Sans lui laisser le temps de réagir, le surveillant commençait sûrement à avoir l'habitude. J'entourais mes bras autour de son cou et l'embrassais fougeusement. Il n'y avait que ça pour qu'il se taise une fois pour toute. Cela dura un long moment, je faisais de mon mieux pour rendre le baiser le plus délicieux possible puis nos lèvres se séparérent.

"-Si tu continue à dire des choses aussi insignifiante je me charge personnellement de couper court à tes paroles!"

Je m'étais placer de tel sorte à ne pas mettre tout mon poid sur Hiro. Mes mots étaient claire, à chaque fois qu'il parlerait de chose qui n'avait rien à voir avec l'instant present je me ferais un plaisir de le faire taire d'un baiser. Je l'observais toujours, mes doigts s'amusant avec ses cheveux. Je le trouvais terriblement mignon et contrairement à lui qui c'était vidé peu de temps auparavant moi je me sentais de plus en plus à l'étroit. Mon regard même si je ne m'en rendais pas compte était emplit d'un désire sans nom. Je le voulais, je ne m'en rendais pas compte et heureusement car aussinon j'en aurais eu fini depuis longtemps. C'est alors qu'une question me trotta dans la tête. Je voulais connaitre la réponse, je voulais savoir. Je voulais connaitre les sentiments de mon sempai, voir sa réaction. Une idée me passa par la tête et je m'appliquais à la réaliser. Je posais mon regard dans le sien, un regard plein d'amour et de tendresse et je lâchais:

"-Je crois que...je crois que je vous aime..."

J'étais en mode "grand comédien", enfin c'est ce que je croyais. J'étais tellement persuader que c'était faux que je ne me rendais même pas compte que je pensais chaque mot. Pourtant cela se sentait, s'entendait et était presque impossible à rater. Je me mis à rougir, là encore persuader de ma comédie. J'enfonçais ma tête dans le cou du surveillant. Puis j'attendais, j'attendais une quelconque réaction.

Je me sentais embarasser, vraiment très ambarasser. Pour une raison que j'avais du mal à concevoir mon coeur battait horriblement vite. Ma tête dans le cou d'Hiro, sa main sur mon dos. Au grand jamais je n'aurais sérieusement prononcer ces paroles. Aimer? Moi?! C'est une blague! Je m'efforçais à retrouver mes esprit, je me sentais étrange et cela n'avait rien avoir avec l'excitation qui me tenailler depuis un moment. C'est alors que je senti la seconde main d'Hiro se posait sur mon visage. Elle descendit jusqu'à mon menton et souleva mon visage. J'étais rouge et mon regard se faisait fuyant, dans ma poitrine les battements de mon coeur s'accèlérèrent. Je ne me sentais pas très bien et ça n'aller vraiment pas! Je jouais la coménie, non?! Alors pourquoi..pourquoi mon corps, mon coeur réagissaient ainsi? Pourquoi mon esprit me semblait en plein désordre? Je n'arrivais pas à comprendre et mon visage devait bien le montrer. Le surveillant sourit, je detestais vraiment ce sourire. Ce sourire qui me faisait fondre, au fond peut-être que... Non!!! Impossible! Inimaginable! Puis Hiro prononça un mot, mon regard se fit interrogateur. Comment ça vous? Vous quoi? C'est pas ma faute si [je vouvoie sans m'en rendre compte par habitude xD] lorsque je dis des choses aussi ridicule j'utilise le vouvoiement. Puis le surveillant ajouta une dernière chose, qui me fis froncer les sourcils. Peut-importe le nombre de preuve il me faudrait un temps considérable pour que j'accepte ce genre de sentiment. Bien entendu j'avais parfaitement saisi la réponse d'Hiro et je la lui rendais bien. Puis une fois le baiser achever je me laissais tomber sur le côté à côté d'Hiro et je lui demandais:

"-Qu'est-ce que tu entend par la?"

Je ne savais pas vraiment quoi dire, c'était ça ou je lui sautais dessus dans l'instant. Mon corps tout entier bouillonnait d'une étrange chaleur. J'avais besoin de contact, d'une presende près de moi contre moi. L'une de mes main alla s'amuser avec les cheveux d'Hiro. Je ne savais vraiment pas quoi faire d'autre, c'était vraiment ridicule. J'avais l'étrange impression d'être un enfant et au fond ce n'était pas loin de la vérité. Je baisais mes yeux et observais le drap d'un regard vide, mon visage était soudainement devenu sombre. Si jamais les hommes de la famille Shimizu m'avaient vu dans un tel état je n'ose même pas imaginer la honte que cela aurait été. Cette simple idée arrivait à rendre cet instant qui me semblait sympathique comme un moment horrible à passer. Je poussais un petit soupir et j'esquissais un sourire triste avant de blottir mon visage contre le bras d'Hiro.

"-Je ne me sens pas très bien..."