Roses et Mélodie. [Enju]

Reni avait encore un peu de mal à retrouver son souffle mais peu à peu il sentait les battements de son coeur revenir à la normal. Enfin, on ne pouvait pas vraiment mettre les battements de son coeur dans la norme. Nous dirons donc que son coeur battait normalement pour un amoureux dont le plaisir venait d'être assouvit. Il sentit son amant retomber à ses côtés, il se retourna et l'observa un moment. C'était pour Tsugaru vraiment impressionant mais à chaque fois qu'il posait ses yeux sur Enju celui-ci lui semblait encore plus beau qu'un instant auparavant. Le charmant professeur avait les yeux fermer mais là encore Reni le trouvait beaucoup trop séduisant pour être humain. Il continua de le fixer avec de grand yeux brillant d'amour et de tendresse. Puis Enju ouvrit les yeux et le coeur de notre psychologue on fit un bond. Le professeur Seikai semblait presque scintiller de magnificence. Reni esquissa un sourire, l'amour avait vraiment de drôle d'effets sur lui. Il observa son amour yeux dans les yeux c'eet fou comme son regard lui paraissait epoustouflant. Il se demandait vraiment si Enju était ainsi ou si il avait vraiment besoin de voir un psychiatre. Son partenaire lui demanda alors d'une voix haletante, le sortant de sa reflexion pas vraiment très intelligente si il ne lui avait pas fait trop mal. Reni resta silentieux un moment, il avait du mal à se souvenir. Un terrible souvenir lui était revenu en mémoire et lorsqu'il avait repris conscience la douleur faisait place au plaisir. À la pensée de se cauchemar qu'il aurait préféré oublier son regard s'assombrit puis il se reprit rapidement et fit apparaitre un sourire resplendissant.

"-Non..."

Se contenta t-il de repondre d'une voix joyeuse et beaucoup trop energique pour quelqu'un qui venait de faire du sport. Tsugaru enlaça alors Enju voulant le sentir contre lui, l'idée même de s'eloigner d'Enju trop longtemps lui faisait mal au coeur. Il deposa son visage dans la longue chevelure rouge et resta ainsi un long moment son coeur battant à tout rompre. Il deserra un peu son etreinte et posa délicatement sa main sur le menton de son partenaire le soulevant vers lui. Il en resta figer un moment, une lueur d'inquiètude passa dans son regard et d'une voix tout aussi inquiète il dit:

"-Tu..tu saigne...est-ce que...est-ce que sa va?"

Reni remarqua le regard sombre d'Enju et s"en voulu aussitôt d'avoir poser la question. Son coeur se serra un peu plus lorsqu'il vit l'air triste et désolé du professeur, il aurait voulu disparaître tant il s'en voulait. Il sentit alors son amant se défaire légèrement de son étreinte en se redressant. Le professeur de musique lui répondit que sa aller, mais Reni n'était pas stupide et comprenait bien que ce n'était pas le cas. Pour Enju il aurait fait n'importe quoi, quitte à monopoliser les meilleurs médecins qui puissent exister. Il aurait pu user de tout les moyens à sa disposition pour pouvoir aider son amour qui malgré le fait qu'il ne le connaissait que depuis un peu moins de vingt quatre heures lui était cher et plus précieux que sa propre vie. Enju se retourna et récupéra un mouchoir pour essuyer ses mains et le sang qui coulait le long de ses lèvre. Le professeur poussa un soupir et lui dit de ne pas s'inquiéter, Tsugaru aurait aimé pouvoir lui répondre que cela lui était impossible. Enju aurait du essayer de se mettre à sa place, lorsque la personne que vous aimez crache du sang sa ne vous rassure pas beaucoup. Le charmant professeur tenta un sourire pour détendre l'atmosphère, Reni se força à son tour à lui sourire pour ne pas l'attrister davantage.

Enju s'approcha alors du psychologue et déposa son visage au creux de son épaule puis ses mains sur ses épaules. Reni effleura d'abord ses cheveux du bout des doigts puis il enfuit sa main entière dans la masse de cheveux flamboyant d'un geste affectueux il caressa la tête d'Enju. Il aimait vraiment la chevelure du professeur et si la fatigue ne se faisait pas si pesante il serrait bien rester là un peu plus longtemps. Enju soufla alors doucement qu'il allait bien, répétant à Reni de ne pas s'inquiéter, Tsugaru décida donc même si cela ne le rassurer pas de faire comme si tout aller bien du moins pour le moment.

"-Si tous va bien...je n'ai pas à m'en faire..."

Il continua de caresser la longue chevelure tout en resserant un peu plus son étreinte comme si il avait peur qu'Enju disparaissent d'un coup. Comme si il avait peur que cet instant ne soit que le fruit de son imagination et qu'on lâchant son amour il finisse par se réveiller. Il laissa son visage retomber dans le cou d'Enju puis il se laissa tomber lentement sur les draps considérant qu'il était temps aussi bien pour lui que pour son amant de s'endormir. Bien sur Reni contait bien rester réveiller jusqu'à ce qu'Enju s'endorme, Reni aussi se demandait à quoi pouvait ressembler le charmant professeur dans son sommeil. Mais malheureusement il n'eu pas la force nécessaire pour se maintenir éveiller et dans un dernier mot il s'endormit:

Reni c'était donc endormi un petit sourire au lèvre, son sommeil fut relativement calme et reposant. Il ne remarqua pas qu'Enju c'était levé même si il sentit tous de même un vide près de lui. Il rêvait paisiblement d'abord des moments joyeux de son enfance puis de vin et de chocolat et enfin d'Enju. Chaque passage lui arrachait un large sourire, cela faisait une éternité qu'il n'avait pas fait de rêve aussi sympathique. En temps normal ses rêves étaient plus des cauchemars qui à son réveil souvent devenaient réalités. Son amant n'étant plus à sa place il attrapa inconsciemment un oreiller et le serra contre lui. Il était tellement bien qu'il se doutait que cela n'était qu'un rêve et rapidement ses pensées négative prirent le dessus. Il se demanda si il n'avait pas rêver le moment passer avec Enju et si lorsqu'il ouvrirait ses yeux il le trouverait à ses côtés.

Reni sombrant dans un terrible cauchemar ne se réveilla pas lorsque Enju vint lui caresser le nez à l'aide d'une mèche de ses cheveux. Son visage qui un moment auparavant affichait un large sourire c'était assombrit. Lorsqu'Enju lui dit de se réveiller Reni entendit et reconnu la voix et dans un sursaut se réveilla. Il regarda rapidement autour de lui pour se rassurer d'être bien dans la réaliter et poussa un petit soupire de soulagemment. Il se retourna alors lentement vers Enju essayant de remettre ses pensées en ordre. Il resta un moment sur le gigantesque lapin qui le poursuivait se demandant si celui-ci allait apparaitre d'un coup. Il regarda Enju l'air soupçoneux comme si celui-ci cachait dérrière lui l'horrible créature qui voulait le transformer en carotte. Puis après un moment lorsqu'il fut sûr qu'il n'était plus en train de dormir il poussa un nouveau soupire soulager. Il se demandait encore pourquoi il avait rêver de se lapin mais laissa rapidement cela de côté. Il se mit à rire de sa propre bêtise et encore un peu endormi il attrapa son collègue par la taille. Il rapprocha doucement ses lèvre du cou de son amour il sentit son parfum et remonta doucement jusqu'à son oreille pour lui murmurait:

"-Ti amo."

Si il y a bien une chose à savoir sur Tsugaru c'était bien qu'il avait à certain moment un charisme fou. Dans ses moments là il avait un sourire et une voix irresistible et il se mettait à parler sa langue natale. En temps normal il ne le faisait pas n'appréciant pas beaucoup l'effet que cela produisait chez les personnes qui l'entourer. Mais il lui arrivait lorsqu'il était vraiment fatiguer ou dans ce cas ci lorsqu'il était à moitier endormi de s'en servir. Il resta là un moment laissant ses bras autour de la taille d'Enju et allant deposer son visage contre son torse. Il lui fallu quelque minutes avant de pouvoir se réveiller complètement, il bailla discrètement et releva son visage vers celui d'Enju. Il rit un petit moment et il se souvint vaguement de se que venait de dire Enju.

"-Princesse?"

Il se remit à rire et finit par se blottir un peu plus contre son amant pour étouffer son rire. Après une bonne minutes il finit par se reprendre.

"-Un petit déjeuner...pourquoi pas. Mais avant sa t'embête si je prend une douche?"

Reni se retourna vers l'armoire en question et hocha la tête un large sourire au lèvre. Enju deposa un baiser sur les lèvre de notre psychologue. C'est fou comme se simple contact pouvait faire plaisir. Le professeur se releva alors et dit à Reni de se dépêcher. Celui-ci esquissa un sourire puis passa une main dans ses cheveux. Les crêpes d'Enju, pour rien au monde il n'aurait manqué cela. Enju quitta alors sa chambre laissant Tsugaru seul. Le psychologue s'etira pendant un long moment toutt en baillant. Puis il se rendit compte qu'il était nu, chose qu'il n'avait pas remarquer avant. Il vira au rouge, se remémorant ce qui c'était passé la veille. Cette douleur, ce plaisir et l'etrange sensation d'épanouissement que l'on resentait alors. Il sourit et se releva puis il resta figer, debout. Une douleur fulgurante l'avait pris, il ne pouvait pas savoir qu'après sa première fois il allait marché comme un canard. Il se força à marcher droit malgré la douleur et se dirigea vers l'armoire. Il l'ouvrit et récupéra une serviette puis il aperçu un peu plus loin, au sol le kimono d'Enju. Il l'attrapa inconsciement pour le sentir, l'odeur de son amour une odeur délicieuse. Il ne resta pas très longtemps et finit par reposer le kimono et sortir de la pièce. Avant de rejoindre la salle de bain il récupéra les vêtements qu'il y avait dans le sac qu'on lui avait déposer. Une fois la serviette et les vêtements en main il se dirigea dans la vaste salle de bain. C'est alors que Reni entendit la sonnette. Contrairement à Enju Tsugaru savait que ce n'était pas l'oeuvre du majordome. Celui-ci ne serrait pas la avant midi au plus tôt. Il ne se posa pas trop de question et entra sous la douche. Il ouvrit le robinet et l'eau s'écoula le long de son corps.

"-...ha ha...ha.."

Pourquoi Reni riait-il? Et bien car l'eau était glacial et que d'ordinaire pour son réveil on le jeter dans le lac qui se trouver dans son jardin. En y réfléchissant c'était de loin son meilleur réveil. L'eau s'écoula longtemps, sampoing et savon puis un Reni tout propre. Il sortit alors et utilisa sa serviette pour se remettre à sec. Un sourire de satisfaction, Reni était un maniac de la propreté et être propre était véritablement existentiel autant pour lui que pour vivre. Il récupéra ses vêtements et se changea. Un pantalon noir, une chemise blanche dont les manches étaient légèrement remonter et par dessus un gilet aussi noir que son pantalon. A sa taille une ceinture dont la boucle ressortait parfaitement. Vêtement italien, fait en soie italienne et non en contrefaçons. Cela lui allait à la perfection mais il ne semblait pas vraiment y faire attention. Il attrapa un peigne et replaça soigneusement chaque mèche de cheveux. Une fois parfaitement impeccable il sortit et surprise pour lui un nouveau venu. Reni n'était pas vraiment du genre à rester figer pour si peu, il sourit et tout en se presentant il presenta sa main à l'individu.

"-Bonjour, je suis un collègue d'Enju enchanté."

Tout en serrant la main de l'inconnu Reni ne pu s'empêcher de sourire. L'homme ressemblait incroyablement à Enju même si le professeur était beaucoup plus charmant. Reni s'assit à côté du sossi en un peu plus âgé et l'observa du coin de l'oeil. Sa curiosité était en train de reprendre le dessus sur sa faim. Enju arriva alors, Tsugaru releva la tête et haussa les sourcils. Son Enju n'avait pas l'air dans son assiette et sa sa l'embêter. Il lui lança alors un regard l'air de dire "est-ce que tout va bien?".

Enju se contenta de hocher la tête mais Reni se doutait bien que nous n'aller pas aussi bien que son collègue essayer de lui faire croire. Enju les servit et Reni lui lança un dernier regard un peu triste avant de poser ses yeux sur la tasse de thé. C'est alors que le professeur lui présenta l'inconnu, Tsugaru fut surpris et se retourna vers celui-ci. Il était vrai qu'il était très semblable physiquement mais il manquait à Legato un petit quelque chose qu'avait Enju. Tsugaru esquissa un sourire, il sentait qu'il manquait quelque chose mais ne serrait dire quoi. Seikai senior posa alors son regard sur Reni qui fit comme si de rien n'était. Il sentait le poid de se regard sur lui et préféra aller se refugier dans sa tasse de thé alors qu'il detestait cela. Le regard finit par se retourner vers Enju au plus grand soulagement de notre psychologue. Reni suivit l'échange sans un mot, c'est fou combien il pouvait en apprendre en une simple journée. Il fut stupéfait d'apprendre que le père de son cher et tendre n'avait pas donner signe de vie pendant si longtemps. Quatorze ans c'était bien assez pour devenir adulte et il on savait quelque chose. Il posa son regard sur Enju, un regard doux et réconfortabt. Maintenant il comprenait un peu mieux la situation mais Reni était un grand démocrate et il laissait le bénéfice du doute à Legato. Après tout il ne fallait pas juger sans connaitre les deux versions de l'histoire. Mais l'attitude d'Enju le surprit, cela avait du lui être difficile et c'était compréhensible. Un silence pesznt se fit et Reni fut partager entre s'en aller et rester. D'un côté il ne se sentait pas à sa place mais de l'autre il ne voulait pas laisser son Enju seul avec une personne qu'il n'aimait pas ou du moins pour qui il resentait une haine apparente. Enju se leva alors pour rejoindre la cuisine et revint aussitôt avec des crêpes. Reni l'observa tout le long, il aurait voulu le prendre dans ses bras et le serrer contre lui. C'est alors qu'il entendit Enju s'excuser, il poussa juste un soupir en réponse. Combien de fois allait-il s'excuser? Pourquoi devrait-il s'excuser? Reni se concentra sur sa crêpe trop heureux d'échapper à la tasse de thé. Il en prit une bouchée et se retourna vers Enju un large sourire au lèvre:

"-Délicieux!"

Au moins avec sa il cassait le silence qui c'était installé et avec le sourire en plus. Il reprit une bouchée et observa Legato puis lui sourit gentilement et lui demanda:

"-Alors ces crêpes?"

Après tout si Enju n'arrivait pas à faire avancer la discussion Reni pouvait très bien s'en charger. Et puis sa bonne humeur et son énergie devraient réussir à detendre un minimum l'atmosphère. Mais c'est vrai qu'il se sentait horriblement seul à faire tout ses efforts.

Reni observait toujours son collègue du coin de l'oeil. Il se demandait si celui-ci appréciait le sirop d'erable et vu la quantité qu'il avait mis dans son assiette c'était possible. Mais en réalité ce n'était pas le cas et il le comprot très vite. Il esquissa un sourire lorsqu'il vit Enju essayer de sauver le sirop qu'il restait dans son assiette et son sourire ne fit que s'aggrandir lorsque le professeur sourit. Enfin cela ressemblait à un sourire, Reni aurait voulu le prendre dans ses bras et le réconforter. Mais il n'était pas sûr que cela soit très bien vu par Legato. D'ailleurs il se retourna vers celui-ci et l'écouta répondre à sa question. Il lui fit son plus beau sourire, tout en se demandant ce que l'homme avait bien pu vivre. En le regardant de plus près il n'avait pas vraiment l'air en grande forme. Reni était plongé dans ses réflexions lorsqu'Enju...c'était vraiment Enju? Reni l'observa surpris, la bouche à demi-ouverte. Son amour avait vraiment une attitude...une attitude des plus grossière et enfantine. Le regard de Tsugaru se tourna vers Legato qui avait cesser de prendre et reprendre des crêpes. Celui-ci avait un air désolé et Reni se sentait mal pour lui. D'un autre côté il ne comprenait rien ou du moins pas grand chose à toute cette histoire. Enju finit par se tourner vers son père lui lançant un regard haineux et confus. Puis il lui dit de finir son repas chose amusante lorsqu'on voyait son assiette. Je souris, au moins cela m'aura permi de bien rire. Je posais mon regard sur Legato un large sourire au lèvre et je lui dis d'une voix amusé:

"-Enju a raison, il faut d'abord finir son repas."

Et tout en parlant le psychologue remit cinq crêpes dans l'assiette de Monsieur Seikai. Il se retourna vers Enju tout sourire et secoua rapidement la tête tout en lui montrant la crêpe qu'il avait dans la main. Cela signifiant "non, j'ai encore ma crêpe!". Il avait fini par trouver la situation amusante, cela diverger totalement de ses propre réunion de famille. Ses parents, rien que de pensées à eux Reni avait envie de rire. Les deux étaient toujours marié malgré leur disputes insaissante. Ils ne les voyaient qu'une fois par an et cela le jour de son anniversaire. Il resta paralyser sur cette pensée. Son...son anniversaire, c'était...c'était dans deux semaines!!! Il pouffa de rire, et bien puisque Enju lui avait plus ou moins présenter ses parents il allait en faire de même. Il espérait juste que celui-ci ne partirait pas après les avoir rencontrer. Il prit une bouchée de sa crêpe puis il la trempa dans l'assiette d'Enju. Il avait complétement oublier de mettre du sirop dessus. Il dévora littéralement sa crêpe lorsque l'on sonna à la porte. Il regarda l'horloge d'Enju, il était encore très tôt. Il fixa son collègue puis Legato et se leva tout en lançant à Enju:

"-Laisse, j'y vais!"

Et sans laisser à Enju le temps de refuser il s'en alla vers la porte. Lorsqu'il l'ouvrit il fut bousculer par un grand blond. Le chauffeur était déjà de retour? Celui-ci avait retiré son uniforme et il tenait un étrange téléphone dans ses mains. Il faisait sa tête des mauvais jour et Reni s'attendait à une nouvelle horrible. Le grand blond pénéyra dans l'appartement sans tenir compte de l'interdiction de Reni. Une fois à l'intérieur il lança un regard à Enju et Legato et les salua distraitement, ceux ci étaient surpris. Le blond se dirigea vers la première prise qu'il trouva et brancha le téléphone qu'il portait. Puis après avoir pousser un soupir et juste avant de s'en aller il lança à Reni:

"-Il va y avoir un appel pour toi. Et un simple avis mais...tu devrais répondre."

Il s'en alla tout en riant laissant Reni figeait, il n'y avait que trois personnes pour lui faire un coup pareil. Il se retourna vers Enju et souffla un "-Désolé.." puis à la stupéfaction autant de Seikai fils que de Seikai père il se plaça face au téléphone et attendit.

Reni était totalement absorber par l'appareil téléphonique qui se trouvait devant lui, il ne faisait plus du tout attention à ce qui se passait autour de lui. Il avait gardé l'avertissement du chauffeur en mémoire tout en esssayant de se remémorer ses derniers anniversaires. Son père lui cassait un bras ou une jambe avec sa légendaire maladresse, sa mère le menaçait de mort si il ne respectait pas les règles et son parrain essayait de le tuer. Tout en se souvenant des quelue détails passé il se demanda qui aller être celui qui lui téléphonerait. C'est alors qu'il sentit deux mains se posaient sur ses épaules, il sursauta surpris tout en sortant de ses pensées.

"-Euh...et bien...oui."

Il ne mentait pas vraiment, pour le moment tout aller bien dans le meilleur des mondes. Après il restait à savoir ce qui aller se passer, il posa sa main sur l'une de mains d'Enju tout en continuant de fixer le téléphone. Il entendit soudain l'eau coulait et finit par retourner son visage, il chercha un moment puis remarqua que Legato manquait à l'appel. Il esquissa un sourire et en attrapant la main d'Enju il se retourna vers lui un large sourire au lèvre. Tout en levant sa main en l'air, il enlaça ses doigts avec ceux du professeur et s'approcha un peu plus près déposant son front contre celui d'Enju. Il resta là un moment puis il demanda d'une voix encore plus douce que d'habitude:

"-Et si tu m'expliquais un peu toute cette histoire avec ton père?"

Il passa l'une de ses main autour de la taille du professeur pour le serrer un peu plus près de lui. Le collant contre son torse puis il lui lâcha la main et vint doucement caresser ses cheveux. Il déposa doucement un baiser sur son front tout en espèrant que la question n'allait pas trop affecter Enju. Il observa rapidement du coin de l'oeil le téléphone et attendit une réponse. Après tout il savait que peut-importe qui appeler il allait finir par vivre l'enfer de son anniversaire.

Reni aimait la presence d'Enju près de lui, pour une raison qu'il avait du mal à comprendre il ne se sentait bien que lorsqu'il y avait Enju près de lui. Il remarqua bien l'attitude de son amour fasse à sa question. Il se demandait ce que cela pouvait bien cacher. Le professeur lui dit qu'il lui devait des explications et ce n'était pas faux. Tsugaru passa une main sur sa joux, puis posa son regard dans celui d'Enju pour l'encourager.

Le professeur débuta alors son histoire, Reni l'écoutait avec attention. Retenant chaque phrases, chaque mots prononcer par Enju. Il analysait ces informations, puis il les mémorisait et finallement il se demanda ce que cela annoncer. Certes il avait retenu des informations telle que Enju avait vingt six ans ou encore, Enju avait un frère ainé. Son amant prit une pause, cela semblait le bouleverser et le psychologue se demandait si il ne devait pas l'arrêter. Enju posa son visage contre le torse de Reni juste après avoir jeter un coup d'oeil à la salle de bain puis il reprit.

Reni ne comprenait pas, son père n'était pourtant pas mort. Il avait bien comprit que les deux ne c'étaient pas revu depuis quatorze longues années. Donc depuis que son père avait été envoyer en mission. Mais si il avait disparu ou même qu'il soit mort qu'avait-il fait pendant ces quatorze années. Et surtout qu'avait pu ressentir Enju et sa famille face à cette soudaine perte. Reni sentit le tremblement de son amour et le serra un peu plus fort. Il baissa son regard sur Enju et sentit son coeur se tordre de douleur. Il ferma les yeux un instant pour retenir son envie de se tirer une balle dans la tête puis il posa un doigt sur le visage d'Enju pour lui effacer ses larmes.

Le professeur Seikai continua son récit toujours un peu tremblant. Reni comprit bien vite que la suite de l'histoire ne devait pas être très heureuse. Le frère d'Enju était donc rentrer dans l'armée comme son père. Et Enju lui malgré ses sentiments, car il avait des sentiments à l'égard de son père n'avait pu faire de même. Reni s'arrêta sur la partie ou Enju n'avait pas le physique du métier se demandant si cela avait un rapport avec le sang qui coulait de ses lèvres. Mais il ne posa pas de question sentant son coeur se faire lacéré par les sanglots de son bien aimé. Il lui caressa doucement les cheveux pour essayer de le calmer un peu mais Enju continua.

Le professeur avait donc suivit les traces de sa mère et était devenu professeur au plus grand bonheur de Tsugaru qui sans cela ne l'aurait jamais rencontrer. Enju effaça ses larmes, ses yeux était un peu rouge lorsqu'il dit que son frère était mort et que son corps avait été retrouver. Le coeur de Reni s'arrêta, il serra un peu plus Enju et lui murmura un:

"-Je...je suis désolé..."

Reni sentit le visage d'Enju s'enfonçait un peu plus contre lui. Puis il eu l'impression qu'on lui arracher le coeur. Il ne pouvait pas supporter l'idée même qu'Enju puisse être triste. Il ressera encore son étreinte caressant doucement le dos d'Enju puis il aperçu Legato. Leur regard se croisèrent et Tsugaru décida de faire quelque chose dont Enju risquait de lui en vouloir. Il se détâcha doucement gardant une main sur la joux d'Enju effaçant ses larmes de l'autre. Puis tout en fixant Enju drout dans les yeux de manière à ce qu'il ne voit pas son père il lui demanda:

"-Tu lui on veux...tu en veux à ton père de ne pas avoir était là...Si tu pouvais lui dire ce que tu as sur le coeur, qu'est-ce que tu lui dirais?"

Reni s'attendait plus ou moins à ce qui allait se passer mais voir le visage d'Enju dans cet état était vraiment invivable. Et le regard du professeur, un regard plein de haine était sur le visage d'un être aussi bon des plus deconcertant. Enju débuta sa longue tirade, cela commençait bien il espèrait juste ne pas avoir fait d'erreur en tentant le diable. Puis il s'arrêta un court instant et repris jusqu'à, jusqu'à que Reni cesse de comprendre et cela à sa plu grande joie. Entendre Enju se mettre en colère, ou laisser s'écouler sa haine et son ressentiment était une chose qu'il espèrait ne pas revoir de si tôt. Tsugaru fut patient écoutant son amour tout en observant Legato du coin de l'oeil. Vu le visage de celui-ci il devait encore comprendre et tant mieux dans le cas contraire cela n'aurait servi à rien ou presque.

Après un instant Enju sembla être un peu plus calme, il reprit sa respiration ses poings étaient serré puis il releva sa tête vers Tsugaru qui l'observer d'un regard triste et compatissant mais toujours plein d'affection. Reni esquissa un doux sourire à cette dernière phrase, il caressa doucement la joux d'Enju replaçant une mèche de ses cheveux. Enju retomba doucement contre le psychologue qui posa doucement une main sur son dos. Il lui chuchota d'une voix calme et presque inaudible:

"-C'est normal, on ne peu pas détester ses parents peut importe ce qu'ils nous font subir."

Enju toussota, Reni avait retiré sa main et avant même qu'il ne comprenne Enju basculait en arrière. Il tenta de le ratrapper mais il le rata de peu et se fut Legato qui le razttrapait au dernier moment. Legato et Enju se ressemblaient horriblement, Tsugaru poussa un soupir de soulagement et sourit. Le père d'Enju paraissait tristye mais après avoir entendu ne serrait-ce que le début de la pensée de son fils cela paraissait normal. Il murmura doucement, une supplication une demmande à son fils c'est alors que le téléphone sonna. Reni se retourna puis il revint sur Enju, il s'approcha doucement et attrapa le professeur dans ses bras et tout en l'emmenant sur le canapé il demanda à Legato:

"-Vous voulez bien répondre pour moi? Je m'occupe d'Enju."

Seikai père parut hésiter mais il finit par décrocher le téléphone, il l'approcha de son oreille. Reni avait fait exprès de demander à Legato pour deux raisons. La première, Enju n'apprécierait pas forcément que son père soit la première personne qu'il voit en reprenant conscience et deuxièmement. Deuxièmement il avait trop peur de répondre au téléphone et il avait bien fait de ne pas décrocher. Legato tenait le téléphone dans ses mains et il coutait, il écoutait une jeune femme hurlait dans un japonais parfait:

"-Pourquoi as-tu mis autant de temps à répondre fils indigne!!!!! Je ne me répéterais pas mais lorsque je t'appel tu dois décrocher avant même que le téléphone ai sonné!!!! C'est si difficile à comprendre!!!!!"

Legato fit comprendre à la jeune femme qu'il n'était pas la bonne personne et se retourna vers Reni c'est au même moment qu'Enju commença à rouvrir mais difficilement les yeux.

Enju venait de se réveiller il se redressa légèrement un peu déconcerter par les dernier moments. Reni lui sourit doucement tout en lui attrapant la main. Il ne savait pas qupi répondre, il ne voulait pas répondre. Après un instant il se décida à garder le silence persuacet que tôt ou tard le professeur aurait sa réponse. Enju se redressa légèrement et posa une main sur son front. Tsugaru posa alors sur lui un regard inquiet, il commençait à ressentir une profonde culpabiliter vis à vis de ce qu'il avait fait. Il serra la main d'Enju un peu plus fort tout en l'observant. Le professeur se retourna brusquement vers lui, un regard interrogateur. Pour toute réponse Reni se contenta d'un sourire un peu gêné.

Tsugaru se retourna lorsque Legato lui dit que c'était à lui que l'on voulait parler. Reni n'avait vraiment aucune envie de prendre le téléphone. Il se retourna vers Enju pour chercher une échapatoire mais celui-ci lui fit comprendre qu'il pouvait répondre. Le psychologue à cpntre coeur récupéra le téléphone. Pendant se temps Legato avait pris sa place et à la réponse d'Enju il se dit que ces deux là aller mettre du temps à se réconcillier. Il poussa un long soupire et rassembla tout son courage. Puis se fut comme si Reni avait disparu, une voix froide et un ton ferme. Il ne prononça que quelque mots mais la jeune femme se calma aussitôt:

"-Bonjour mère, que me vaut le plaisir de vous avoir au téléphone?"

La jeune femme ne parlait plus et une sorte de silence s'instaura. Puis d'une voix presque inaudible elle parla, seul Reni pu l'entendre et après cela il partit dans un grand rire glacial. La femme ne tint plus et elle se remit à l'insulter et à lui hurler dessus et cela avec toute la force de ses poumons. Reni éloigna le téléphone de ses oreille puis observa l'horloge. Elle en avait pour au minimum dix minutes. Il déposa doucement le téléphone et rejoignit Enju. On pouvait entendre les insultes de la femme, un coup japonais puis italien en passant par l'anglais et le russe. Elle enchaînait sans prendre de pause, Tsugaru parut gêné mais il ne voulait pas en parler pour le moment.

"-Bon et bien puisque ton père a eu droit à l'expression de tes sentiments c'est à ton tour de l'écouter je pense."

Reni c'était adressé au professeur, il voyait cela comme une sorte de séance de psychanalyse. Certes il detestait travailler en dehors de ses heures mais pour Enju il pouvait faire une exeption. Il s'assit à côté de son amour à l'opposer de l'endroit ou se trouvait Legato. Il espèrait qu'il arriverait à faire avancer un peu les choses même si il savait qu'il faudrait à Enju beaucoup de temps pour pouvoir donner son pardon. Reni comprenait un peu se que son collègue ressentait, lui même avait déjà vécu une situation similaire.

Reni sourit, il ne s'attendait pas vraiment à ce qu'Enju cède aussi facilement. Il l'observa tout sourire puis se demanda si il devait rester là. Après tout cela ne le regarder en rien et sa presence devait dérranger Legato. Mais le psychologue était d'un naturel curieux et l'idée de les laisser seul l'effleura juste un instant. Malgré le regard de Seikai père Reni ne bougea pas. C'est dans ces moments là que l'on comprend pourquoi la curiosité est un vilain default. Legato commença son long récit, s'arrétant de temps à autres. Tsugaru avait du mal à croire se qu'il entendait, ce qu'avait vécu cet homme avait du être difficile aussi bien physiquement que psychologiquement. Une fois le récit terminer Reni ne savait pas vraiment trop quoi dire d'ailleurs il ne dit rien. Il se contenta d'observer Enju sans un mot, n'osant pas regarder Legato qui verser quelque larmes silencieuse. Legato se leva alors et prit son fils dans ses bras. La scène était si émouvante que Reni ne pu retenir ses larmes. Il leur laissa un moment d'intimité même si il se doutait que tout n'aller pas s'arranger aussi simplement. La vie n'avait rien d'un comte de fée et la peine et la tristesse ne pouvaient disparaitre comme par magie.

L'attention du psychologue se reporta sur le téléphone. Il retourna donc récupéré l'appareil et après deux bonne minutes il pu enfin placer un mot. Sa voix était un peu ému, c'est fou comme se genre de scène pouvait le toucher. C'est d'ailleurs pour cela qu'il ne fallait pas regarder Titanic avec lui. Il se mettait à pleurer pendant des heures. Bien passons, Reni tenait le téléphone attendant que sa mère reprenne son souffle. La mère de Reni était âgé de quarante deux ans. Elle était connu dans le millieu des affaire pour être un vrai requin. Son apparence de fillette aide à renforcer son image de petite princesse. Elle a l'air d'une adorable gamine puis l'instant d'après elle se met à hurler et devient extrêmement violente. Reni reprit son attitude froide, c'était la seule façon qu'il avait de communiquer avec elle. Puis las de cette discussion inutile il se contenta d'une phrase:

"-Et bien si c'est tout ce que tu as à me dire je te laisse donc. Au revoir."

Reni débrancha aussitôt le téléphone et comme si on l'avait appelé le chauffeur réapparut. Celui-ci récupéra le téléphone et s'en alla sans un regard et sans un mot. Reni se retourna vers Enju et son père sans vraiment savoir quoi faire. Devait-il s'en aller? Cette simple idée lui faisait mal, il ne voulait pas être séparer d'Enju.

Finalement il sembla à Reni qu'il n'était plus vraiment nécessaire de s'en aller puisque monsieur Seikai allait partir. Il observa Enju remettre des clefs à son père, celui-ci sembla toucher par le geste et s'en alla. Tsugaru s'inclina à son tour pour dire au revoir au père d'Enju puis il le regarda s'en aller sans un mot. Il se demandait comment une journée qui s'annonçait aussi bien pouvait avoir pris une telle tournure. Il poussa un petit soupir de lassitude et de fatigue, entre le père d'Enju qui refaissait surfase et l'appel de sa mère il ne savait plus vraiment quoi penser. Peut-être cette journée était vouée à l'echec, Reni défaitiste? Non, juste réaliste. Le psychologue était tellement concentrer sur ses pensées qu'il n'avait pas vraiment remarquer Enju s'approcher. Lorsqu'il leva les yeux vers son collègue il ne savait pas trop quoi dire. Il se contenta de sourire puis il caressa doucement la joue du professeur et finalement il s'approcha un peu plus près et passa ses bras autour d'Enju pour l'enlacer. Il le garda contre lui un moment puis il lui murmura à l'oreille:

"-Ce fut une matinée riche en rebondissement..."

Il ne savait pas vraiment quoi faire ni quoi dire il se contenta juste de rester là en silence. C'est fou comme être près du professeur pouvait le soulager. Il se sentait beaucoup mieux d'un coup et il n'aspirait qu'à une chose et c'était de changer les idées de son amour. Il fallait qu'il trouve quelque chose pour faire en sorte qu'Enju oubli un peu ses problèmes. Il réfléchit un instant, sortir ne lui semblait pas être une très bonne idée mais rester là n'était peut-être pas une bonne idée non plus. Reni esquissa un sourire tout en caressant doucement la longue chevelure rousse. Il déposa un doux baiser sur le front d'Enju puis il se decolla un peu. Il déposa sa main sur la joue de son amour et lui fit doucement relever le visage puis il lui demanda sans le quitter du regard:

"-Est-ce qu'il y a quelque chose que je puisse faire pour toi?"

Reni ne savait vraiment pas quoi faire, chacune des idées qui lui venait lui paraissait incroyablement impensable. Il voulait juste que son amour pense à utre chose que cette étrange visite qui l'avait bouleversé mais d'un autre côté peut-être avait-il besoin d'y penser. Toute cette reflexion lui donnait la migraine, qu'aurait-il pu faire d'autre que de demander à Enju se qu'il désirait. Reni aurait tout fait, il aurait fait n'importe quoi tant que c'était pour son amour. Il l'aimait tant et se sentiment ne cesser d'augmenter au fur et à mesure que le temps passer. A chaque fois qu'il posait son regard sur le professeur il lui semblait que son coeur battait encore plus vite, encore plus fort. Il reserra son étreinte posant son front contre celui d'Enju et attendit une réponse. Mais une chose lui restait en tête, sa mère lui avait dit une chose qui l'avait bouleversé et qu'il devrait régler au plus vite. Il avait d'ailleurs moins de deux semaines pour faire cela et il ne fallait pas qu'Enju le sache à moins que se ne soit lui qui lui en parle. Ses parents avaient vraiment le don de lui pourrir la vie et pas qu'un peu!

A la réponse d'Enju Reni ne pu s'empêcher de sourire. Il se demandait si le professeur allait vouloir autre chose que sa simple presence un jour. D'un autre côté il était véritablement soulager de ne pas à avoir à donner d'explication vis à vis de sa courte "discussion" avec sa mère. Enju se calla alors contre le cou du psychologue et se mit à ronronner. Reni rit doucement, c'était vraiment bien imiter. Il se demandait se que pouvait encore faire Enju. Le professeur se decolla alors et attrapa les mains de Tsugaru. Reni aimait bien le contact de la main d'Enju contre la sienne il deposa alors son regard sur Enju tout en l'écoutant. Reni poussa un petit soupir et répondit très sérieusement:

"-Moi je veux bien mais il ne m'écoutera pas. Et puis sa fait parti de son boulot..."

Le chauffeur avait un long passé assez sombre. Il était né dans une famille de majordome et avait grandi pour servir la famille Tsugaru. En réaliter en dehors du poste de chauffeur, il exerçait le métier le majordome, d'espion en chef et de garde du corps. Et oui, il arrivait souvent que des entreprises concurrente envoient des assassins. Et Reni avait beau être doté d'un exellent niveau en kendo il n'en restait pas moins un pacifiste. Il detestait la violence et avait du mal à supporter les personnes violente. Pour énerver Tsugaru il fallait vraiment y mettre du sien. Enju soupira et changea de sujet. Il sourit de nouveau, c'est fou comme son sourire était magnifique. Le professeur lui demanda alors si il voulait faire quelque chose. Reni réfléchit un instant, il n'avait aucun envie particulière à part faire plaisir à Enju.

"-...je..."

Il n'avait vraiment aucune idée, c'était le vide complet. C'est alors qu'Enju lui proposa d'aller au festival. Le regard de Tsugaru s'assombrit, un mauvais souvenir qui le hantait. C'était à un festival que sa grand mère était morte. Elle avait reçu une balle en plein coeur et c'était écroulé face à Reni. Il n'avait que dix ans et sa grand mère était la seule personne normal de sa famille. Reni ferma les yeux essayant de chasser ses images de sa tête. Si cela faisait plaisir à Enju il irait. Il rouvrit les yeux et tout en rapprochant son amour contre lui il répondit:

"-Pourquoi pas."