Roses et Mélodie. [Enju]

Enju lui désigna la salle de bain, il attrapa son kimono et se dirigea dans la direction désignait. Une fois éloigner d'Enju il se laissa aller et vira au rouge. Comment avait-il pu se rapprocher aussi près du professeur sans s'en rendre compte!? Son coeur battait à tout rompre, il ouvrit la porte de la salle de bain et s'y engouffra. Il referma aussitôt la porte dérrière lui et se laissa tomber au sol. Son coeur battait beaucoup trop vite et il n'arrivait pas à comprendre pourquoi. Dès qu'il fermait les yeux l'image du professeur Seikai s'imposait à lui. Il prit une profonde respiration, il lui était difficile de saisir la subtiliter des sentiments humain. La preuve en était qu'il avait mis deux ans à comprendre ses sentiments la dernière fois et la seule fois d'ailleurs ou cela lui était arrivé. Il patienta un moment le temps que sa respiration revienne à la normal puis murmura pour lui même:

"-Je devrais peut-être consulter un psychiatre?"

Il rit un peu puis se releva et observa la salle de bain. Après un petit moment il déboutonna sa chemise laissant apparaitre un torse sans la moindre imperfection. Il n'avait aucun tatouage, aucune cicatrice et encore moins de tâche de naissance ou autre marque physiologique. Seul une chose pouvait attiré l'attention, d'étrange marque rouge laisser par les coups de canne de son ancien professeur. Cela remonter à des années mais elles n'avaient pas disparut. Elle était toute concentrer sur son épaule droite, d'ou la soudaine douleur plus psychologique que physique qu'il avait parfois l'impression de resentir. Il finit rapidement de se déshabiller puis revêtit son kimono. Celui-ci lui aller à la perfection, ni trop large ni trop sérrer. Il épousait à la perfection les courbes de son corps. Une fois qu'il fut sûr que le kimono soit bien en place il plia rapidement ses vêtements. Il sortit alors silentieusement et observa Enju qui observer la peluche. Il esquissa un sourire et déposa ses vêtements sur le canaper-lit.

"-On s'amuse?"

Dit-il d'une voix amuser, il s'assit à son tour sur le canaper-lit gardant une certaine distance avec Enju. Il attrapa la peluche et chercha une sorte de mécanisme. Toute les peluche de cette marque on avait un, finalement il le trouva dérrière l'oreille droite. Il sourit se demandant ce qui avait pu être enregistrer sur sa peluche. Il appuya dessus et on pu entendre une voix d'enfant dire "Je t'aime". Reni resta surpris un moment et réappuya dessus. Après un instant il pouffa de rire, il avait reconnu sa voix. Enfin la voix qu'il avait lorsqu'il était enfant. Ses mots il ne les avait prononcé qu'une fois, le jour ou il avait pour la première fois vu une rose. Sa mère avait fait fort pour trouver cet enregistrement, d'ailleurs comment la t'elle trouvait? Il remit la peluche entre les mains du professeur toujours un large sourire au lèvre. Il aperçu alors les deux tasses et demanda d'une voix enfantine:

"-Il y a une tasse pour moi?"

Il se doutait bien de la réponse mais il n'avait rien d'autre à dire. Le professeur avait été plus rapide que lui. Habituellement il buvait un verre de vin avant de s'endormir et sa tomber bien il on avait une bouteille dans sa malette. Il regarda les tasses se demandant ce qu'elle pouvait contenir. Il était presque minuit et demi lorsqu'il se mit à baîller légérement entre ses doigts. La fatigue commençait à frapper et il n'était pas sûr de réussir à dormir. Autant car il avait l'habitude du silence calme et apaisant de la forêt que parce qu'il avait dévellopé une exellente ouïe tant et si bien qu'il arrivait à entendre les voitures qui se trouvaient à plusieurs rues de là.

Il esquissa un sourire, en effet une peluche sert à s'amuser. D'un autre côté pour sa défence je dirais que l'on ne peu qu'être surpris de voir un professeur du calibre d'Enju s'amuser ainsi. Bien sûr Reni trouvait cela amusant comme presque tout. Il trouvait aussi que cela rendait son collègue un peu plus irresistible. Et cette pensée ne fit que s'affirmer d'avantage lorsqu'après avoir mis en marche le mécanisme Enju sourit et dit que c'était trop mignon. Reni avait bien faillit rétorquer que c'était lui qui était mignon mais il s'abstint. Il rougit légérement à cette pensée qu'il trouvait étrange et déplacer. Puis il s'en remis, après tout il était vrai qu'Enju était bien plus mignon que la peluche. Tsugaru demanda alors si il y avait une tasse pour lui et Enju hocha la tête pour lui signifier que oui. Reni l'observa un moment un large sourire et lui dit:

"-Si elle te plaît tellement tu peux la garder!"

La peluche devait avoir été créer en au moins trois exemplaires donc il ne voyait pas pourquoi il ne pourrait pas l'offrir. De plus Enju avait l'air de l'apprécier, peut-être était-il un fanatique de peluche? A cette pensée Tsugaru ne pu se retenir de rire doucement. Le professeur se retourna et lui expliqua se que contenait les tasses. Du lait il on avait bu seulement lorsqu'il était enfant. Le miel il adorait cela depuis toujours. Le rhum il n'avait même pas besoin de réfléchir à partir du moment ou il y avait de l'alcool. En résumé il devrait apprécier la boisson sans problème. Reni et sa curiosité légendaire se saisir d'une des tasses et observèrent le breuvage:

"-Oh!"

Il observa son collègue boire une première gorgée puis il porta à son tour la tasse à ses lèvre. La boisson était chaude et presque revigorante. Elle lui rappelait vaguement quelque chose qu'il avait bu il y a longtemps mais quoi il n'on avait aucune idée! Il observait Enju, le breuvage semblait fonctionner sur lui. Par contre sur lui cela n'avait presque aucun effet. Bien entendu pour une personne habituer à boire un verre de vin avant de s'endormir c'était assez logique que cela n'ai pas d'effet. Il continua malgré tout à boire jusqu'à ce que la tasse soit vide. Contrairement au café il n'eu pas à mentir, il dit joyeusement:

"-C'est délicieux! Mais je pense tous de même que rien ne vaut un verre de vin avant de s'endormir!"

Tsugaru aurait bien voulu retenir Enju pour lui expliquer qu'il avait déjà une bouteille de vin avec lui mais celui-ci avait déjà ramasser les deux tasses pour rejoindre la cuisine. Finalement il décida de garder la bouteille pour le lendemain matin, il buvait aussi le matin. Habituellement après avoir était obligé de boire du thé, thé exellent sauf lorsque vous le buvait tous les matin et tous les soir. Reni esquissa un sourire à cette pensée, pas de thé ni aujourd'hui ni demain. Vous ne pouvez même pas imaginer la joie qu'il éprouvait en ce moment. Enju revint rapidement avec deux coupes qu'il déposa et repartit aussitôt dans la cuisine. Le psychologue l'observa un instant puis se concentra sur les deux coupes, il n'avait pas remarquer mais même de dos le professeur avait l'air très séduisant. Il effaça cette pensée et attrapa l'une des coupes qu'il fit tourner entre ses doigts puis la reposa. Enju revint alors au pas de course ce qui n'était pas une très bonne idée. Non seulement courir une bouteille à la main n'était pas très intelligent mais en plus il percuta le tapis et sans un petit bond il aurait pu se retrouver à terre. Il retomba pile sur les cuisse de Reni qui était trop inquiet pour y faire attention.

"-Est-ce que sa va?"

Après avoir entendu le professeur il se dit que tout aller bien et se rendit compte de la position dans laquelle ils se trouvaient. Il vira une fois de plus au rouge presque écarlate et il eu l'impression de son coeur voulait presque sortir tant il battait puissamment. Il attrapa la bouteille pour qu'Enju puisse utiliser ses mains et l'aida à se redresser. Il ne pu s'empêcher de passer ses doigts dans les cheveux d'Enju pour replacer les mèches qui c'était déplacer dans la chute. Certes il lui arrivait d'être très méticuleux, de temps en temps mais cette fois-ci c'était plus par une pulsion qu'il avait besoin d'assouvir qu'autre chose. Il reposa son regard sur les deux coupes, non franchement quelque chose n'allait pas pensa t-il. Puis d'une main habille il attrapa les deux coupes et versa deux coupes de vin et à l'oeil il pouvait dire qu'il s'agissait d'un excellent vin. Il poussa un soupire presque inaudible espérant que son geste ne soit pas mal prit. D'un autre côté le professeur aurait toute les raisons de lui on vouloir, il préféra penser à autre chose se concentrons sur les deux coupes un moment. Puis il réalisa après deux bonne minutes qu'Enju l'observait toujours. Il se retourna et lui remit l'une des deux coupes entre les mains, decidement aujourd'hui n'était pas un bon jour.

"-Hum....désolé..."

Il s'excusait autant pour son geste que pour avoir garder les deux coupes entre ses doigts, certes il aimait le vin mais tout de même de là à prendre deux coupes en même temps. Il en aurait rit si pour une raison qu'il avait du mal à comprendre il ne se sentait pas si mal. Il rit un moment plus par dépit qu'autre chose, pour une première semaine franchement il n'avait pas eu beaucoup de chance. Mis à part avec le surveillant assez sympathique toute ses autres rencontre avaient été de pure catastrophe. Il espérait sincèrement que demain irait mieux, il ferma les yeux un moment humant la douce odeur qui se dégageait de sa coupe. Certes l'odeur ne pouvait pas plaire à tous le monde mais pour Tsugaru c'était autre chose. Il jugeait les personnes par leur personnalité et la cuisine par l'odeur, il avait un odorat aussi développer que son ouie d'ou sa passion pour les fleurs et les parfums. Il fit légèrement tourner le liquide entre ses doigt puis déposa ses lèvre sur le bord de la coupe. Il était très lent dans ses gestes, car pour lui chaque gestes étaient important lorsque l'on dégustait une bonne coupe.

Aux mots qu’Enju prononça Reni faillit s’étouffer, il bu une seconde gorgée de vin et observa un instant Enju du coin de l’œil. Celui-ci rougissait, Tsugaru revint sur sa coupe et réfléchit un instant. Que pouvait vouloir dire le professeur lorsqu’il disait que cela ne l’avait pas déranger ? Est-ce qu’il avait répondu cela par pure gentillesse ou bien….? Ou bien quoi!!? Non! Impossible! Mais si…? Ahhhhhhhh! Trop de pensées commençaient à le submerger tant et si bien qu’il finit par boire une nouvelle gorgée de se délicieux nectar. Il prit une profonde respiration et se retourna vers Enju, à peine avait-il poser ses yeux sur celui-ci qu’il vira au rouge tomate. Mais malgré tout il réussi à aligner quelque mots d’une voix presque inaudible:

« -Tant mieux… »

Enju avait pris une première gorgée de vin, Reni l’observait fixement sans se rendre compte que cela ne se faisait pas. Puis il déposa sa coupe et se retourna vers le psychologue qui avait aussitôt rediriger son regard sur sa propre coupe. Il écouta avec attention chaque mots que prononçait Enju, avant même de réfléchir à la signification de ceux-ci il se dit d’abord que son collègue avait vraiment une voix magnifique. Il se demanda à quoi pouvait ressembler la voix d’Enju lorsque celui-ci, chantait. Il se retourna alors réfléchissant à ses mots puis il ne pu s’empêcher de rire en voyant le visage du professeur. Ce n’était pas méchant loin de là, il riait tellement qu’il décida de poser sa coupe sur la table basse. Il trouvait qu’Enju était vraiment adorable, il aurait aimer pouvoir le prendre dans ses bras. Et puis surtout les paroles du professeur l’amusait énormément. Elle l’amusait tellement qu’il ne pouvait s’empêcher de rire, d’un rire chaud avec une petite sonorité presque enfantine. Il dit alors sans vraiment y faire attention:

« -Désolé, tu..haha ha…tu es…haha.. trop mignon! »

Lorsqu’il prit conscience de se qu’il venait de dire il s’arrêta soudainement de rire, il réfléchit un instant. Est-ce que cela se faisait? Pouvait-il dire une chose pareil à un autre individu qu’il venait à peine de rencontrer et de sexe masculin qui plus est? Son cerveau réfléchissait à toute allure pendant que son corps se laissait tomber de tout son long sur le canapé lit. Il se dit qu’avec un peu de chance le professeur prendrait cela pour une plaisanterie. Mais il ne pu s’empêcher de se demander comment celui-ci réagirait autrement. Il observa le plafond le visage inexpressif puis il esquissa un petit sourire gêné et fixa son regard dans la direction opposé à Enju. Il attendait d’entendre, de voir comment aller réagir Enju. Mais finalement il ne pu se résoudre à attendre et dit d’une petite voix toute embarrasser:

« -Tu ne me met pas mal à l’aise…c’est moi qui me met dans de telle situation et cela sans l’aide de personne… »

C’était vrai, enfin plus ou moins après tout si le professeur ne l’intimider pas autant il ne réagirait pas ainsi et donc il ne se rendrait pas mal à l’aise tout seul. Il continua à fixer le salon, laissant son regard passer sur chaque instruments tout en se demandant comment il en était arriver là. Puis il se mit à rire doucement, maintenant c’était lui qui avait l’air d’un crétin. Il avait les joux légèrement rouge et passa une mains dans ses cheveux tout en patientant.

Enju se pencha vers Tsugaru qui sursauta un moment avant de reprendre peu à peu son calme il écouta attentivement les paroles d'Enju. Alors comme sa il le trouvait mignon, Reni esquissa un sourire un peu gêné. Il était heureux que le professeur ai pris cela comme une plaisanterie plus qu’autre chose et en même temps il ressentait comme un pincement au cœur. Après un court instant de réflexion sur ce qu’il ressentait il on conclut deux choses. La première était qu'il devait sérieusement avoir un problème, la seconde lui paraissait peu probable voir même impossible. Mais peut-être était-il amoureux. Il observa Enju droit dans les yeux, il rougissait légèrement son coeur battant à grande vitesse. Il n'avait qu'un seul moyen d'être fixer. Il le savait bien qu'il était incapazble de faire la part entre sessentiments et que le seul moyen de savoir était...d'essayer de prononcer son prenom. Il eu comme une absence l'espace d'un instant. Son regard se fit plus sombre beaucoup plus sombre que d'ordinaire. Il savait que si il prononçait son prenon il aurait la confirmation de ses sentiments. Car la seule personne qu'il ai jamais appeler ainsi était...cette personne. Il poussa un long soupir et detourna le regard. Il essaya d'abord d'une petite voix puis plus clairement de prononcer ce nom. Lorsqu'il réussi enfin sa vois ce fit olus douce et plus tendre.

"-En..Enju..."

Il l'avait fait, Reni l'avait vraiment fait. Il ouvrit de grand yeux, Enju ne devait pas comprendre grand chose. Tsugaru cessa soudain de rougir, il se redressa légérement tout était plus clair à present. Il esquissa un sourire éblouissant puis il rit de lui même c'était vraiment gênant. Être mal à l'aise était une chose mais être amoureux en était une autre. Il passa une main dans ses cheveux un peu soulager de sa soudaine découverte. Il posa à nouveau son regard sur Enju mais cette fois-ci son regard était différent. Il semblait empreint de toute sorte de sentiment, rien de passionel mais de la tendresse. Il sourit encore puis sans s'en rendre compte il pensa à voix haute:

"-Tomber amoureux au bout d'une journée...j'ai du mal à y croire. Mais dans se cas je devrais peut être..."

Sans même laisser le temps à Enju de réagir, il plaqua ses lèvre contre les sienne dans un doux baiser. En temps normal Reni n'aurait au grand jamais fait cela. Mais cette fois-ci il ne voulait pas prendre le risque de perdre la personne qu'il aimait. La dernière fois il on avait fait une depression et cela l'avait rendu incroyablement vulnérable. Une succesion de malheurs c'étaient ensuite abattu sur lui après cela et il n'avait aucune encvie de revivre cela. Cette fois-ci il comptais bien faire comprendre ses sentiment même si il trouvait que c'était un peu trop rapide. Lorsqu'il retira ses lèvre il se rendit compte d'une chose et passa d'un extrème à un autre. Il vira au rouge presque écarlate et posa une main sur son visage. Le psychologue venait de se rendre compte qu'il avait offert son premier baiser à Enju. Maintenant il espérait qu'Enju ne réagisse pas trop mal.Mais peut-importe la réaction de son collègue il comptait bien recommencer tôt ou tard. Finalement maintenant peut-importe ce qui aller se passer il n'aurait aucun regret vis à vis de ses sentiments. Il ne lui restait plus qu'à attendre une quelconque réaction de la part d'Enju. En attendant il se delectait de se nom qui au fur et à mesure que le temps passer lui plaisait de plus en plus:

"-Enju...Enju...c'est vraiment un prenom magnifique...Enju, c'est assez proche d'Anju à une lettre près. Anju, ange...en y réfléchisant tu ressemble beaucoup à un ange, il ne te manque que les ailes!"

Reni se contenta d'essayer de reprendre sa couleur naturel tout en observant son collègue. Il avait le coeur qui battait à lui en faire mal et de voir Enju aussi mignon à essayer de dire quelque chose cela ne s'arrangea pas. Tsugaru esquissa un sourire resplendissant, le rouge allait aussi tyrès bien au charmant professeur. Enju s'approcha alors de lui et lui efleura le visage du bout des doigts, Reni rougit légèrement il trouvait le geste très doux. Le professeur s'approcha alors un sourire au lèvre, lèvre qu'il deposa sur celle du psychologue plus que ravie. Cela dura un moment et lorsque les lèvre d'Enju se retirère Reni on aurait pleurer tant il avait trouver cela agréable. Enju se blottit alors contre Reni qui se demandait si son coeur supporterait autant d'agitation. Enju demanda alors quelque chose d'une voix douce et un peu hésitante. Tsugaru esquissa un sourire, il n'était pas sûr d'avoir saisi le sens de la question mais il réfléchit un moment et répondit d'une voix toujours très tendre:

"-Je suppose que oui..."

Il entoura alors le charmant professeur de ses bras et le serra un peu plus contre lui. Il aimait la présence d'Enju contre lui, il aimait la présence d'Enju tout court. Il passa ses doigts dans la longue et flamboyant chevelure du professeur. Reni aimait beaucoup les cheveux d'Enju et e se gêna pas pour s'amuser avec, les soulevant un coup puis les caressant. Il les trouvait doux et soyeux et serrait bien rester là eternellement à les caresser. Puis finalement il vint délicatement déposer un baisser sur le front d'Enju. Puis il descendit son visage jusqu'au cou de celui-ci et lui chuchota à l'oreille:

"-Et toi Enju, qu'est-ce que tu veux?"

Il avait bien insister sur le prenon faisant ressortir toute son affection dans se simple mot. Il attendit un moment, il était près à tout pour faire plaisir au professeur. Celui-ci pouvait lui demander n'importe quoi il l'obtiendrait. Reni resta à un moment le visage contre le cou d'Enju humant son parfum degustant cette odeur avec delectation. Il lui suffisait d'observer le professeur pour se sentir detendu, il esquissa un sourire. Il se demandait si Enju allait lui demander quelque chose ou si il allait faire autre chose. Il retira son visage du cou de son collègue attendant toujours ue réponse puis ajouta toujours d'une voix très tendre:

"-Tu peux me demander tous ce qui te passe par la tête, vas-y n'hésite pas!"

Reni écouta la réponse d'Enju avec la même attention qu'il portait toujours. Il ne pu s'empêcher d'esquisser un sourire face à cette réponse. Sa il pouvait le faire et il voulait le faire et même si Enju ne l'avait pas dit il l'aurait fait. D'ailleurs il se demandait comment il allait pouvoir s'en séparer, à première vue cela lui était impossible. Reni finit par se dire que puisque demain il n'y avait pas cours cela lui donerait du temps pour réfléchir à cela. Et lorsque je dis qu'il ne comptais pas le lâcher c'est qu'il n'allait pas le lâcher à moins qu'Enju ne le lui demande. Tout en observant se visage tant aimer, Tsugaru croisa le regard d'Enju. Il ne pu s'empêcher de le fixer un long moment, se regard si chaleureux et tellement attirant. Reni semblait être dans un tout autre univers, il ne voyait plus qu'Enju et ses yeux. Mais il redescendit sur terre lorsqu'il sentit les lèvre du charmant professeur dans son cou. Il tressaillit et observa celui qui avait dérobé son coeur se blottir contre lui. Il sentit alors les doigts fin d'Enju parcourir son visage puis pénétrer sa chevelure pour finir contre son torse. Reni écouta son cher collègue, il sentait son coeur battre à une vitesse qu'il n'aurait pas cru pouvoir atteindre. Il répondit alors d'une voix aussi douce:

"-Si tu as ce que tu veux....je n'ai rien à demander de plus."

Reni resta là un moment sans faire le moindre mouvement. Il observa Enju, blottit contre lui. C'est alors que celui-ci sembla trembler, Reni fut surpris se demandant ce qu'il avait. Il aperçu l'une des couverture que celui-ci lui avait apporter. Sans se decoller d'Enju tout en gardant un bras autour de sa taille il 'empara de la couverture. D'un geste de la main il la deplia et la déposa sur les épaules d'Enju. Après réflexion il avait penser que peut-être celui-ci avait froid, même si il ne voyait pas comment cela pouvait-être possible. Il passa sa main libre dans les cheveux d'Enju resserant son étreinte de son second bras. Puis il se recula un peu, il glissa une main sur le visage d'Enju. Il souleva son menton et caressa doucement les lèvre du professeur. Il sourit affectueusement tout en déposant un regard plein d'amour, de desire et de tendresse sur cet homme. Il approcha lentement ses lèvre de celle de son amant et y deposa un doux baisser puis il se retira lentement.

"-Tu ne serrais pas frileux par hasard?"

Il esquissa un sourire, toujours ce regard dans les yeux. Et cette fois-ci son baiser se fit plus passionel mais toujours très tendre. Il resta là un long moment, il voulait se délecter de cet instant. Sa main sur la joue d'Enju, ses lèvre contre les sienne et son coeur battant à l'unisson. Il se retira avec tristesse, puis se contenta de caresser doucement les méches de cheveux qui encadraient se visage. Son corps était épuisé ne demandant que le sommeil mais son coeur lui voulait sentir cet amour brûlant, il voulait le ressentir. Mais si Enju était trop fatiguer il allait s'arrêter là, ils pourraient tout deux reprendre le lendemain surtout qu'Enju semblait vivre avec quelqu'un. Cette personne pouvait revenir à tout moment et cela pourait peut-être gêné Enju. Tout en continuant de caresser sa chevelure Tsugaru lui demanda tendrement:

"-Si tu as envie de rejoindre les bras de morphée dit le moi?"

Il commençait à se faire tard et Reni avait de plus en plus de mal à garder les yeux ouvert. Il écouta Enju et sourit tout en reserrant son étreinte. Il observait toujours le visage de son amant, il aimait son sourire qui faisait battre son coeur un peu plus fort. Reni sentit l'étreinte d'Enju, cette presence contre lui le rechauffer aussi bien dans l'âme que dans le corps. Il sentit se visage si cher se deposer contre son épaule et cette étreinte se reserrait. Tsugaru continuait à caresser doucement cette longue chevelure, il avait l'impression que jamais il ne s'en lasserait. Reni était si submerger par cet étrange sentiment qu'il ressentait qu'il n'entendit que la fin de la phrase de son cher et tendre. Il réfléchit un instant se demandant ce que pouvait bien être le debut de sa phrase. Il rougit, ce n'était pas dans ses habitude de ne pas écouter et encore moins de perdre sa concentration. Il finit par en conclure qu'Enju voulait poursuivre dans sa chambre.

"-Pourquoi pas, par contre hors de question que je te lâche!"

Reni avait dit sa d'une voix amuser mais il était très sérieux et ne comptait pas le lâcher de si tôt. Il se redressa un peu, decollant doucement Enju de son épaule et le souleva dans ses deux bras. Passant un bras dérrière son dos et un autre sous ses cuisses. Non pas que Reni soit un accro de sport mais lorsque sa vie se résume à éviter de se faire tuer par son personnel de maison on dévellope un minimum de force physique. Une fois Enju dans ses bras il ne pu s'empêcher de sourire. Enju était vraiment attirant, peut-importe la position dans laquelle il se trouvait. Après quelque secondes il se dirigea vers la chambre de son amant et entra. La porte étant déjà ouverte il n'eu aucun mal à entrer. Chacun de ses gestes, chacun de ses mouvements étaient calculer de façon à ce qu'Enju se sente le mieux possible. Il déposa alors son tendre amour sur son lit avec la plus grande delicatesse. Attrapant l'une de ses mains et jouant avec ses doigts tout en l'observant. Il s'assit sur le rebord du lit et posa un doux baisser sur la main qu'il tenait. Puis tout en se rapprochant lentement des lèvre plus qu'irresistible à ses yeux il dit d'une voix des plus délicieuse:

"-Sa devrait être interdit d'être aussi séduisant!"

Ses lèvre se dépossère avec douceur sur celle de son collègue. Il resta là un long moment voulant goûter un peu plus à chaque seconde qui passait. Il tenait toujours l'une des main d'Enju la serrant assez fort pour lui faire ressentir sa presence et avec assez de douceur pour ne pas lui faire mal. Il finit par retirer ses lèvre et lança un regard plein de desires à Enju. Il lui caressa doucement la joue du bout des doigts deposant à nouveau un tendre et doux baiser mais très court. Il l'embrassa encore et encore puis laissa ses lèvre descendre le long du cou de son si séduisant compagnon. Il descendit ainsi jusqu'a son épaule, faisant glisser doucement le kimono du professeur. Il remonta alors embrassant chaque pore de sa peau jusqu'à son oreille qu'il mordilla avec envie. Tout à coup cette fatigue qu'il ressentait avait laisser place à une envie folle.

Reni avait l'impression d'étouffer sous cette chaleur intense qui le submergeait. Il écouta la voix d'Enju lui répondre, son coeur fit un bond suplémentaire. Avec se simple mot Enju n'imaginait même pas la joie qu'il procurait à Reni. Tsugaru souriait il était en proie à toute sorte de sentiments qui se complétaient à la perfection. Amour, desire, joie, tendresse, passion tant de chose bouillonaient en lui ne faisant que le réchauffait un peu plus. Enju se mit alors à défaire le kimono de notre cher psychologue qui se retrouva contre le torse de son partenaire. Il pouvait sentir les battements de son coeur, sa respiration et soudain il resentit quelque chose se dressait dans son entre jambe. Reni vira au rouge mais cela lui passa lorsqu'il sentit les cuisses d'Enju se resseraient contre son bassin. Il resentait comme un desire brûlant, un desire qui ne fit qu'augmenter un peu plus lorsqu'il sentit les mains de son amant sur son dos. Reni observa Enju le trouvant encore plus beau que quelque minutes auparavant. Il aurait voulu plonger au creux de son torse et careser cette longue chevelure. Mais au lieu de sa il croisa le regard d'Enju, un regard emplit de passion. Il ne s'en était pas rendu compte mais son propre regard reflétait tout son desire et toute son affection. Il eu juste le temps de murmurer un mot:

"-Magnifique..."

Un seul mot qui décrivait parfaitement la vision qu'il avait d'Enju. Bien entendu Tsugaru n'était pas quelqu'un d'attirer par la beauté physique mais dans l'instant present c'était la chose qui importait. Enju vint alors deposer ses lèvre sur celle du psychologue. Celui-ci fut surpris lorsqu'il sentit la langue de son amant s'entremêler à la sienne. Mais bien vite il trouva la chose intéressante et ne s'en lassa plus. Tsugaru pouvait sentir la main d'Enju dans ses cheveux et son autre main sur son dos. Mais cette simple proximiter ne lui sufissait plus, il en voulait plus. Enju embrassa son cou puis son torse et remonta jusqu'à son oreille. Reni en profita pour passer une main sur le torse de son partenaire. Il s'amusa d'abord à caresser doucement les tetons du beau professeur puis il les pinça avec douceur. Il laissa alors sa langue passer sur le torse d'Enju deposant de temps à autre de tendre baisers de ci de là. Puis finalement il vint mordiller avec la plus grande délicatesse les deux teton bien roses qui resortaient bien sur le torse blanc d'Enju. Il l'embrassa de nouveau avant de sentir les cuisse de son amant venir caresser son bassin. Puis le charmant professeur vint le chatouiller du bout des doigts ne faisant qu'augmentervson excitation déjà forte.

"-....euh...."

Contrairement à Enju Reni n'avait aucune expérience et il ne savait pas vraiment comment poursuivre. Il aurait voulu poser la question mais c'était vraiment trop gênant. Il essaya donc une autre façon de s'exprimer lançant un regard à Enju. Un regard qui lui disait qu'il avait quartier libre. Il donnait les pleins pouvoirs à Enju, celui-ci pouvant faire ce qu'il voulait de lui.

Tsugaru avait réussi à faire passer son message à son grand soulagement, il vit le sourire d'Enju sourire. Il comprit se qui le gêner depuis un moment, c'était se poids d'être totalement inexpérimenté et de ne pas savoir ou tout cela aller le mener. Reni n'avait pas pour habitude de se lancer dans se genre de chose, chez lui deux personnes amoureuse se devaient de se connaitre un minimum avant d'entreprendre se genre de chose. Mais sur l'instant Reni n'avait pas vraiment réfléchit préférant saisir l'instant. Il ne comptait pas s'arrêter en si bon chemin mais il trouvait cela beaucoup trop rapide espérant ne pas faire de bêtise. Il apprécia la délicatesse d'Enju, commencer doucement le rassurer un peu mais il ressentait une sorte d'angoisse dans sa gorge. Il sentit les mains du charmant professeur finir de le dévêtir puis se corps si désirable passer dans son dos. Son coeur battait de plus en plus vite, autant de peur que d'excitation il espérait juste qu'il ne ferait pas de bêtise. Après tout n'oublions pas qu'il avait pratiquement l'âge d'un élève à trois ans près. C'était bête il le savait mais cette pensée lui donnait envie de rire ce qu'il ne fit pas trop occuper à ressentir chaque caresse que lui offrait son amant. Chaque caresse, chaque baiser le faisait frémir de désire ne faisant qu'accentuer un peu plus son envie. Il sentit les mains de son partenaire descendre le long de son corps jusqu'à...

Il poussa une petite exclamation lorsqu'il sentit les mains de son tendre amour se poser sur son membre déjà bien dresser. Il sentit le bassin d'Enju se coller un peu plus contre lui puis le professeur commença ses mouvements de va et viens arrachant quelque gémissement presque inaudible à Reni. Tsugaru était rouge de plaisir ne sachant pas vraiment quoi penser de cette nouvelle sensation, il mordait pratiquement les draps pour ne pas gémir trop fort. Tout en sentant une étrange chaleur se rependre dans son bas ventre au rythme des va et viens prodiguer il ne pu s'empêcher de tressaillir à chaque caresses chaque baisers qui ne faisait qu'augmenter son envie. Il écouta les mots doux susurrer à son oreille, frémit lorsqu'il sentit la langue d'Enju et ne pu que frémir d'avantage lorsque son amant le mordilla. Son coeur fit un bond lorsqu'il sentit le membre de son partenaire commençait doucement à le pénétrer. Puis lorsqu'il entendit le soupire d'Enju il lui fallu une rapide réflexion avant de comprendre, même si il mourrait de peur il ne voulait qu'une chose et c'était qu'Enju soit satisfait. Le rythme du va et viens ne fit qu'augmenter et Reni se délecta des mots doux du professeur. Puis finalement ill essaya de reprendre un rythme normal se qui lui fut impossible et lâcha doucement d'une voix un peu hésitante:

"-Tu...tu n'es pas..obliger de te retenir. Vas-y."

Reni goûtait chacun des va et viens prodiguer à son sexe. Il sentait sa température interne monter en flèche et chaque pression l'exciter d'avantage. Il profita avec plaisir de chaque caresses, aimant ressentir la presence d'Enju sur son corps. Puis celui-ci débuta ses mouvements de bassins, le coeur de Tsugaru tambourinait dans sa poitrine. Sentir le membre de son aimé pénétrer son intimité le fit pousser un hurlement de douleur. Hurlement qu'il réussi à masquer en plongeons son visage dans les draps. Il pouvait sentir le membre bien gonfler de son amant se frayer un chemin dans cet espace etroit que constituer son intimité. Quelque chose le figea alors dans une expression d'effroie. Tout en poussant des cris de douleur un vieux souvenir oublier lui revint. Un souvenir qu'il aurait mieux vallu ne jamais réveiller. Des larmes de douleur coulait le long de son visage malgré le fait qu'Enju fasse tout pour que cela soit plus agréable. Reni chassa se mauvais souvenir préférant se concentrer sur le moment present. La douleur avait depuis un moment laisser place au plaisir intense. Reni avait l'impression d'etouffer sous la chaleur. Ses cris de plaisir se mélangeaient à ceux de son partenaire augmentant son desire.

Tsugaru pouvait sentir le visage d'Enju contre lui, il ressentait la chaleur de se corps et cela ne faisait qu'accentuer un peu plus le plaisir de se moment. Tsugaru gémissait de plus en plus à chaque va et viens. Va et viens dont la cadence augmentait lentement mais sans aucune violence. Reni se rassasiait de la voix de son amant, poussant quelque cris puis son nom. Il se sentait proche de l'explosion et faisait des efforts surhumain pour se retenir. Il entendit alors Enju prononçait son prenom d'une voix saccader puis il sentit le visage de son partenaire retombait contre son dos. Il se prepara alors à ce qui suivit. Enju poussa un cris un peu plus fort que les précèdent se deversant ainsi en Tsugaru. La sensation que ressentit alors le psychologue fut telle qu'il se deversa à son tour dans un hurlement de plaisir. Ses mains étaient toujours crisper sur les draps et il haletait. Dérrière lui il pouvait sentir le corps d'Enju. Il espérait que la prochaine fois il pourait voir le visage de son amour car dans cette position il se sentait un peu seul. Puis après un moment, lorsqu'il retrouva son souffle il murmura d'une voix si inaudible qu'Enju ne l'avait peut-être pas entendu:

"-Je t'aime...."