Pique nique près du depanneur! [PV:Sheishiro]

C'était un parfait dimanche ensoleillé et tous me semblait magnifique dans se parc. L'herbe était verte il y avait une multitude de fleurs dont plusieurs rosiers d'une splendeur incomparéble. Au sommet des arbres en pouvait entendre les oisseau chanter. J'étais vraiment de très bonne humeur et rien n'aujourd'hui ne pouvait me gâcher cette journée.

J'avais apporté avec moi un panier à pique nique pour me faire un petit repas dans l'herbe. Il y avait une grande serviette, des assiettes en plastique et des gobelets. J'avais cuisiné plusieurs plats italien que j'avais mit dans des boîtes en plastique. Soudain je me rendis compte que j'avais oublié les boissons. Je cherchais un distributeur mais je n'en trouvais pas. Puis d'un coup j'aperçu un peu plus loin un depanneur. Peut-être y trouverais-je quelque chose d'intéressant.

J'arrivais très vite à l'entrer je commençais vraiment à avoir faim. À l'intérieur il n'y avait pas grand monde. Je saluais rapidement le caissier et me dirigeais vers le rayon des boissons. J'attrapais deux bouteilles, de l'eau minérale et un cola quelconque. J'avais du mal à tout porter en même temps. Mon panier dans une main et les deux bouteilles dans l'autres. J'étais à la caisse lorsque j'aperçu des, des carambar. J'adorais ses bonbons caraméliser que je rajoutais aussitôt dans mes courses.

J'attrapais mon panier à deux mains. Je deposais les deux bouteilles au dessus et mon paquet de carambar dans ma poche. Puis avec un peu de mal au de but je me dirigeais vers la porte. Porte que je ne voyais pas. Celle-ci s'ouvrit d'un coup me faisant tombé à terre avec toute mes affaires.

"-Vous auriez pu faire attention!"

Comment sa ne pas me mettre sur le chemin? C'est plutôt lui qui sais mit sur mon chemin. J'allais lui envoyé une réplique sanglante lorsque je posais les yeux sur lui. Surprise totale et bloquage au niveau de la parole. Le type en question avait la peau très pâle, des cheveux presque blanc et des yeux d'un rouge très déconcertant. Je l'observais bouche bée puis mon côté enfantin fit son apparition.

"-Vous...vous êtes un, un vampire?"

C'était la seule chose à laquelle j'avais pensée, peut-être pas la plus intelligente mais qui s'en soucis? Je vérifiais que rien ne c'était ouvert dans mon panier. Aucun dégâts à première vue. Puis je récupérais mes deux bouteilles avec un peu de mal d'ailleurs puisque l'une d'elle avait roulé sous la caisse. Heuresement que le caissier qui souriait à cause de se que j'avais dit m'a donné un coup de mains. Toute mes affaires récupérer je me retournais vers le vampire.

"-Dîtes les vampires sa ne supporte pas le soleil non? Et ils viennent surtout de roumanie?"

Je posais ses questions car j'étais curieux de savoir si tout était vrai ou si ce n'était que des mensonges. Et puis à voir son ombrelle on pouvait pensé qu'elle lui servait à rester loin du soleil. Et puis son kimono n'était pas très roumain, d'ailleurs les roumains on portaient-il seulement? J'attendais qu'il réponde et j'en profitais pour sortir un carambar de ma poche.

"-Ah quel impoli je fais! Vous en voulez un? D'un autre côté les vampires se nourissent de sang humain."

Alors comme sa les vampires s'adaptaient. Ben oui c'est vrai qu'ils sont censé être super dévelloper. Décidemment je pouvais vraiment être stupide parfois. Ah mais il craigne quand même la lumière du jour, très intéressant. Et en plus ils ne boivent pas de sang. Quel dommage moi qui trouvait cela amusant. Je continuais à mâcher mon carrambar pendant que le vampire et le caissier se défier du regard. Enfin c'était l'impression qu'il me donnait. Le vampire me fit signe d'attendre pendant qu'il récupérait deux trois trucs. Puis il revint et passa à la caisse.

"-Oui je suis à Tanaka comment tu as deviné?"

Un pouvoir de vampire peut-être? Après tout les vampires avaient des pouvoirs surhumain non? J'observais les courses de se type, je me demandais à quoi sa pouvait bien lui servir. Peut-être se nourrisait-il de se genre de produit, ou peut-être pas? Je réfléchissais tellement que j'en avais mal à la tête.

"-Dîtes...je sais que sa ne me regarde pas mais à quoi sa va vous servir ses trucs?"

Je me posais vraiment la question et tant que ma curiosité ne serrait pas assouvie j'aurais toujours ses horrible maux de tête. Puis je m'aperçu alors que j'avais toujours mon panier entre les mains. Et en plus je commençais vraiment à avoir faim. Mais d'un autre côté c'était pas tous les jours que je rencontrais un vampire.

"-J'allais me faire un pique nique vous voulez vous joindre à moi?"

"-Des expériences? Scientifique? Sa a l'air....ennuyeux....des expériences...j'aime bien, c'est sur quoi exactement?"

La science c'était vraiment pas mon trucs mais j'aimais bien les expériences. Genres la dissection je trouvais sa vraiment marrant. Mais la science sa c'était autre chose. C'étais peut-être parceque j'y comprenais rien. Oui sa devait être pour sa. Puis il accepta ma proposition de venir se joindre à moi.

"-Si je te le propose c'est que sa ne me dérange pas. J'espère juste que tu aime la cuisine italienne."

Après tout j'étais un spécialiste de cuisine italienne. Que dis-je j'étais spécialisé dans presque tous les styles de cuisine. Quoi que j'avais un faible pour la cuisine italienne et aussi japonaise. Je sorti du depanneur suivi du jeune homme. Après une dizaine de minutes nous arrivâmes au parc. Je choisi un endroit à l'ombre. C'était exactement sous un arbre.

Après avoir m'y là serviette sur l'herbe j'y déposais mon panier et mes deux bouteilles. Je sorti deux assiettes et deux gobelets. Puis je commençais à sortir une dizaine de bôites contenant toute un plat particulier. Avec l'aide d'une fourchette je servie le premier plat. Des spaghetti sauce bolognaise fait maison. Et lorsque je dis quel j'étais bonne elle l'était.

"-Buon appetito!"

Et sans attendre je commençais à déguster mon plat. La pâte avait été parfaitement cuite, la sauce était préparé avec une perfection presque inhumaine et le tous aller bien ensembre. J'attendais des remarques de la part de mon invité de dernière minute lorsque j'eu honte de moi.

"-Euh...je suis désolé, je...je ne me suis même pas presenter. Je m'appel Sushi, Sushi Shuei."

Lorsque je me présentais je remarqué que mon camarade esquissait un sourire. Il avait l’air de faire un effort surhumain pour se retenir de rire. Cela m’amusa il était rare que les gens me montre à quel point mon prénom pouvait-être ridicule. Mais étais-ce ma faute si mes parents m’avaient nommé ainsi ?

« -Tu sais si tu veux rire vas-y je comprends parfaitement que cela puis-ce être ridicule. Quoi que sa ne me dérange pas plus que sa de porter se prénom. »

Le jeune homme se présenta à son tour, il se nommait Sheishiro Dieisoke. Je ne connaissais pas beaucoup de Sheishiro en fait c’était la première fois que je rencontrais quelqu’un avec se prénom pourtant assez courant dans la région. Je continuais de manger et arrivais assez vite à la fin de mon assiette alors que Sheishiro lui avait avalé la moitié. Je me permis de me servir une seconde assiette mais cette fois de bruschietta. Puis je commençais depuis un moment à me poser la question alors je me décidais à la lui poser.

« -Dit moi, comment fais tu pour manger avec une main, tu devrais peut-être lâcher ton ombrelle je ne pense pas que le soleil n’apparaisse en quelque minutes."

Puis je me souvins qu’il m’avait parlé de Tanaka, alors je me risquais à lui poser la question. Quoi qu’avant j’avalais ce que j’avais dans la bouche.

« -Dit moi tout à l’heure tu m’as demandé si j’étais à Tanaka tu ne serrais pas aussi dans cette école par hasard ? »

Au moment même où je posais cette question un ballon arriva à toute vitesse sur moi….et sur ma bruschietta tant aimée. D’un geste assez rapide du moins venant de moi j’attrapais mon couteau et malgré le fait que celui-ci soit on plastique je réussi à percer le ballon. Je retirais alors mon couteau puis renvoyé le ballon au gamin en accompagnant mon geste d’un large sourire.

« -Le plat est-il à ton goût ? »

Puisque il n’avait pas dit grand-chose depuis le début j’allais continuer à parler après tout j’étais censé être bavard. Et puis je voulais vraiment avoir son avis, tout avis bon ou mauvais était utile à l’amélioration de ma cuisine. Et j’aspirais à m’améliorer chaque jour. Je rêvais de pouvoir déguster un jour une cuisine proche du divin. Un de mes nombreux rêves peut-être irréalisables.

Il était vraiment trop fort mangé avec une main, quoi que je puisse le faire mais seulement si c’est de la cuisine japonaise. Simple question de principe, la cuisine japonaise avec des baguettes mais italienne avec des couverts. Je me compliquais peut-être un peu trop la tête mais alors chacun sa façon de voir les choses. Et puis si il aimait manger avec des baguettes pourquoi pas et puis sa renforcer son style. Le kimono, l'ombrelle, les baguettes, je commençais à me demander quel serrait la suite.

« -Je vois… »

Il déposa finalement son ombrelle à côté de lui et répondit à ma seconde réponse. Et comme je commençais à m’en douté il était bien à Tanaka. Décidemment ses derniers temps les élèves de Tanaka me bousculaient souvent. Hier c’était se Zack et aujourd’hui Sheishiro, qu’est-ce que demain pourrait me réserver. J’avais hâte d’y être. Je me concentrais de nouveau sur mon plat qui arrivait bientôt à sa fin. Mais ma faim était loin d’être rassasiée.

« -Si sa se trouve nous serrons peut-être camarade de classe, qui sais ? »

Je venais d’avalé ma dernière bouchée lorsqu’il me donna son avis. C’était loin de se à quoi j’espérais mais il valait toujours mieux qu’un plat soit juste bon plutôt que mauvais. Et puis je finirais bien par atteindre un niveau supérieur. Pour le moment j’avais le niveau d’un chef cuisinier. Et si je devais m’évalué je me donnerais trois étoiles, ce qui était loin d’être assez de mon point de vu. Je préférais de pas répondre et continuer le repas en silence cette fois ci.

Un petit groupe d’étudiant je dirais peut être un ou deux ans de plus que moi passa tout près. Au lieu de continuer leur chemin bien tranquillement l’un d’eux se permis un petit commentaire vis-à-vis de Sheishiro. Si il c’était arrêter là j’aurais pu laisser passer mais si il y a bien une chose que je ne supportais pas mis à part l’irrespect qu’avait cet individu. C’était bien que l’on vienne me déranger lorsque je mangeais et ce jeune homme lui me déranger au plus au point.

Il ne se contenta pas de sa remarque plus qu’inutile car nous avions tous remarqué le teint pâle de mon camarade. Qui, oui je suis encore un peu sur l’histoire de vampire, était d’une pâleur presque irréelle. L’abruti qui commençait à m’énerver se pencha vers Sheishiro et lui attrapa une poignée de cheveux. Ses camarades tout aussi stupides éclatèrent de rire. Je commençais véritablement à perdre patience. Ce n’est que lorsque Sheishiro lui lança un regard glacial et qu’il lui répondit d’un ton ironique que je ne pu me retenir.

Lorsque je me retrouvais dans une situation pas possible, une situation ou je ne pouvais plus gérer ma colère j’entrais dans un tous nouvel état d’esprit. Je devenais alors une tout autre personne et j’imitais mon frère ou du moins sa personnalité. Je devenais d’un coup quelqu’un de très violent, certe il y avait des effets secondaire mais pour cette fois sa irais. Je me levais, mon visage était vide de toute émotions. J’attrapais le poignet du type que je serrais si fort qu’il relâcha les cheveux de Sheishiro puis d’une voix extrêmement froide je lui dis :

« -Je ne supporte vraiment pas les personnes comme toi. »

Je lui cassais le poignet puis pendant qu’il hurlait sa souffrance je ricanais. Je me retournais vers ses amis qui tremblaient et les observais. Ils reculèrent d’un pas en croisant mon regard. C’était fou comme j’aimais se sentiment de soudaine puissance. Je me reconcentrais sur le pauvre abrutit qui me regardait effaré. Et sans me retourner vers eux je leurs dit d’une voix très calme.

« -Allez-vous en, que je puis-ce manger en paix. »

Ils s’enfuirent alors en courant comme si c’était là seule chose qu’ils souhaitaient depuis le début. Je détestais vraiment les gens comme eux, les gens qui n’aidaient pas leurs amis. Après un long soupire je fixais cet abruti et deux choix s’opposèrent à mon esprit. Lui demander de faire des excuses ou bien le mettre ko. Mais bien vite un troisième choix s’opposa à moi et celui là était mon préféré. D'une voix toujours très calme et un peu froide.

« -Présente des excuses à mon ami. »

Il hésita une seconde puis inclina la tête vers Sheishiro et dit juste avant de se mettre à pleurer:

« -Je suis sincèrement désolé, pardonnez moi ! »

Voilà, ceci étant fait je l’attrapais par les cheveux, il essaya de se débattre mais mon poing en pleine face le calma aussitôt. Je le traîner un peu plus loin et commençais mon petit jeu de poings. De la ou il se trouvait Sheishiro ne pouvait nous voir mais il entendait sûrement les hurlements de l’autre crétin. Je revins quelque minutes plus tard, j’étais redevenu moi-même et la fatigue que je venais d’accumuler m’avait rendu presque aussi pâle que Sheishiro. Mes poings étaient tâcher de sang et une petite goutte était encore sur ma joux. Je fis comme si de rien était et je lui dis.

« -On parlait de quoi déjà ? »

Je venais de lui poser une question, ma tête commençait à me faire horriblement souffrir et que j’avais du mal à ouvrir mes poings. Ma vue était légèrement embrumée l’un des nombreux symptôme de ma maladie sans queue ni tête. J’avais l’impression que tout autour de moi tanguer et que ma tête allait explosé. Je trouvais d’ailleurs cette idée très amusante. Sheishiro se leva alors et j’avoue que je ne mis attendais pas il posa son doigt sur ma joue pour récupérer une goutte de sang qui avait du giclait lorsque je m’amusais. C’était fou la joie que j’éprouvais lorsque je voyais les autres souffrir et maintenant je pouvais le faire autant de fois que je le voulais car à Tanaka High tous les élèves sont des délinquants. J’adorais vraiment cette école qui malgré elle m’apportait une joie immense et me permettait d’assouvir mes rêves si lointain. Une fois la goutte sur son doigt Sheishiro le mit dans sa bouche, jusque là je m’étais dit que peut-être j’étais aller trop loin et qu’il ne pouvait être un vampire mais pour moi c’était certain s’en était un. Et puis même si ce n’était pas le cas je trouvais que c’était amusant donc je continuerais à le voir comme un vampire.

Cette pensée me fit sourire, mon monde n’avait jamais était aussi amusant que depuis que j’étais à Tanaka. Sheishiro attrapa alors mon poing qui avait souffert des coups que j’avais donner à cet imbécile. Cela ne fit que me faire sourire un peu plus lorsque je repensais à l’état dans lequel je l’avais laisser. Les passants risquaient un traumatisme à la vu d’un tel acte de barbarie. Il les souleva à la hauteur de son visage et y déposa ses lèvre, cela ne me dérangea pas plus que sa. Pour moi ce genre de geste était tous à fait naturel puisque mon frère faisait toujours la même chose lorsque j’étais blesser. D’ailleurs c’était seulement dans ces moment là que j’arrivais à le supporter. Je vous cache pas que je détestais mon frère plus que tout au monde, il était pour moi comme la peste. Après un certain temps Sheishiro releva les yeux sur moi et m’expliqua que nous ne parlions pas mais que nous mangions. Une chose qui m’étonna d’ailleurs puisque j’étais un bavard né et que parler était pour moi comme respirer.

« -Tu es sûr que je n’étais pas encore en train de parler? Oubli ma question et retournons à nos assiette, si je n’avale pas quelque chose bientôt je vais m’évanouir. »

Je me détachais mon poing des doigts fin de Sheishiro et je retournais m’asseoir très lentement pour ne pas m’écroulais. Tous mon corps avait commencé à trembler et j’avais du mal à tenir ma fourchette. Je soupirais mon plat de bruschietta était tombé à terre à cause du ballon j’avais presque oublier. Je récupérais une troisième boîte dans laquelle se trouvait une salade composer de divers légumes et fromages italien. Je commençais à manger puis après avoir récupérer un minimum d ‘énergie je posais ma question. Cette question qui commençais à avoir besoin quand y réponde.

« -Dit moi Sheishiro les gens viennent souvent t’agacer ainsi? »

Je ne supportais vraiment pas les personnes qui débarquaient de je ne sais ou et qui commençais à rire pour des bêtises pas possible. Cela m’irritais vraiment et rien que la simple pensée que quelque un fasse cela devant moi m’étais insupportable. Je serrais mes poings pour réfréner ma colère, ce qui fit que ma fourchette vola en éclat. C’est fou comme le plastique était fragile, je récupérais une autre fourchette et j’attendis une réponse. Et pour une raison qui m’est inconnu je savais que sa réponse n’allait pas me plaire.

Sheishiro s’assit aussitôt après moi et récupéra son assiette qu’il était loin d ‘avoir fini. Il commença à répondre puis d’un coup il commença à se dévêtir. Il me montra son dos ou l’on pouvait distinguer plusieurs hématomes de toute les couleurs. Je serrais mes poings si fort que mes ongles traversèrent ma chaire et que mes mains étaient presque écarlate tant elles étaient recouverte de sang. Je ne prêtais guère d’attention à ce qui pour moi était un simple détail. Je m’approchais légèrement pour voir ses hématomes de plus près. C’était vraiment impensable qui pouvait être aussi horrible pour s’en prendre à un petit être aussi frêle. Je fixais Sheishiro droit dans les yeux et je lui demandais d’une voix assez tremblante autant sur le choc de voir de tel marque que par la colère que cela m’inspirait.

« -Comment est-ce que tu peux supporter que l’on te traite ainsi, c’est totalement inhumain… »

Je fermais les yeux puis je pris une longue et profonde respiration. Puis lorsque j’ouvris les yeux je me mis à manger très vite mon plat. Une fois un minimum d ‘énergie retrouver je me mis à réfléchir. Que pourrais-je bien faire pour l’aider, je ne pouvais pas me contenter de dire « oh comme c’est affreux ». Ce n’était pas ma pitié qui aller l’aider, je continuais à réfléchir en silence lorsque deux choses mince idées mais c’était toujours sa me vinrent l’esprit.

« -Sheihiro tu as un téléphone? »

Après tout même si il ne pouvait pas se défendre moi je pouvais très bien le faire à sa place. J’attrapais une de mes cartes de visite enfin une des ancienne carte de visite de mon oncle. Le numéro qui y était inscrit était mon numéro actuel puisque j’avais récupéré le portable de mon oncle on partant. Je lui tendit la carte et lui expliquais. Bien entendu je n’allais pas lui dire que je voulais l’aider même si sa se voyer .

« -Tien, c’est mon numéro. Si tu as le moindre problème n’hésite pas à m’appeler, ok? Ah et juste au cas ou, ne va pas croire que c’est pour t’aider ou autre chose. Non c’est juste pour…euh…pour pouvoir frapper des idiots? Oui c’est sa! »

Je me servi une nouvelle assiette, cette fois ci c’était le dessert. Une tarte aux fraises, rien avoir avec l’Italie même si les fraises venaient d’Italie mais bon. J’esquissais un léger sourire, même cette tarte ne pouvait me rendre le sourire. J’avais vraiment besoin de massacrer les personnes qu l’avait amoché à ce point. Se mettre à plusieurs sur quelque un de sa taille c’était vraiment impardonnable. J’englouti ma tarte puis je me dit que peut-être il avait envie de parler à quelqu’un.

« -Si jamais tu as besoin de parler à quelque un n’hésite pas à venir me voir, j’habite un peu plus loin par là bas. Un immeuble en pierre noir, tu ne peux pas le raté il est juste en face d’un bain publique. »

Je lui indiquais une petite rue assez sombre un peu plus loin en traversant la route juste à côté d’un vendeur de hot dog, des hot dog j’en veux mais j’ai plus faim. J’ouvris de grand yeux moi ne plus avoir faim, c’était vraiment effrayant à penser. Ce qu’il m’avait montré et dit devait m’avoir vraiment heurter pour que mon estomac réagisse comme sa.

Sheishiro remit son kimono et répondit à ma question qui après coup me semblait vraiment stupide. Mis à part lorsque je me mettais dans des situations impossible je n’avais jamais vraiment était gravement blesser. C’était là certainement l’une des raisons qui me pousser à vouloir l’aider et sûrement aussi le fait que je ne supportais vraiment pas les personnes qui vous juge sur votre apparence. Contrairement à Sheishiro j’ai toujours pu me défendre par moi-même et lorsque la situation était vraiment désespéré il y avait toujours une personne derrière moi. Être juger sur son apparence n’était vraiment pas chose facile mais contrairement à Sheishiro la seule chose qui dérangeait les gens à mon égard était mon regard qui donner parfois l’impression que j’étais un assassin ou un truc dans le genre. Et j’avoue que le fait que mon père est été un tueur en série n’arranger pas mes problèmes. Mais Sheishiro lui était clairement classifier comme étrange avec sa peau aussi blanche que la neige, ses yeux rouge écarlate et l’expression de son visage qui donnait la sensation d’être observer par un psychopathe. Mais surtout au vu de ses hématomes je ne pensais pas qu’il pouvait y avoir quelqu’un pour l’aider. Donc puisque le physique n’est pas vraiment l’un des critères que j’utilise pur choisir les personnes à qui j’adresse la parole. Et surtout parce que je le trouvais assez intéressant et que ce qui est intéressant n’est pas ennuyeux j’allais faire de mon mieux pour l’aider.

Sheishiro déposa son assiette, cela avait dû lui couper l’appétit et c’était plutôt compréhensible. Moi j’étais obligé de finir mon assiette juste pour ne pas retourner faire un petit séjour à l’hôpital. Après tout j’étais l’exception sur un milliard, il n’y avait sur un milliard de personne qu’une seule et unique qui souffrait de cette maladie. Et ma présence dans un hôpital risque de me transformer en rat de laboratoire ce qui était loin d’être à mon goût. Sheishiro observa l’endroit que je lui montrais, une petite ruelle sombre qui n’inspirait pas forcément confiance. Mais bon je connaissais toute les personnes qui vivaient là bas et celle que je ne connaissais pas me connaissait. Donc normalement si il passait par là rien de fâcheux ne devrait lui arriver. Je venais d’engloutir le dernier morceaux de tarte et je déposais mon assiette sur le côté. Sheishiro s’approcha alors de moi, il sortit de sa manche plusieurs bandages et les disposa sur mes mains qui je ne l’avais pas remarqué étaient horriblement amochés. Lorsqu’il eut terminer je me contentais de lui sourire et de lui sortir un petit.

" -Merci. "

Je me relevais alors et jetais un coup d’œil à ma montre, cela faisait déjà quelque heures que nous discutions et rester assis trop longtemps n’était pas très bon pour la santé. C’était du moins ce que l’on me répétais tous les jours chez moi. Je récupérais toutes les assiettes et le panier et j’envoyais le tout dans la poubelle la plus proche. Il restait encore trois boîtes donc trois repas, je ne pouvais pas les garder puisque je n’avais pas encore de frigo. C’était mon propriétaire qui s’occupait de garder sa pour moi et c’était pas vraiment le genre de personne à qui on a franchement envie de parler. Je regardais Sheishiro, il avait trouvé que c’était bon peut-être qu’il les voudrait après tous c’était sa ou la poubelle.

" -Tu veux les emportés avec toi? Je ne peu pas les ramenés avec moi donc soit tu les récupères soit je les envoies dans la poubelle ce qui serrait vraiment du gâchis tu ne pense pas? "

Sheishiro se contenta de sourire puis lorsque je lui demandais pour les plats il accepta de les prendre et cela avec le sourire. Il rassembla rapidement les plats puis attrapa son ombrelle et la déposa sur son épaule. Il se retourna vers moi et essaya de me demander quelque chose puis finalement il me le demanda. Je souris, ami c ‘était difficile à dire il me posait une véritable colle là. Je réfléchi un long moment puis je lui répondis très sûr de moi-même si je ne l’étais pas:

« -Et bien, je pense qu’une véritable amitié prend du temps à ce forger mais on peu dire que nous somme sur les fondements d’une amitié! »

Puis après avoir dit sa je l’observais, il avait ses courses et son ombrelle dans une main et les boîtes de nourritures dans l’autre. J’hésitais un moment, Sheishiro était vraiment tous petit allait il réussir à tout porter. Je devais peut être lui demander si il voulait de l’aide, ce que je fis:

« -Sheishiro..euh…tu veux que je t’aide à porter tout sa? »

A ce moment il me sembla que j’avais oublié quelque chose d’important mais je ne me souvenais pas encore de quoi il s’agissait. Lorsque j’allais retourner chez moi j’allais avoir une très mauvaise surprise mais ce n’était pas grave. J’attendais la réponse de Sheishiro lorsque mon téléphone sonna. Je le sorti et l’observais un moment puis je me rendis compte que ce n’était pas celui que j’avais éteint quelque heure auparavant. Mon oncle était très fort pour faire apparaître des objets dans ma poche surtout lorsqu’il s’agissait de portable et biper. Je l’éteignit sans regarder ce qui était écris sur le message, une erreur que j’allais regretté par la suite.

Sheishiro hocha la tête puis lorsque je lui demandais si il avait besoin d’aide il hésita un moment avant d’accepter mon aide. Je récupérais donc les boîtes, je me serrais senti coupable si je l’avais laisser partir tout seul et puis après ce qu’il m’avait montré je préférais vérifier par moi-même qu’il rentre bien chez lui sans problème. A vue d’œil les boîtes ne paraissaient pas lourde mais pourtant elles l’étaient. Bien entendu Sushi ne sentait pas vraiment leur poids il faut dire que lorsque l’on passe plus de dix ans avec un oncle fanatique de sport de combat il est difficile dans ressortir sans un minimum de force. Sheishiro commença à marcher et je le suivi mais comme je l’ai déjà dit plus tôt pour moi la communication est essentiel. Je réfléchi un moment puis je demandais la première chose qui me passer par la tête:

« -Tu es à Tanaka depuis longtemps? »

Après tout nous allions peut être devenir ami alors autant s’informer un peu. Cette idée me fit sourire, je n’avais jamais passer plus de deux mois dans chacune des écoles ou j’étais passer de sorte que de véritable amis je n’en avais aucun. Enfin mis à part les deux membres de mon groupe mais cela faisait une éternité que je ne les avais vu. Je suivais toujours Sheishiro lorsque je remarquais une clôture sur le côté, elle n’était pas bien haute. Je sautais dessus et me mis à marcher en équilibre tous le long, j’adorais se genre d’exercice c’était l’un des rares domaine ou je pouvais surpasser mon frère. Mon frère? Quelque chose à cette pensée me frappa, j’avais l’étrange impression d’avoir oublier quelque chose. Je réfléchissais puis d’un coup je me souvins et ne pu par conséquent m’empêcher de hurler:

« -Mince!!! »

Mon frère m’avait ordonné chose que je n’apprécier pas mais alors pas du tout, de lui préparer son repas. J’étais tellement occupé avec se pique nique que je l’avais totalement oublier, lorsque j’allais rentré il allait certainement se venger. Je sautais à terre puis je me mis à rire, à l’heure qu’il est il devait certainement réfléchir à la torture qu’il allait m’infliger. Puis après un moment j’arrêtais de rire mais je gardais tous de même un large sourire au lèvre.

Sheishiro resta vague lorsque je lui demandais si il était à Tanaka depuis longtemps. Depuis le début de l’année scolaire, je me demande bien à quoi peut ressembler une rentrée scolaire à Tanaka mais je ne posais pas la question. Je jetais un regard à ma montre il devait me rester un bon quart d’heure avant que mon frère n’envoie certain de ses amis à ma recherche. Je soupirais j’espère que Sheishiro n’habitait pas trop loin car je ne pourrais peut être pas l’accompagner jusqu’au bout si il me trouve avant. Soudain je remarquais que mon camarade observait quelque chose, je suivi son regard et aperçu se type. Il était immense et d’une forte corpulence j’espérais vraiment qu’il n’allait pas embêter mon futur ami. Malheureusement dans la vie on a pas toujours ce que l’on veut. Le type arracha l’ombrelle des mains de Sheishiro qui se recroquevilla aussitôt au sol. Je poussais un nouveau soupire je détestais devoir réfléchir à toute vitesse. Je regardais Sheishiro qui avait mis son visage dans ses manches et qui semblait…il pleurait, c’était des larmes? Je détestais les larmes mais je savais bien que vu l’état de mes mains et la taille de mon adversaire les techniques conventionnel n’allait pas marcher. Avant de l’attaquer j’essayais de le raisonner chose peu intelligente puisque cette personne semblait encore moins réfléchi que moi. Et vous pouvez me croire se n’est pas un compliment, je m’approchais un peu et je demandais très calmement.

« -Excusez moi pourriez vous rendre ceci à mon ami, il n’a pas l’air de supporter de ne plus l’avoir. »

Il me toisa un instant puis se détourna comme si il ne m’avait pas vu, je poussais un nouveau soupire et je retournais à côté de Sheishiro. Je déposais les boites à côté de lui, j’enlevais ma veste laissant apparaître mon tatouage ou l’on pouvait voir un dragon noir sur mon bras. Puis chose que je ne fais jamais je retirais mon bonnet et le déposais sur ma veste. Je regardais Sheishiro un instant puis je retournais en face de l’autre idiot. Il me regarda comme si j’étais un moucheron, c’est vrai que niveau force il devait me surpasser mais niveau technique j’étais loin au dessus de lui. Je souris, de mon sourire le plus effrayant puis d’une voix que je ne me connaissais pas, une voix presque terrifiante et très froide je lui dit:

« -Si la force physique était la seule chose qui compter lors d’un combat je n’aurais sans doute pas la moindre chance face à un adversaire de ta corpulence mais tu n’as pas de chance. Contrairement à la plupart des gens je n’ai jamais négligé l’art du Kyusho-jitsu et malheureusement pour toi je vais l’utiliser. Je te présente toute mais excuse je vais soit te vaincre, soit te tuer. Il faut dire que je ne pratique que depuis deux ans je ne suis qu’un débutant. »

L’utilisation des points vitaux dans les art martiaux chose que je n’avais jamais employé dans un combat réel. Mon adversaire était un monstre sur patte, j’esquissais un sourire il ne fallait pas que je prenne le moindre coup mais il fallait aussi que je place rapidement quatre coups. Je me mis en position puis très rapidement j’esquissais le coup de poing qu'il m'envoya. Je frappais légèrement au niveau de son coude puis je frappais au même endroit mais sur son autre bras. Je me plaçais avec rapidité derrière lui et je lui assenais un coup au niveau du genou droit et pour finir de frappais sur sa nuque. Je pensais avoir raté le dernier point mais il s’écroula, juste après m ‘avoir envoyer un coup de coude dans le thorax. Je mis mes mains à l’endroit ou il m’avait frappé, la douleur était insoutenable et pendant un instant ma vue se troubla. Puis une fois une respiration plus ou moins régulière je me levais et récupérais l’ombrelle que je ramenais à Sheishiro. Du sang coulait le long de mes lèvre mais je ne le remarquais pas tous de suite. Je ne remarquais d’ailleurs pas l’autre idiot qui c’était relevé et qui allait me donner un haymaker dans le dos. Et encore moins le type au cheveux blond vêtu d’une tenue de barman et une cigarette à la bouche qui silencieusement assomma la grosse brute et la déposa lentement au sol pour disparaître derrière les arbres sans un mot et sans que personne ne l‘ai remarqué. Dans un geste pour m'accroupir au niveau de Sheishiro j'entendis mes côte craquer. Je ne pu retenir un léger gémissement puis je demandais calmement à Sheishiro:

"-Est-ce que sa va?"

Sheishiro après avoir remit son ombrelle en place releva les yeux vers moi, il avait presque l’air inquiet c’était amusant. Il faut dire que je trouvais presque tout amusant même le fait d’avoir une côte cassé était pour moi horriblement drôle. Je ne me séparais jamais de mon sourire même si il fallait toujours que je fasse attention à faire en sorte qu’il ne soit pas trop effrayant. Il tâta alors doucement mes côtes puis essuya le sang qui coulait de ma bouche avec sa manche. Si chacun de mes mouvements ne me faisaient pas horriblement souffrir je pense que je l’aurais arrêter après tout c’était bête de tâcher un kimono blanc. Je n’avais pas vraiment remarquer le sang, je ne remarquais que très rarement ce qui pour moi n’était que des détails.

J’aperçu alors le sang qui coulait le long du visage de mon jeune camarade, j’attrapais alors ma veste. Je fouillais dans mes poches et je trouvais un paquet de cigarette presque totalement plein que je remis à l’intérieur aussitôt. Je continuais à chercher puis je le trouvais, c’était un souvenir important mais bon j’en avais plein d’autre alors. J’attrapais donc mon mouchoir en soie brodé des initial M et S. Puis je le donnais à Sheishiro pour qu‘il l‘utilise sur son front. Celui-ci me dit quelque chose qui m’énerva vraiment, comment il pouvait croire une seconde que c’était sa faute et encore plus drôle qu’il soit responsable de ma blessure. Je ris un petit instant car c’était assez douloureux puis je lui ébouriffais les cheveux et d’une voix calme ou l’on pouvait déceler une petite note de colère je lui dit:

« -Tu n’es pas responsable du comportement des autres arrête un peu de mettre les bêtises des gens comme l’autre imbécile sur ton dos. Et puis c’est pas toi qui m’a donné se coup, il aurait suffit qu’il te rende ton ombrelle et tous ce serrait bien passer mais au lieu de sa il a voulu jouer les malin et voilà comment j’ai fini par être blesser. »

Et puis j’attirais la poisse et même sans lui j’aurais certainement finis par me battre avec quelque un et peut être même à me faire blesser. D’ailleurs j’étais franchement content de ma journée, j’avais rencontré une nouvel personne fait un pique nique et je m’étais même amuser à me battre. Sheishiro serra ma manche, il semblait souffrir. Je ne savais pas trop quoi faire, les soins n’étaient pas vraiment ma spécialité. J’étais plus cuisine et musique avec la petite touche de combat transmise par mon oncle. Je souris les rares fois ou j’étais assailli par la tristesse et que je souffrais la seule chose qui pouvait me rendre le sourire était un bonbon. Je mis ma main dans ma poche et on sorti deux carambars, j’enlevais son papier au premier et le mis dans la bouche de Sheishiro.

« -Les sucreries sa remonte le moral et sa fait passer la douleur! Tu ne peu pas être triste après avoir manger un carambar c’est quasi impossible! »

Je disais cela très sérieusement car pour moi rien ne valait plus qu’un carambar au caramel. J’enlevais le papier autour du second carambar et comme pour lui prouvait que je ne mentais pas je l’avalais puis me relevais un grand sourire au lèvre. Mon visage ne transparaissais plus la douleur fulgurante que je ressentais bien sûr je la sentais toujours mais bon. Je regardais ma montre il ne me restait plus beaucoup de temps. Je poussais un petit soupire, je pouvais toujours essayer de changer de look après tout les amis de mon frère ne me connaissaient pas tous. Je mis mon bonnet dans la poche de ma veste et j’attachais mes cheveux en arrière même si il n’était pas très long. Je gardais ma veste dans les bras et je récupérais les boites puis je dis d’une voix très joyeuse:

« -Il ne vaut mieux pas rester ici, les passants risque de se posaient des questions on le voyant coucher au sol. Si tu te sent mieux on devraient y aller.»